Vénus callipyge

l’amour, Phèdre est aussi en proie à une fatalité implacable, infligée par les Dieux.  procédés du registre tragique. La fatalité est construite dans l’aveu même.  Du 32 au v 41 « O haine de Vénus […] la plus misérable », le rappel du passé rattache la passion de Phèdre à la malédiction lancée par Vénus sur sa famille et qui a déjà atteint sa mère Pasiphaë (v.33 )et sa soeur Ariane (v.36 ) celle des amours interdites et maudites.  Phèdre s’inscrit dans la lignée des victimes de la fatalité

le pointe du doigt tandis qu’il chevauche un dauphin. Auguste a les bras, les jambes et les pieds découverts pour le représenter dans sa nudité héroïque qui le divinise donc. Le petit cupidon se trouvant à sa droite est une allusion à la déesse Vénus, ancêtre officielle d’Auguste grâce à son adoption par César, et le dauphin qu’il chevauche rappelle la Bataille Navale d’Actium, lui ayant permis de renverser ses deux principaux ennemis, Cléopâtre et Marc-Antoine.En étudiant de plus près les bas-reliefs

d'Aphrodite, déesse de la beauté et de l'amour. Verlaine nous dépeint cette atmosphère propice à la séduction, une ambiance indécise et lunaire. L'embarquement se fait dans le soir crépusculaire modestement éclairé par l'étoile du berger, la planète Vénus, planète visible dès le coucher du soleil. Les lieux sont obscurs, Baudelaire nous avait parlé d'une île triste et noire, Verlaine reprend la couleur, l'eau y est est noire, comme un sinistre présage. Le tremblement est l'image de l'équivoque, de l'imprécision

Depuis que Phedre, fille de Minos et Pasiphaé, est arrivée à Athenes, les temps ont changé (vv34-36), elle blesse Hippolyte (vv38-47) le fils de Thésée. Phèdre est contrainte d’être amoureuse d’Hippolyte (vv276-277 ; vv257-258 ; v286) à cause de Vénus qui a aussi victimisée sa mère (v250 ; vv1150-1151) puisqu’elle a donné naissance au Minotaure en tombant amoureuse d’un taureau. Contrairement à sa soeur Arianne abandonnée sur un rocher où elle mourrut (v89 ; vv253-254), Phèdre a eu plus de chances

complice. L'amour est présent dans l'ensemble des poèmes du corpus mais n'apparait pas de la même manière. Victor Hugo évoque l’amour en général, la puissance d’une force amoureuse qu’il personnifie sous les traits de la déesse Vénus au travers de l'anaphore «Avez-vous vu Vénus àtravers la forêt ? ». Il n'évoque pas son propre sentiment personnel, mais ceux des «amants »ou des «couples »qu'il associe àla déesse et rappelant les «baisers » échangés mis en valeur par leur place finale dans le texte

lutte contre sa passion, mais sa lutte est vouée à l’échec. Sa passion est donc fatale et irréversible. Nous remarquons que sa passion est une fatalité car Phèdre a été maudite par la déesse Vénus, et son destin est déjà tout tracé, comme il est dit au vers 59 : «  Cruelle destinée ! », ou la mention de Vénus au vers 35. Phèdre est victime d'une transcendance inéluctable. Phèdre sait que sa passion est un crime, mais elle est partagée entre un sentiment de culpabilité et d’innocence. Le vers 56 démontre

Lecture analytique « Vénus anadyomène » Introduction : Lorsqu'il évoquait sa démarche poétique, Charles Baudelaire expliquait parfois qu'il prenait de la boue pour en faire de l'or, ouvrant ainsi la poésie sur le monde du laid. Dans son sonnet de 1870 intitulé « Vénus anadyomène », extrait du recueil des Cahiers de Douai, Rimbaud s'inscrit dans cette voie et propose un traitement personnel et iconoclaste du motif mythologique de la naissance de Vénus, universellement connu par ses expressions

plusieurs œuvres littéraires connues dont ''le Diable amoureux'' de Jacques Cazotte,''La fée aux miettes'' de Nosier et plus tard, ''Le Horla'' du célèbre Guy de Maupassant.Entre temps en 1835, alors qu'il avait 34 ans, Prosper Mérimée écrit ''la Vénus d'Ille'', une nouvelle fantastique inspirée d'une légende médiévale, de ses souvenirs de tournées archéologiques dans le Roussillon et d'un opéra créé en 1831 qui raconte la vengeance d'une statue à laquelle un corsaire a passé une bague au doigt.

Médicis. La jeune femme mourut à l’âge de 22ans. On vit alors de nombreux portraits posthumes : Portrait de Simonetta, Vénus et Mars, et l’une des œuvres les plus connues de Botticelli La Naissance de Vénus (1485), tableau sur toile de lin de deux mètres soixante-dix-neuf sur un mètre soixante-douze, exposé aux Offices de Florence. Cette Allégorie de la Vénus mythologique dans sa forme anadyomène, c’est-à-dire sortie des eaux ne relève pas d’une réelle complexité technique,

La Naissance de Vénus (Botticelli) La Naissance de Vénus est un tableau de Sandro Botticelli, peint vers 1485 et conservé aux Offices de Florence. Il a été peint selon la technique de la tempera. [pic] Thème La grâce des formes de Vénus est obtenue par le canon esthétique Cette peinture est une allégorie : la Vénus mythologique, dans sa forme anadyomène. Le modèle de la Vénus, Simonetta Vespucci, était la femme de Marco Vespucci et la maîtresse de Julien de Médicis, et considérée comme