Vent dominant

grands, la fragilité des petits,et la résistance de chacun.   I. ​ Les personnages 1. ​ Personnification des personnages: « Chêne » , « Roseau » , « Vent ». → Prise de parole / dialogue. → Majuscule « ​ C​ hêne » , « ​ R​ oseau ». → parties du corps cités: Chêne: « Front » , « dos » , « tête ». Roseau: « tête ». → Sentiment humain: compassion. → Vent: « le plus terrible des enfants » 2. Catégorie de personnages ​ → Chêne: Arbre résistant, puissant (noblesse) → Roseau: Arbuste, petit (peuple) 3.

Préface Avez-vous déjà contemplé le flot tumultueux des vagues, entendu le fracas inexorable lorsque celles-ci se brisent sur la grève, humé l'odeur salée de la marée, ou encore ressenti la caresse abrupte du vent ? La mer, voilà le sujet que j'ai choisi pour cette anthologie. Si la mer a été abondamment traitée en poésie, elle reste fascinante et regorge aujourd'hui encore de mystères, tant son emprise sur l'homme à travers les siècles est forte. J'ai choisi ces poèmes pour la force de leurs

puissance. Oh ! quel tonnerre au fond des cieux,   Quand Dieu, cherchant ces êtres frêles Que dans l'ombre où nous sommeillons Il nous envoie avec des ailes, Les retrouves avec des haillons ! Le Mendiant Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.  C'était le vieux qui vit dans une niche au bas  De la montée, et rêve

représente ce qu’il ressent a « Une feuille séchée que le vent chassait devant moi » Tout le monde le chasse aussi facilement que le vent chasse une feuille. 2 Comparaison a « Les sons me rendent […] silence d’un désert » Il compare les sons de la nature à sa solitude. Conclusion paragraphe A : Le héros caractérise sa solitude en faisant référence à la solitude de la nature. B René est triste 1 Champ lexical définissant une nature agiter a « vent » ; « pluie » ; « frimas » Il ne parle pas de soleil

fond du ciel Des éperviers*planent Sur les nixes nicettes* aux cheveux verts et naines* Qui n’ont jamais aimé Aux lisières lointaines Les cerfs ont bramé* Et que j’aime ô saison que j’aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu’on les cueille Le vent et la forêt qui pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille Les feuilles Qu’on foule Un train Qui roule La vie S’écoule Guillaume Apollinaire * Voir lexique à la fin

qui expriment l’acmé de la maladie. 2. …et lui donne une dimension cosmique voire apocalyptique La peste est ici décrite comme un fléau (cf. étymologie) ravageur qui, aidé par les éléments naturels, s’étend peu à peu dans la ville. La violence du vent qui « s’engouffre dans les rues avec toute sa violence », « souffle » et « ba[t] les jambes » montre l’emprise de l’épidémie sur les habitants qui paraissent « courbés en avant », anéantis. Cette expression redondante exprime la force du fléau et la

est une ressource exploitée depuis longtemps. elle permet actuellement la production d'électriciténà partir du vent le rendement: Plus le vent sera irrégulier en intensité, en direction, plus le rendement de l’éolienne sera faible. Au total, le rendement est de 12 à 30% par rapport à l’énergie initiale du vent. l'interet ecologique/énergétique: -utilisation d'une ressource naturel (vent) - énergie non polluante

Ex : Ce garçon, c’est un dieu! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. La personnification : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. (c’est un cas particulier de la métaphore) Ex : Le vent mugissait dans les branches et hurlait sous les portes. L’allégorie : on utilise un être vivant ou une chose pour représenter une idée. Ex : la mort est souvent symbolisée par une femme armée d’une faux. Les figures de l’opposition : L’antithèse

sang, corps, pourriture et de boue. Leur camarades mouraient sous de leur yeux de façon effroyable. La nourriture qu'on leur servait n'était pas des plus raffinée, elle était même le plus souvent servit froide. Tout cela dans le froid, la neige, le vent, la pluie et le sifflement incessant des différents missiles. Les combats là bas faisaient rage, bloqués dans une guerre de position les soldats n'avaient d'autre choix que de continuer à ce battre. Pour cela ils étaient équipés d'un casque, d'un

attiré mes regards ; souvent j’ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête.» Conclusion A : promenade fréquente et rapport entre nature et René B) Messages de la nature à René 1. Énumération a) «une feuille séchée que le vent chassait devant moi […], la mousse qui tremblait au souffle du Nord sur le tronc d’un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait!» 2. Discours direct rapporté a) «Homme, la saison de ta migration[…]» d’«une voix du ciel»