Verbe déponent

l'huître, il se battent à moitié pour l'avoir alors que le bon chrétien aurait offert l'huître à son proche. Dès le vers suivant, un double chiasme apparaît annonçant la séparation des deux pèlerins. Il y a d'un part un chiasme avec verbe, complément du nom, complément du nom, verbe et d'une autre part il y a un chiasme rythmique avec quatre syllabes, deux syllabes, deux syllabes, quatre syllabes. Le vers d'après, la séparation est nette à partir du mot « dent ». le mot « dent » est une métonymie. Elle peut

« et », pour créer une sorte de dilemme intérieur : « Toutes, en face de cette cataracte lâchée, restaient debout, avec la peur sourde d’être prises dans le débordement d’un pareil luxe et avec l’irrésistible envie de s’y jeter et de s’y perdre ». Le verbe « perdre » se comprend ici à double sens : concrètement dans le magasin, et moralement, en cédant aux avances commerciales de Mouret. • En quelques lignes, récapituler les grandes étapes du commentaire composé en soulignant comment les idées d’abondance

repères temporelles : - «  Quand »… je respire l’odeur - «  Guidé »… par ton odeur - « Pendant que »… le parfum De plus, ce parfum est bien le point de départ de l’évocation, car de sa présence découlent les images : on trouve deux occurrences du verbe « voir » : - quand… je respire…je vois - guidé… par ton odeur…je vois Le poète voit un monde différent , c’est l’ailleurs Baudelairien : C’est d’abord un monde marin , le champ lexical de la mer: - rivages - iles - port - voile - vague

Lecture analytique 3 : Le meurtre de l’Arabe Dans ce passage, le perso-narrateur Meursault est retourné seul sur la plage après une altercation opposant son ami Raymond et deux Arabes. L'un deux est le frère de l'ancienne femme de Raymond. Le narrateur a sur lui le revolver de son ami. Il l'avait forcé à lui remettre pour éviter un débordement. Par hasard, il rencontre un des deux Arabes. Ce texte est poignant car sa progression dramatique semble reposer sur le hasard de la rencontre, et pourtant

Progresser vers la maîtrise de la langue française - Produire des phrases complexes, correctement construites. - Utiliser à bon escient les temps des verbes pour exprimer le passé et le futur (le choix du temps étant plus important que la forme exacte du verbe conjugué). - Utiliser un vocabulaire pertinent (noms, verbes, adjectifs, adverbes, comparatifs), concernant : • les actes du quotidien et les relations avec les autres, • les activités et savoirs scolaires et en particulier l’univers de l’écrit, •

mélancolique est détruite par le terme « maîtresse » qui serait le penchant plus trivial de l'amour. Dès les deux premiers vers, le poète annonce la principale opposition qui va être la tension de cet extrait. On peut également noter la présence du verbe « penser » au deuxième vers qui vient renforcer l'idée d'introspection et d'atemporalité et qui rappelle les deux derniers vers de la strophe précédente. Le poète renverse ensuite les codes de l'amour traditionnel où on tombe amoureux d'une jeune

paraissent. Par exemple, la répétition du mot « silence » (l.5; l.16) indique au lecteur une tension palpable. Dans la scène, Raymond se met à fumer, souvent preuve d'anxiété, et il allume sa cigarette « d'un geste qui se voulait tranquille » (l.22), le verbe « se voulait » montre que son geste donc soi-disant calme et en fait un signe de nervosité, il appréhende et a peur de la réaction de sa fille. Cette idée est d'ailleurs approuvé par le fait qu'il « regard[e] ses mains » au lieu de regarder sa fille

- tous les autres verbes sont au présent. *Situation d’énonciation - émetteur : l.34 « Je n’ai vu pareille abondance ». => Témoignage direct à un destinataire présent mais dont on ne perçoit pas la présence. => Utilisation du verbe avoir vu : description. *Type/texte - « Je n’ai vu > champs lexicaux ». - les noms communs décrivent les éléments du décor et les verbes peignent les formes. => Il s’agit d’un texte descriptif. *1er§ : La ville vue de loin - éléments

d’une part la « douceur qui fascine » et d’autre part « le plaisir qui tue ». La proximité de ces expressions réunies dans un même vers exacerbent le contraste, de même que le parallélisme de la construction de l’alexandrin : nom / pronom relatif / verbe. Cette forte contradiction qui définit souvent la femme dans l’univers baudelairien est reprise dans l’évocation de son «oeil » par la métaphore céleste : « ciel livide où germe l’ouragan ». Grâce à cette image, le poète met en relief une violence

conscience de sa blessure « chasse le nom de cette femme, que je ne veux pas prononcer » (v.160-161). Elle s'adresse à la deuxième personne du singulier des vers 152 à 155 « Apaise-toi », « t'en conjure », « tes », « ta » et utilise un impéartif et un verbe de demande ce qui prouve sa témérité dans la nécessité de l'oublier. Ensuite, dans la citation « Honte à toi qui la première » (v.162) deux figures féminines se superposent, d'une part, l'image de la première maîtresse coupable de trahison, que le