Varech

grimpé autour des fenêtres d'en bas exhalait continuellement son haleine pénétrante qui se mêlait à l'odeur plus légère des feuilles naissantes. De lentes rafales passaient, apportant les saveurs fortes de l'air salin et de la sueur visqueuse des varechs. La jeune fille s'abandonna au bonheur de respirer ; et le repos de la campagne la calma comme un bain frais. Toutes les bêtes qui s'éveillent quand vient le soir et cachent leur existence obscure dans la tranquillité des nuits, emplissaient les

beauté de l’eau qui est présente alentour d’eux. « La pêche lui servirait, facilitant leur tête-à-tête; et ce serait, en outre, un joli cadre, un joli endroit pour parler d’amour, les pieds dans un bassin d’eau limpide, en regardant fuir sous les varechs les longues barbes des crevettes. » Maupassant se sert de cette merveilleuse scène afin de refléter les sentiments d’amour que Jean ressent envers Mme Rosémilly. Il exprime son amour à travers l’eau, en lui jetant des baisers par sa réflexion. La

Perses faisaient commerce du savon qui restait un produit fort coûteux et confidentiel, l'hygiène n'étant pas la préoccupation première au Moyen-Age. La graisse animale employée était le suif de chèvre et les cendres étaient issues du hêtre et du varech. La graisse animale est remplacée au XIIIème siècle par de l'huile d'olive, qui rend le savon plus ferme. La soude provient principalement des cendres obtenues par la combustion de plantes.Le savon alors est la résultante d'un alcali (al-qâli = cendres

rayons d'or,     Si bien que nous suivions son pas plus calme encor     Que le déroulement des vagues, ô délice !     Des oiseaux blancs volaient alentour mollement,     Et des voiles au loin s'inclinaient toutes blanches.     Parfois de grands varechs filaient en longues branches,     Nos pieds glissaient d'un pur et large mouvement.     Elle se retourna, doucement inquiète,     De ne nous croire pas pleinement rassurés ;     Mais nous voyant joyeux d'être ses préférés,     Elle reprit sa

textuelles Analyses Interprétations Le décor et les personnage Un filet d’eau claire/in bassin/cascade/flaque d’eau/mare/mer basse Falaise/éboulements/blocs/montagne/galet/rochers Valleuse/tapis de cresson/les ronces et les herbes/plaine/herbes marines/varechs CL élément liquide CL minéral CL végétal Les éléments du " locus amoenus " des romans médiévaux : un joli endroit pour parler d’amour (en apparence ?) Mare/bassin/filet d’eau/ cuvette /petit trou/deux pieds à peine Valleuse/falaise/cascade/plaine…

premier dans ce roman : Robinson Crusoé, alors qu’il vient de s’échouer après le naufrage de son bateau. De plus, le décor est le même ; bien que la formulation varie Les poissons morts jonchent la plage, des coquillages brisés et des algues (du varech dans le texte un) ont étés rejetés par les flots. Le navire s’appelle toujours « La virginie », et le récif est visible également. Le soleil « brûle », l’épaule de Robinson est douloureuse, mais il n’est pas « blessé ». Il se fait un bonnet de feuille

Interprétations I. Le décor et les personnages. Un filet d’eau claire/in bassin/cascade/flaque d’eau/mare/mer basse Falaise/éboulements/blocs/montagne/galet/rochers Valleuse/tapis de cresson/les ronces et les herbes/plaine/herbes marines/varechs CL élément liquide CL minéral CL végétal Les éléments du " locus amoenus " des romans médiévaux : un joli endroit pour parler d’amour (en apparence ?) Mare/bassin/filet d’eau/ cuvette /petit trou/deux pieds à peine Valleuse/falaise/cascade/plaine…

COURS BIOMASSE ANNÉE 2014-2015 QU’EST-CE QUE LA BIOMASSE ? • Biomasse brute : • Arbres et végétaux • Productions agricoles (canne à sucre, colza, maïs, betterave…) • Matières aquatiques (algues, varech …) • Biomasse « secondaire » • Résidus issus de matières premières (végétal ou animal) • • • • • Pailles, enveloppes de graines Racines, écorces … Fumiers, lisiers, litières … Boues de stations d’épuration, déchets verts… Déchets issus de papeteries, industries textiles … FILIÈRES DE LA BIOMASSE

tente, elle aussi de se faire une place dans son monde. La dernière odeur est celle provenant de la mer qui n’est présente que lorsqu’une rafale de vent l’apporte au nez de Jeanne, « les saveurs fortes de l’air salin et de la sueur visqueuse des varechs ». Enfin, Jeanne se concentre sur le monde qui l’entoure et comme si elle rentrait plus en profondeur dans le décor, elle se rend compte qu’une multitude de petites bêtes sortent la nuit pour vivre la vie que l’on mène le jour. Mais, puisqu’il

redonnent des rêves d'adolescents.     J'allais, par un chemin à peine marqué, entre les blés et les vagues. Les blés ne remuaient point du tout, et les vagues remuaient à peine. On sentait bien l'odeur douce des champs mûrs et l'odeur marine du varech. J'allais sans penser à rien, devant moi, continuant mon voyage commencé depuis quinze jours, un tour de Bretagne par les côtes. Je me sentais fort, agile, heureux et gai. J'allais.     Je ne pensais à rien ! Pourquoi penser en ces heures de joie