Vavasseur

roi Arthur   * Keu le sénéchal : officier royal du roi Arthur   * Monseigneur Gauvain : un chevalier du roi Arthur   * Monseigneur Yvain : fils du Roi Urien, époux de Laudine, et jeune chevalier fougueux qui devint le Chevalier au lion * Le vavasseur : celui qui hébergea les chevaliers errants * Le Vilain : gardien des taureaux sauvages * Esclados le Roux : Chevalier de la fontaine et époux de Laudine de Landuc   * Laudine de Landuc : fille du duc Laudunet, la veuve d’Eclados le Roux

de l’hommage. Le fief est au cœur de la société féodale, il passe de mains en mains. Tout seigneur doit agrandir son fief mais qui celui au final agrandira son domaine est le roi. Lorsqu’un fief est divisé en plusieurs vassaux ceci s’appel un vavasseur. Sur ce fief ce sont les vilains et les serfs. Un serf est donc un paysan attaché à une seigneurie ; au contraire le vilain est un paysan libre. Pour autant les deux paysans cultivent. Il n’y a pas d’élevage. Ils travaillent la terre et paye des

général. Renvoyé du lycée en 1839, il obtient tout de même son baccalauréat et commence alors ses études de droit. Pendant trois ans (1839-1841), il mène une vie de bohème au quartier latin. Il fréquente LECONTE DE LISLE (1818-1894), se lie avec LE VAVASSEUR (1819-1896) et devient disciple de GAUTIER (1811-1872). Il lit beaucoup. Afin de l’arracher à cette vie « scandaleuse », sa famille l’envoie en Inde par bateau (1841) où, elle l’espère, il fera des rencontres et changera de vie. Pris de nostalgie

contemporaine que Chrétien nous présente. Le roman est d’abord un roman courtois ; la courtoisie reflète un courant de pensée qui s’est développé, dont Chrétien est le serviteur à la cour de Marie de Champagne. Certaines scènes, comme l’hospitalité du vavasseur, sont caractéristiques du Moyen Age. Cet art de vivre n’est pas forcément exactement celui de l’auteur, puisque pour le chevalier à la charrette, qui est une commande, Chrétien ne termine pas lui-même le récit ; il le confie à un de ses disciples

1 ...la poésie d'un alcoolique Comme Baudelaire, qui a longuement parlé du haschich, en a en fait peu consommé, au cours d'expériences très prudentes et surveillées, il ne fut pas alcoolique, et sans doute même très rarement ivre. Son ami Le Vavasseur écrit : « Il était naturellement sobre. Nous avons souvent bu ensemble. Je ne l'ai jamais vu gris, ni lui moi. » Et le photographe Nadar, qui fut son intime de 1843 jusqu'à sa mort : « Jamais, de tout le temps que je l'ai connu, je ne l'ai vu vider

sa mémoire, le poète, dans une gradation tragique, montre que l’ennui l’envahit, que la vie le quitte et le pétrifie. La phrase qui constitue les vers 15 à 18 est consacrée à l'ennui, que, dès sa jeunesse, Baudelaire éprouva, ses amis, Dozon, Le Vavasseur, I'appelant «jeune homme ennuyé», parlant de «I'ennui froid et livide» qui le rongeait ; dont il fit un thème dès les débuts de son oeuvre poétique, les vers ‘’Au lecteur’’ prouvant assez que, vers 1855-1857, il n'en était pas guéri. Il avait justifié

vassal n’est pas mon vassal ». C’est un célèbre adage qui, durant les XIème et XIIème siècles a largement remis en cause l’ordre féodal et plus particulièrement la hiérarchie féodale. Cet adage, empêchant ainsi au roi d’avoir une autorité sur ses vavasseurs, a limité son pouvoir d’expansion et d’autorité. En effet, au alentour de l'an mille, la féodalité est désorganisée et l'éclatement du pouvoir royal est à son comble. Jusqu'au milieu du XIIe siècle, la totalité des pouvoirs se trouvent

il se tourne vers le roman écossais, marqué par le succès de Waverley, avant d'évoluer vers le roman historique, où il brille notamment avec Ivanhoé et Quentin Durward. Ivanhoé Au XIIe siècle, Cédric de Rotherwood, dit le Saxon, un thane (ou vavasseur, pour les Normands) nostalgique de l'Angleterre saxonne vaincue en 1066, rêve de rétablir sur le trône de l'Angleterre un monarque autochtone en la personne d'Athelstane de Coningsburgh, un voisin, descendant des derniers rois saxons. Dans ce but

demande d’abord au nain de la charrette « se [il] a veüs par ici / passer [sa] dame la reïne. ». Puis il interroge la demoiselle du carrefour : « "Dameisele, ou est cele terre ? / Ou porrons nos la voie querre ?" ». Il demande ensuite conseil à un vavasseur qui l’héberge : « "Est cele aussi droite / come ceste voie de ça ?" ». Ces épisodes nous amènent certes à considérer l’aventure de Lancelot comme une errance. Cependant est-il vraiment justifié de nommer errance un parcours qui n’est pas vain ? En

concurrents. 3.2 Hommage lige En dehors des cas de rupture, le jeu politique dans le système féodal est rendu possible par la pluralité des engagements d’un même vassal, qui possède en outre ses propres vassaux, jusqu’au terme ultime du vavasseur, c’est-à-dire celui qui n’a pas de vassaux. La faculté de devenir l’homme de plusieurs seigneurs permet aux vassaux d’accorder au plus offrant une fidélité préférentielle. Pour se prémunir contre l’anarchie qui peut en résulter, les seigneurs les