Vents Saint John Perse

« Impromptu » et « Vents » (respectivement de Musset et de Saint-Jonh Perse) est vue comme une sorte de journal intime dans lequel les auteurs y écrivent et expriment ce qu’ils ressentent au moment où ils le pensent. Un journal où y confier ses peines, ses rires, ses joies, ses passions dans un but personnel ou à partager : la sincérité et l’originalité en sont les maitres-mots. Une conception partiellement commune à Francis Ponge qui, en accord avec l’adjectif « vif » employé par SJ. Perse, considère la

complémentaires : A propos du poète et de la femme : 1- RIMBAUD, Poésies, « Vénus Anadyomène ». 2- BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, « L’Invitation au voyage ». Vers la modernité poétique : 3- APOLLINAIRE, Alcools, « Zone », début. 4- SAINT JOHN PERSE, Vents, III, 1, extrait : éloge des aventuriers. Lecture cursive : L’aventure dans le roman (première approche d’un genre) : CENDRARS, L’Or. Prolongements proposés à la classe par le professeur : 1- Le voyage en transsibérien : comparaison

complémentaires : Etude des genres et registres ; Etude de l’argumentation et des effets sur le destinataire  Lectures analytiques : Groupement de textes ▪ Les illusions du moi - Chassignet Sonnet 263 ▪ Les illusions du monde - Saint-Amant Oeuvres poétiques « Le Melon » ▪ Les illusions théâtrales - Pierre Corneille L’Illusion comique I, 1 v. 1 à 46 - Pierre Corneille L’Illusion comique II, 2 v. 221 à 285 - Pierre Corneille L’Illusion comique V,6 v.1746 à 1815 Lectures

Intellectuels et Révolution : Blok A., L’intelligentsia et la révolution, Cazimi, 1996. Kagarlitsky Boris, Les Intellectuels et l’Union Soviétique de 1917 à nos jours, PUF, 1993. Saint-Pétersbourg / Léningrad / Stalingrad : Brodski J., Loin de Byzance, « Guide d’une ville re-nommée », p.64-84. Lo Gatto E., Le Mythe de Saint Petersbourg, Ed de l’Aube, 1995. AUTOUR DE CESAIRE : Autres éditions, autres textes de l’auteur : Césaire Aimé, Cahier d’un retour au pays natal, Présence africaine, 1983

sérieusement ses études et, dans sa seizième année, fut nommé organiste titulaire à l'église St John de Wimbledon. Il essaya d'autres instruments : l’orgue, la flûte, le hautbois, la clarinette et le violoncelle Tout en se livrant à la musique religieuse, le jeune Ketèlbey n'en composait pas moins des ouvrages classiques et, de cette première période, datent un quatuor à cordes, un quintette pour piano et vents, un konzertstück et un caprice pour piano et orchestre, des suites et une ouverture qui ne

l’esprit de l’homme qu’il en perde à peu prés la parole, puis réinvente un jargon » « (la poésie) est ce qui ne se donne pas pour poésie. Elle est dans les brouillons de quelques maniaques de la nouvelle étreinte »(Le Grand recueil, 1961) -Saint-John Perse, Vents, 1946 : « Non point l’écrit, mais la chose même. Prise en son vif et en son tout » -Blanchot : les mots ne peuvent js atteindre les choses ; le mot n’existe que ds la mesure où il n’est pas la chose, où il est l’absence de la chose. Le

Présentation de la 4 CV Renault au Salon de l’Auto mars : Churchill parle du rideau du fer. L’Allemagne devient publiquement un objet de discorde entre les vainqueurs de la guerre. Sartre : Morts sans sépulture, la Putain respectueuse Saint-John Perse : Vents Gide : Thésée 1947 16 janvier : réunies en Congrès, les deux assemblées procèdent à l’élection du président de la République. Dès le premier tour de scrutin, elles élisent Vncent Auriol, le président de l’Assemblée nationale (SFIO)

rapprochent de l’idée de ce que chacun se fait des moulins à vent, composés d‘ailes et fixées perpendiculairement et uniformément autour d’un axe horizontal. 1. Première apparition de moulin a vent. Les premiers moulins à vent apparaissent en Perse dès l’an 600 et servait à l’irrigation. Il est ensuite apparu en Orient et en Egypte ancienne. Ils étaient constitués d’une éolienne à axe vertical. Des orifices dans les parois du moulin permettaient à l’air de s’engouffrer pour actionner l’éolienne

respandent leurs saints dons Dans une ame vicieuse. […] Cette inspiration divine ne contrevient pas avec la conception ornementale qui prévaut avant le romantisme, le don poétique est au service de l’imitation de la nature préconisée par Aristote : J. Vauquelin de La Fresnaye, « l’Art Poétique François », 1605. […] Comme le voyageur qui d’un beau lac approche, En son bord se va mettre au coupeau d’une roche, Là demeurant long temps oisif en son repos, Il n’a rien pour object que les vents et les flots

sera enchaînée à un rocher, au pied d'une falaise et sauvée par Persée. Ce dernier éloignera l'animal, en sortant la tête de la Gorgone Méduse d'un sac, et le pétrifiera. Persée avait demandé au roi de Joppa la main de sa fille s'il parvenait à la sauver. Les festivités du mariage seront interrompues par une délégation conduite par Phinée, l'oncle de Céphée, qui devait épouser Andromède. L'homme déçu tentera d'enlever sa promise. Persée transformera les intrus en pierre grâce à la tête de la Gorgone