Vautrin Diable

diabolique. Marion est belle physiquement et moralement. Elle est jeune, jolie, fidèle, sage. Elle a "un regard qui aurait désarmé les démons" et "une angélique douceur". Toutes ces descriptions donnent l'impression d'une innocente victime devant le diable ou un démon, d'une victime contre un coupable ou bien du bon contre le méchant. L'assemblée: L'assemblée, les personnes adultes, ont transformé ce vol du ruban en un crime que l'on doit absolument punir. Rousseau écrit que le ruban est petit, vieux

monstre matérialise un double de nous-mêmes : ainsi le savant Coppelius qui terrifie Nathanaël dans L'Homme au sable ou la créature de Frankenstein incarnent-ils l'interdit sexuel. Mais le monstre est le double dégradé de l'être idéal, tout comme le diable l'est de Dieu, et l'interdit n'est que l'envers du désir. Le monstre est ambivalent, comme l'angoisse qu'il suscite. Cette ambivalence se raffine lorsque le dédoublement ne se manifeste plus dans un objet extérieur, mais qu'il est vécu comme une division

monstres, voire le Diable lui-même. On peut comparer ce lieu à un labyrinthe qui a une symbolique forte au Moyen-âge. -Don Juan tente de détourner un homme qui a fait vœu de pauvreté de sa foi. Il adopte d’abord un ton amical et envoûtant : « pourvu que tu veuilles jurer » des tournures de politesse, puis il donne une obligation rendue par l’emploi de l’impératif et de la tournure impersonnelle « Tiens : il faut jurer » Il propose un échange qui s’apparente au pacte du diable : un louis d’or contre

ne se repentit pas il est devant son destin. ~> Spectre allégorie du Temps ou de La mort : «  Représente le temps avec sa faux a la main » ( l. ) . Il est intouchable , « le spectre s’envole »(l. ) , indéfinissable «  spectre ,fantôme ou diable » (l. ). Ce messager est un esprit à multiples facettes , il peut se métamorphoser , envoyé par Dieu pour avertir Don Juan. L’intervention du surnaturel donne a la scène une dimension extraordinaire. L’inébranlable conviction matérialiste de

le bien. Autrement dire, le mal est présent en tout lieu et en tout moment. Pour cela, le monde chaotique dans le quel vit l’Europe de Voltaire. Par la suit, Voltaire utilise une comparaison pour appuyer sur l’idée de l’omniprésence du mal: « le diable se mêle si fort des affaires de ce monde qu’il pourrait bien être dans son corps, comme partout ailleurs. » Dans cette phrase, on sent que, dans le monde de Martin, il n’y a jamais d’équilibre entre le bien et le mal. En plus, Matin pense que : «

âme. Mais elle est trop belle et trop pure pour lui ton âme, chérie. Tu es si enfantine, si naîve : regarde comme les étoiles brillent pour toi. Lui, il ne vaut pas ça. T'as toujours cru que c'était un ange mais derrière sa jolie gueule, c'est le diable ... J'entends ton coeur battre la chamade jusque dans mon oreille et ça me fait peur parce que lui l'entends aussi. Et il en profite. Rien n'est aussi beau que dans tes rêves ici bas, tu embarque dans un monde imaginaire et ne vois pas les choses

foi pour le pauvre, la provocation atteint son paroxysme. DJ joue le rôle du diable tenteur. Le discours montre l’aspect ludique et cruel du personnage avec l’interjection : « ah ! ah ! » L33, avec la jubilation de la provocation préparée L38 et sadisme L42 (présentatif). Il fait miroter le louis d’or devant le pauvre : c’est l’utilisation d’un jeu cruel favorisé par la répétition 4 fois du verbe « jurer » comme le diable qui tente le Christ.

EXPOSE FR. : LE TYPE Le type est un personnage plus ou moins clé de l'intrigue de l'histoire. Sa première apparition se trouve dès le chapitre 4 (page 44), lorsque Zazie pleure après s'être enfuie de chez Gabriel. Au fil de l’histoire, il ne cessera pas de changer d’identités, sans qu’il le souhaite forcément. Tous ces changements provoqueront, aussi bien chez les personnages que chez lui, une grande confusion. Quel est la place du type dans l'œuvre et vis à vis des autres personnages?

l’athéisme. • Cette scène constitue une parenthèse dans l’action. Son mépris du pauvre illustre son irréligiosité et la coupure brusque de la fin montre son sens de l’honneur. -> Un nouveau défi : le sacrilège. • 3 répliques = les 3 tentatives du diable dans le désert pour tenter Jésus ? • Gradation dans l’ordre de jurer : « Que tu veuilles =>jure donc => il faut jurer ». -> Endurcissement au pêché. • Dom Juan se moque du Pauvre. • Dom Juan se passe de dieu. II - Un double affrontement

la capture du dragon et son enchainement. La clef est synonyme de pouvoir tandis que l’abîme est réputé être le repaire des esprits impurs ainsi que celui du monstre Léviathan. Ap 20, 2-3 : « Il s’empara du dragon, l’antique serpent, qui est le diable et Satan, et l’enchaina pour mille ans. Il le précipita dans l’abîme qu’il ferma et scella sur lui, pour qu’il ne séduise plus les nations jusqu’à l’accomplissement des mille ans. Il faut après cela qu’il soit relâché pour un peu de temps». Le premier