Vendémiaire

soif de vie, il dit d’ailleurs que la vie est un alcool qui brûle et enivre, enthousiaste et meurtrit. Enfin on trouve dans le poème des références à l’alcool et l’ivresse et cela est très significatif car on les trouve surtout dans « Zone » et « Vendémiaire », les poèmes d’introduction et de conclusion La composition  Les sections Le recueil, est partagé en plusieurs sections, une section regroupant plusieurs poèmes très souvent les poèmes d’une même section ont un thème commun. Très souvent une

22 septembre 1792 et il se termine le 21 Sept 1793. Ce sont des années qui se font de septembre à septembre. Nomenclature des mois en fonction de la nature. Les mois d’automne, d’hiver, de printemps et d’été. Les mois d’automne finissent en R : vendémiaire du 22 Sept au 22 oct, brumaire 22 oct, 20 nov, frimaire du 20 nov au 20 décembre. Les mois d’hiver se termine en ôse : nivôse, pluviôse, ventôse Les mois de printemps  se termine en al : germinal, floréal et prairial. Les mois d’été : messidor

« Zone » à « Vendémiaire » à savoir : espoir-désespoir, amour-possession, voyage-errance, mémoire-infidélité, vie-monotonie, vie-autonomie qui mettent en évidence le malaise et la souffrance très loin de la libération attendue dans l’ivresse qui devrait noyer les soucis. Le poète, ivre du désir de vivre une vie aux couleurs captivantes de l’alcool se trouve obligé vu ses multiples trajets sans réel espoir de conclure aux désenchantements meurtris dans le poème liminaire « Vendémiaire » : « Action

et le dernier poème écrit. A l’origine, le recueil devait s’intituler Eau de vie. Ce n’est qu’au dernier moment que le titre sera changé, en même temps que seront ajoutés les deux textes les plus récents « Zone », placé au début du recueil et « Vendémiaire » placé en dernier. Même s’il règne un désordre apparent et si l’on ne note pas d’unité de ton, on remarque que ce recueil est composé de façon cohérente autour du symbole du phoenix. Il est intéressant de remarquer qu’Apollinaire choisit de commencer

Schinderhannes • Signes • Un soir • Vendémiaire • Zone (voir : Pihis) Précisons que les poèmes ne sont pas dans l'ordre chronologique dans le recueil, par exemple, Zone est le dernier écrit mais c'est Apollinaire lui-même qui l'a placé en tête du recueil. Ce poème liminaire suivant le poète (ou sa persona) déambulant dans Paris puis dans ses souvenirs, introduit le lecteur dans l'univers d'Alcools et donne donc un certain nombre de clés de lecture. Il répond à Vendémiaire qui clôture le recueil. [modifier]

ses lecteurs par l’absence de ponctuation, mais aussi avec des localisations et références connues, car ils vivent dans ce monde moderne et ont donc envie de quitter les anciens codes. OUVERTURE : « Vendémiaire » : Dernier poème du recueil, il répond à « Zone ». « Zone » débute un matin et « Vendémiaire » finit à l’aube. Ils représentent tous deux un Paris neuf et moderne.

c'est l'absence de ponctuation et sa composition : Cependant, on remarque que le premier vers du recueil "A la fin "  dans le poème « Zone » fait penser  à la   fin du recueil alors que le dernier vers du recueil " le jour naissait"dans le poème " Vendémiaire » fait penser au début de quelques choses ,du recueil ?Ma thématique préférais et celle de l'amour car c'est une des seules thématiques qui dure tous le long du recueil on arrive a la suivre plus clairement et on a envie de connaître plus précisèment

et le dernier poème écrit. A l’origine, le recueil devait s’intituler Eau de vie. Ce n’est qu’au dernier moment que le titre sera changé, en même temps que seront ajoutés les deux textes les plus récents « Zone », placé au début du recueil et « Vendémiaire » placé en dernier. Même s’il règne un désordre apparent et si l’on ne note pas d’unité de ton, on remarque que ce recueil est composé de façon cohérente autour du symbole du phoenix. Il est intéressant de remarquer qu’Apollinaire choisit de commencer

en miroir pour former une boucle, et donc une certaine structure du recueil. Cette symétrie se retrouve également dans la longueur des vers ; « Zone », l’un des plus longs poèmes, est mis en relation avec « Vendémiaire », faisant 174 vers. De plus, « Zone » débute « ce matin », et « Vendémiaire », finit dans la nuit, à la levée du jour, pour renforcer la boucle. La circularité et la symétrie en miroir sont donc les deux principales structures organisatrices

que ce sont les cous des mauvais cygnes qui «n’étaient pas chanteurs» qui sont devenus des serpents. “Le brasier”, qui se situe au milieu du recueil “Alcools”, est à égale distance de "Zone", qui symbolise plutôt une descente aux Enfers, et de "Vendémiaire", qui est un chant triomphal. C'est parce qu'il rencontre le feu purificateur du "Brasier" qu’Apollinaire peut remonter à la lumière, que tout rebondit en nouveauté. Or, selon Bachelard, le feu ressortit à la volonté que tout change. Nuit Rhénane