Vampire

Murnau, 1922 Le film intitulé NOSFERATU le vampire, de Wilhelm Friedrich MURNAU est un chef-d'œuvre du cinéma muet EXPRESSIONNISTE. Murnau utilise les ressources du montage et surtout de l'éclairage, dans une ambiance en CLAIR-OBSCUR qui prend des significations SYMBOLIQUES. Dans les deux séquences suivantes, le réalisateur montre un véritable COMBAT ENTRE L'OMBRE ET LA LUMIERE. 1/ L'ombre envahissante Au début de cette séquence, le vampire Nosferatu apparaît sous la forme d'une ombre

comme une image puis fini par porter un pronom personnel. « Influence fiévreuse », champs lexical de la malade « pâleur » « souffre du même mal que moi »… Le Horla d’abord comme une grippe, une terreur nocturne, puis comme un sort, puis comme un vampire (un amant ?), puis comme une forme, puis comme une personne métamorphose. Jean apparait au début : le Horla est là depuis le début, le narrateur essaie de faire surgir quelqu’un

lecture laisse l’esprit voyager : nous devenons créatifs car à travers les mots, nous imaginons les personnages, les paysages, les sentiments… Comme beaucoup d’entre nous, j’ai vu la série « Vampire Diaries » adapté des romans de J.L. Smith « Journal d’un vampire ». Ce roman raconte l’histoire de deux frères vampires déchirés par l’amour d’une même femme. Lire est beaucoup plus agréable car notre imagination prend le dessus, nous sommes souvent frustrés quand nous voyons l’adaptation sur un écran.

comte Dracula devient alors le comte Orlok et Jonathan Harker devient Thomas Hutter. Henrik Galeen a pris une liberté importante qui a influencé l’ensemble des films produits depuis 1922 : la lumière du jour peut tuer un vampire . Dans son roman, Bram Stocker décrit une scène où Dracula se promène à Londres en pleine journée ce qui ne

Nosferatu de Murnau, un exemple de cinéma expressionniste allemand Voici l'article consacré au film dans le livre d'Alain Pozzuoli, La Bible Dracula - Dictionnaire du vampire, paru en 2010: Dans les années 1830, Hutter, un jeune agent immobilier, est envoyé par son employeur en Transylvanie chez le comte Orlock, alias Nosferatu. Ce dernier, après avoir vampirisé le jeune homme, quitte son pays à bord d'un bateau rempli de rats pour regagner Brême, où il sèmera la peste. Nosferatu fait partie des

Elijah Wood : le passant Olga Kurylenko : la vampire Wes Craven : le mort Résumé individuel : Sur un pont, une jeune passant au cœur de la nuit assiste à l'attaque d'un vampire. Terrorisé, il tente de se cacher, mais le vampire l'ayant repéré s'approche. Il s'agit d'une jeune femme fascinante, qui rassasiée et apparemment sous le charme du garçon décide de lui laisser la vie sauve. Saisissant une bouteille pour s'ouvrir la main et attirer la vampire, le passant chute dans les escaliers et,

plutôt des flammèches. Entre elles se contorsionne un homme, nu, qui hurle. On se rend compte qu’en fait elles absorbent ses forces comme des vampires, elles le mordent. Et c’est intéressent car cela fait sans doute référence à une croyance populaire qui attribuait des maladies ou des morts inexpliqués, à l’influence à distance d’un vampire. Ici les vampires sont confondus avec les sorcières dans un étrange amalgame. Les sorcières ont cet étranges accoutrement qui correspond à celui que l’inquisition

nous sommes orientées vers l’alimentation. De plus, nous avions une certaine attirance pour cette publicité car malgré qu’elle soit ancienne, selon nous elle est toujours d’actualité et pourrait revenir à la télévision vu la saga faite autour des vampires depuis la sortie de Twilight (nous les retrouvons partout). Les chips sont des aliments régulièrement demandé par les enfants, ils les trouvent lors des anniversaires, des goûters, des sorties,… C’est pourquoi nous avons ressenti l’importance d’analyser

son désir et son regard appréciateur face à cette femme qu'il décrit comme un animal situé au vers 13 avec «  les yeux fixe sur moi, comme un tigre dompté ». Puis dans le dernier poème censuré intitulé «  Les métamorphoses du vampire », Baudelaire compare la femme à un vampire, un animal comme le souligne le vers 17 «  quand elle eut des mes os sucé toute la moelle ». Aussi, on retrouve une comparaison « En se tordant ainsi qu'un serpent sur la braise » au vers 2. En effet, le poète n'oublie pas de

le mot « Vamp » dans le film Embrasse-moi, idiot de 1915. La femme fatale a été représentée comme un vampire sexuel ; ses charmes consommant la virilité et l'esprit d'indépendance de leurs amants, ne laissant que leurs enveloppes charnelles vides. Rudyard Kipling fut inspiré par la peinture d'une vampire de Philip Burne-Jones, une image typique de l'époque (1897), pour écrire son poème The Vampire. À l'instar des autres œuvres de Kipling, le poème fut très populaire et son refrain : « A fool there