Vautrin Splendeurs Et Misères

Augustines. C'est cet évènement qui, selon Sainte-Beuve, conduit Victor Hugo à se retirer chez lui2 et à entreprendre une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848, mais écrit à la même époque son Discours sur la misère (1849). Durant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et de La Légende des siècles (1859), il se remet à l'écriture des Misérables, à Guernesey en 1860

classe sociale. Par ailleurs, les réalistes décrivent précisément le lieu, les personnages, leurs occupations et leurs métiers sans les idéaliser, donc c’est ça une description réaliste. En effet, par opposition aux romantiques, ils exposent les misères humaines comme la pauvreté, le malheur, et les maladies des personnages. De plus, ils dépeignent leurs ascensions sociales qui sont soit une réussite, Eugène de Rastignac, soit un échec, Julien Sorel dans le Rouge et le Noir de Stendhal. Et afin

Bourignard, ancien entrepreneur de bâtiment, forçat évadé, père de Clémence. Apparaît aussi sous le nom de Camuset et du comte de Funcal. En 1815 il accompagne de Marsay chez la fille aux yeux d'or. – Comte de FUNCAL : semble un précurseur de Vautrin. – Ida GRUGET : couturière, prostituée, maîtresse de Ferragus. Elle se jette dans la Seine et son suicide est évoqué par sa mère dans La Rabouilleuse. – Auguste de MAULINCOUR : officier de cavalerie (son nom réapparaît dans Le Contrat de mariage

de Vautrin. – Ida GRUGET : couturière, prostituée, maîtresse de Ferragus. Elle se jette dans la Seine et son suicide est évoqué par sa mère dans La Rabouilleuse. – Auguste de MAULINCOUR : officier de cavalerie (son nom réapparaît dans Le Contrat de mariage et La Duchesse de Langeais). – Vidame de PAMIERS : ancien commandeur de l'ordre de Malte, ami de la baronne de Maulincour, grand-mère d'Auguste (figure dans Le Contrat de mariage, La Duchesse de Langeais, Le Cabinet des Antiques, Splendeurs et

d'abord régler des démarches administratives pour obtenir l'héritage de son mari. 1844 Etablissement du "catalogue des ouvrages que contiendra la Comédie Humaine" Splendeur et misères des courtisanes, Honorine, Modeste Mignon 1845 Le mariage avec Mme Hanska monopolise toute son attention. Il écrit de moins en moins 1846 Petites misères de la Vie conjugale et La Cousine Bette 1847 Publication du Cousin Pons 1848 Il tente une dernière fois d'entrer à l'Académie française et connaît un nouvel

comme la quête d’une vérité, celle de sa propre vie. Des héros de roman d'apprentissage. Vautrin parle de "cinquante mille jeune gens" qui souhaitent se faire une place au soleil. Voici quelques arrivistes : Chez Balzac : Raphaël de Valentin, La Peau de chagrin ; Félix de Vandenesse, Le Lys dans la vallée ; Eugène de Rastignac, Le Père Goriot ; Lucien de Rubempré, Illusions perdues, Splendeurs et misères des courtisanes. Chez Flaubert : Frédéric Moreau, L'Éducation sentimentale. Chez Stendhal

Les Chouans, 1829 La Peau de chagrin, 1831 Eugénie Grandet, 1833 Le Père Goriot, 1835 Le Colonel Chabert, 1835 Le Lys dans la vallée, 1836 Illusions perdues, 1837-1843 Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1846 Compléments La Comédie humaine a été publiée en 20 volumes illustrés de (1842 à 1852) par Charles Furne en association avec Houssiaux, Hetzel, Dubochet et Paulin. modifier Consultez la documentation du modèle

des auteurs : 1804 : chateaubriand issue aristocratie et contre aristocratie flauber epoque conservatisme 1852… Baudelaire 1852… Maupassant 18252… Rimbaud 1870… (revolte) 1815- balzac (aristocratie/bourgeoisie)-1830 1830-stendhal-1848 1871 :Zola (misere peuple ouvrier/greve :irruption des classes inferieures) Proust (XXesiecle) historique fascination pour ideal aristocratique ; fils bourgeois avec le fait que l’aristocratie n’est plus rien (argent, palais). Victor Hugo fils d’un des hommes de Napoleon

C’est en 1835 que Balzac, écrivain réaliste, termine son nouveau roman intitulé le père Goriot. Il a pour but de représenter la comédie humaine dans toute sa splendeur. Pour cela, il retrace la vie de divers pensionnaires de la médiocre pension Vauquer. On y retrouve, par exemple, le jeune étudiant nommé Rastignac, qui rêve de devenir riche. Vautrin, patron cynique appartenant à une sorte de mafia, lui fera très vite perdre son innocence. D’autre part, l’une des intrigues de ce drame tourne autour du

grâce, de leur beauté et de leur esprit. Leur jeunesse et leur innocence ne semblent jamais atteintes par la fange de l’échelle sociale au bas de laquelle se passe une bonne partie de leur histoire. Passant tour à tour, et du jour au lendemain, de la misère à la fortune, du boudoir à la prison, de Paris à la déportation, de l’exil à la mort, des Grieux et Manon n’ont qu’une excuse : l’amour, ce sentiment qui fait oublier que tous deux mentent et volent, que le premier triche et tue ou que la seconde