Vent apparent

seule chose qui lui manquait c’était quelqu’un avec qui vivre heureuse. C’était son endroit préféré, la couleur de la nature, le vert des arbres, le bleu du ciel, la couleur du fleuve, l’odeur de la nature, de la nourriture qui sort des fenêtres, et le vent qui soufflait un air frai. C’était là bas qu’elle se sentait à l’aise, elle aimait regarder les touristes en train de prendre des photos, les enfants en train de jouer, les amoureux qui font une promenade en péniche. Elle avait assez d’argent pour

Les plages offrent des facettes très différentes selon que vous êtes à Basse-Terre ou en Grande-Terre. Le sable se décline sur tous les tons : noir à Basse-Terre, blanc en Grande-Terre. La côte sous le vent de la Basse-Terre est ourlée de jolies criques où la mer est paisible. La côte au vent de la Grande-Terre est plus sauvage et rendu plus dangereuse par les falaises et le ressac de l’océan. [pic] Sous l’eau Pitons volcaniques surgis des profondeurs de la mer des Caraïbes, les îlets

éolienne est-elle une énergie verte ? Le vent est une source d’énergie inépuisable qui ne rejette ni CO2 ni déchets. Par contre, la fabrication de l’aérogénérateur, du mat, leur transport, leur assemblage, le socle en béton (1 000 tonnes de béton pour 2MW) ont des impacts divers sur l’environnement et produisent du CO2. Les pales en fibre de verre ne sont pas recyclables. Le vent est capricieux, imprévisible, variable. Pour pallier l’intermittence du vent, on peut multiplier le nombre des éoliennes

partager leur bonheur avec un vent qui soufflé autour de nous et le soleil qui se couché. Après la photo prise, j’ai dû retourner sur ma serviette, mais mes parents m’appellent « Anny !» pour que je tremper mes pieds dans l’eau. J’ai dû leur faire confiance et tremper mes pieds. Cette photo me dit que le temps était au rendez-vous, que mes parents et moi étaient heureux de nous retrouver en famille mais réunis pour combien de temps encore. Je me souviens d’un petit vent qui soufflait autour qui commençait

UNAMICOMMENT EST GENERE UN TSUNAMI ? QUEL EST SON IMPACTE SUR LES INFRASTRUCTURES ET LA POPULATION ? Document 1 : source http://fr.wikipedia.org Fichier:Tsunami-étapes.jpg Un tsunami est un mouvement rapide d'un grand volume d'eau dont l'origine est le plus souvent l'effet d'un tremblement de terre ou d'une éruption volcanique. Il est associé à la naissance et au déploiement d'une immense vague qui devient déferlante et destructrice au contact des rivages terrestres. Document 2 : Source http://www

disponibilité ? Mots-clés : soleil, photovoltaïque, électricité, rayonnement solaire [pic] II) énergie éolienne Qu’est-ce que l’énergie éolienne ? A quoi sert-elle ? Comment l’utilise-t-on? Contraintes de disponibilité ? Mots-clés : vent, électricité [pic] III) énergie hydraulique Qu’est-ce que l’énergie hydraulique ? A quoi sert-elle ? Comment l’utilise-t-on ? Mots-clés : Eau, barrages, marées, hydroélectricité [pic] IV) biomasse Qu’est-ce que

penuria - carecer de /manquer de |Está lloviendo /il pleut - la lluvia - está nevando/ il neige - la | |El consumo excesivo - responsable - la basura / la poubelle - |nieve - sopla el viento/ le vent souffle | |tirar /jeter - los deshechos/ les résidus |Quemar /brûler - arder en llamas /être en flammes - encender | |La pobreza - la injusticia - la solidaridad -echar una mano

dire que la source d’énergie utilisée, le vent, est en permanence présent et sera toujours présent dans mille, dix mille, cent mille ans, … contrairement aux énergies fossiles et nucléaires. L’homme utilise le vent depuis longtemps pour pousser des embarcations nautiques ou actionner des moulins. Aujourd'hui, il la récupère pour la transformer en électricité. Pour cela, il a recours à des éoliennes. Une éolienne transforme une énergie cinétique (le vent) en une énergie électrique. • Description

c’est la chose inconnu, vaste, perdue, le pays des mirages et des fantasmagories, où l’on voit, la nuit, des choses qui ne sont pas, où l’on entend des bruits étrange que l’on ne connaît point, où l’on tremble sans savoir pourquoi au simple bruit du vent traversant les arbres, comme en traversant l’endroit le plus terrifiant de toute la région : et c’est en effet le plus sinistre et stressant des endroit, celui où l’on n’a point de repos. « Les champs sont bornés de paysan, et dans l’ombre, quand

lumineuse. Un vent froid soufflait de la plaine. Le bois, était ténébreux, sans aucun froissement de feuille, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies ; quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement