Vaudeville La Cantatrice Chauve

• Chaton maltais (le) • Chatouillement tenace (un) • Chaud devant • Chaud devant • Chaud et rond • Chauffeur du général (le)* • Chaussettes n'étaient pas sèches (les) • Chaussons de danse et gants de boxe • Chauve qui peut • Chef de char • Chemin de Breughel (le) • Chemin de croix • Chemin de halage • Chemin de l'eau (le) • Chemin de l'union (Le) • Chemin de la Paix • Chemin des écoliers (le) • Cheminée en or (une)

partenariats. 12A0050030 22802 THEATRE : ANALYSE ET PRATIQUES SCENOGRAPHIQUES 12A0050031 22803 THEATRE : LES CODES DU BOULEVARD ET SA MISE EN JEU* 12A0050420 23230 LE MONT-SAINT-MICHEL ET L'HISTOIRE DES ARTS * Il s’agira des codes du vaudeville pour être plus exact. 4. Camus lit L’Etranger : une ressource Gallimard / INA / Frémeaux associés Texte intégral lu par Albert Camus en Avril 1954 en accord avec Gallimard et l'Institut national de l'Audiovisuel. « En juin 1942, paraît

s'abandonneraient à de longs développements philosophiques sur le caractère inadéquat du langage (avec citations tirées de ‘’La leçon’’), l'isolement tragique et absurde de l'être humain, et ils rapprocheraient le dénouement d'Humulus de ceux de ‘’La cantatrice chauve’’ (le dialogue lettriste), des ‘’Chaises’’ (les signes inintelligibles sur le tableau noir) et de "Rhinocéros’’ (les cris inarticulés). Anouilh ne laissa publier la pièce qu’en 1958. _________________________________________________________________________________

au tournant des XIXe et e XX siècles, période marquée par une nébuleuse de courants, difficiles à circonscrire, on ne peut que constater l’éclatement des mots d’ordre, entre la persistance des traditions néoclassique et populaire, le goût pour le vaudeville ou le music hall, et la réaction contre le naturalisme, divisée entre l’avant-garde berlinoise, l’expressionnisme, et la Wiener Moderne, l’impressionnisme, le symbolisme, l’Art nouveau, le Jugendstil et la Sécession, sans compter l’émergence du

s'abandonneraient à de longs développements philosophiques sur le caractère inadéquat du langage (avec citations tirées de ‘’La leçon’’), l'isolement tragique et absurde de l'être humain, et ils rapprocheraient le dénouement d'Humulus de ceux de ‘’La cantatrice chauve’’ (le dialogue lettriste), des ‘’Chaises’’ (les signes inintelligibles sur le tableau noir) et de "Rhinocéros’’ (les cris inarticulés). Anouilh ne laissa publier la pièce qu’en 1958. ____________________________________________________________

de Castille, qui a vraiment existé, déchiré entre son amour et la défense de l’honneur familial. Le roi se meurt de Ionesco nous fait assister à la longue agonie du roi Bérenger et prend la dimension d’une histoire mythique. Plus plaisamment, le vaudeville du XIXe siècle, comme Le Fil à la patte de Feydeau, propose des historiettes comiques, fertiles en rebondissements (dont le fameux « Ciel, mon mari ! »), tirées du monde bourgeois. Pour remplir cette fonction, le théâtre a besoin de paroles.

de 12 à 30 heures selon les théoriciens. L'idéal du théâtre classique veut que le temps de l'action corresponde au temps de la représentation. C'est Racine qui s'en est le plus approché, dans Athalie. Eugène Ionesco l'a également fait dans La Cantatrice chauve même si elle est vue par l'auteur comme une anti-pièce, elle en respecte paradoxalement l'unité de temps. Unité de lieu : Toute l'action doit se dérouler dans un même lieu (un décor de palais par exemple pour une tragédie ou un intérieur bourgeois

Swift où les insulaires marchent exclusivement sur les mains… Jouées par les types comiques italiens avec, en tête Arlequin mis à toutes les sauces, elles sont entrecoupées de petites chansons : ariettes ou vaudevilles. L’opéra comique et la comédie légère du siècle suivant (intitulée Vaudeville) ont la Foire pour origine. De la tragédie au drame. L’une des limites de l’aristotélisme, c’était qu’il s’offrait comme une doctrine close. Il excluait toute possibilité de transformation et de progrès

arrêtez, je vous en supplie. Oh non, ne vous moquez pas de moi… H. 2 : Nous moquer ? Mais qui se moque, voyons… Moi aussi ça m’a touché… Ça m’a donné envie de les voir… Je vais y aller… Il y a déjà longtemps… » Histoire du théâtre : le vaudeville À l’origine, le vaudeville est une comédie mi-parlée, mi-chantée. Au XIXe siècle, les chansons disparaissent, et les intrigues s’enrichissent à partir de situations types : par exemple, un personnage est pris pour un autre, ou bien deux personnages croient parler

théâtre comme un fantôme ou un machino. C’était là son charme et sa limite. Le choc des années cinquante allait subitement donner un coup de vieux à ce théâtre. Le choc des années cinquante Au Théâtre des Noctambules, Nicolas Bataille monte La Cantatrice chauve, d’Eugène Ionesco, Jean-Marie Serreau La Grande et Petite Manoeuvre, d’Arthur Adamov, avec Roger Blin, Jean Vılar L’Invasion du même Adamov. Et le 3 janvier 1953, au Théâtre de Babylone, c’est la création de En attendant Godot, de Samuel