Vautrin Splendeurs Et Misères

œuvre romanesque en trois parties : « Études de mœurs » , « Études philosophiques » et « Études analytiques ».Avec plus de deux milles personnages, les conditions de vie des différents milieux sociaux au XIXe siècle sont évoqués. Honorine, Splendeurs et misères des courtisanes, Une ténébreuse affaire, Le Curé de campagne ou encore La Maison Nucingen en sont quelques exemples.Le Père Goriot qui paraît en 1835 en librairie, fonde les bases de la Comédie Humaine et fait partie des Scènes de la vie privée

Honoré de Balzac connaît son premier succès en 1829 avec un roman historique : le Dernier Chouan. Parmi ses ouvrages les plus connus : la Peau de chagrin (1831), Eugénie Grandet (1833), le Père Goriot (1835), le Lys dans la vallée (1836) Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1847). Avec la Comédie humaine, le romancier décrit la société française de son époque avec minutie, historiquement et socialement. Il crée une multitude de personnages (près de 2 500) dont certains se retrouvent d’un

vision des lieux qu'il a aimés et dont il garde la nostalgie4. Mais la motivation principale de Victor Hugo est le plaidoyer social. « Si les infortunés et les infâmes se mêlent (...) De qui est-ce la faute ? » Selon Victor Hugo, c'est la faute de la misère, de l'indifférence et d'un système répressif sans pitié. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu que l'instruction, l'accompagnement et le respect de l'individu sont les seules armes de la société qui peuvent empêcher l'infortuné de devenir infâme. Le

nom et Raphaël de Valentin, héros principal de La peau de chagrin, ont entrepris, comme lui, de rédiger un «traité de la volonté». On trouve un peu de Balzac dans la figure de l'ambitieux Rastignac ou dans celle, plus inquiétante, de ce monstre de Vautrin: «Le romancier authentique crée ses personnages avec les directions infinies de sa vie possible» (2).  Lorsqu'en dehors de ses romans il parle de lui-même, Balzac incline à se comparer aux plus grands. Ce tour emphatique lui vient lorsqu'il veut

Lucien va rencontrer pendant son séjour à Paris. La vie de la capitale change très vite la relation entre les amants, Louise et Lucien. Alors que Madame de Bargeton est invitée avec succès dans les plus grands salons parisiens, Rubempré connaît la misère dans les petites chambres d’étudiant du Quartier Latin. Tous ses espoirs de connaître la gloire s’évanouissent, c’est plutôt les échecs qu’il rencontre, les amitiés passagères, les querelles de jalousie. Lucien devient l’amant d’une actrice à la mode

d’une façon plus générale, drame de la vie privée. 5. La structure dramatique du roman s’organise en trois temps : une longue exposition, un drame, un dénouement. Dans Le Père Goriot la tragédie s’achève sur trois dénouements : l’arrestation de Vautrin, les adieux de Madame de Beauséant et la mort de Goriot. L’exposition, assez longue, s’achève avec la préparation aux drames. Les marques de la temporalité sont représentées par les interventions de l’auteur, à savoir: « en 1819, époque à laquelle

Splendeurs et misères de courtisanes (Balzac) Un jeune homme anonyme comme dans la Peau de Chagrin I) Un incipit énigmatique présentant un jeune Dandy en quête d’identité 1. Un incipit descriptif et réaliste CCT (l1), CCL (l3) L’année situe historiquement l’action L’adjectif « dernier » (l1) = lien implicite avec le lecteur ; paradoxe du dernier bal/début du livre Présence de la 3p.s, nombreux adj. l9 et 7 =, énumération l13, 14 Imparfait descriptif l3, 10 = verbe d’état. 2. Un

une bonne réputation à Paris. Pour les provinciaux, l'argent est un moyen d'émancipation afin de se détacher d'origines considérées, à l'époque, comme peu glorieuses. L'argent conduit à certaines mesquineries comme Mademoiselle Michonneau qui livre Vautrin à la police contre de l’argent. Corruption : La corruption est l'un des vices que l'on retrouve le plus dans ce roman. Il y a toutes formes de corruption. Quand Rastignac sollicite sa famille pour lui « prêter » de l'argent, c'est une forme de

société telle que la voit l'auteur, dominée par l'argent et l'ambition sociale, régie par l'appartenance à telle ou telle classe, et traversée par l'influence occulte de rapports mystérieux unissant le physique au moral. Qu'il peigne Paris (Splendeurs et misères des courtisanes, Les Illusions perdues, La Peau de chagrin, Le Père Goriot,...) ou la province (Le Curé de Tours, Le Lys dans la vallée, Eugénie Grandet,..), ou encore qu'il plonge dans l'histoire récente (Les Chouans, L'Histoire des Treize

Augustines. C'est cet événement qui, selon Sainte-Beuve, conduit Victor Hugo à se retirer chez lui3 et à entreprendre une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848, mais écrit à la même époque son Discours sur la misère (1849). Durant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et de La Légende des siècles (1859), il se remet à l'écriture des Misérables, à Guernesey en 1860