Verlaine Ariettes Oubliées V

Sahagun Mathias Lycée Emile Jacqmain Classe de 5ème MS Année 2013-2014 Travail de français sur le poète Paul Marie Verlaine. • Verlaine dans son époque ¬! Situation dans le contexte historique ¬! Courants littéraires • Naissance et jeunesse ¬! Biographie ¬! Naissance artistique : « Poèmes Saturniens » • Les années Rimbaud ¬! Voyages et descentes aux enfers ¬! « Ariettes oubliées- Il pleut dans mon cœur » ♣! Analyse phonétique ♣! Analyse lexicale ♣! Analyse sémantique ♣! Analyse prosodique

Verlaine, le Romantisme et le Parnasse Le Romantisme : Mouvement littéraire et culturel européen dominant la première moitié du XIXe siècle, le romantisme exalte la puissance de l'imagination et l'expression de la sensibilité. Fortement marqué par la Révolution, il exprime le lien entre violence historique et destinée individuelle. En France, il réunit des auteurs comme Victor Hugo (1802-1885), Alfred de Musset (1810-1857) et Alphonse de Lamartine (1790-1869). Il né en Angleterre au XVIIème

Les contemplations de Victor Hugo  Sommaire 1. Biographie de V. Hugo 2. A la découverte de l’œuvre (thèmes , structure, nombres de poèmes …) 3. la poésie engagée (poésie de V.H qui relate l’engagement) 4. photographie 5. la poésie lyrique 6. le romantisme et le lyrisme 7. Romance sans parole de Paule Verlaine (lecture cursive ) 8. Notion sur la poésie La poésie est l’un des genres littéraires les plus anciens, utilisé déjà dans l’Antiquité grecque, par les orateurs

Paul Verlaine « Green » Romances sans paroles (1874) Introduction : Paul Verlaine, né en 1844 et mort en 1896, s’intéresse rapidement à l’art et la littérature. Il lit la poésie de Victor Hugo, Charles Baudelaire et Théophile Gautier. Il rédige des critiques littéraires à 21 ans, ses premiers poèmes paraissent dans Le Parnasse contemporain. Sa poésie reste inclassable, mélangeant l’esthétique parnassienne et le romantisme. Marié à Mathilde Mauté en 1870, il aspire à une vie ordonnée et bourgeoise

par Paul Verlaine Ariettes oubliées, de « Romances sans paroles » en 1874. Chaque auteur met enévidence dans son poème un, voire plusieurs rôles à la musique. Victor Hugo et Alphonse de Lamartine présentent dans leur poème un rôle similaire. Selon eux, la musique a une fonction derassemblement entre les êtres vivants. Les auteurs ne font aucune distinction entre les espèces et les relient entre elles grâce à la musique. Dans Les luttes et les rêves, «l'homme» (v.16) et «des cigales»(v.21) ainsi

Objet d’étude N°2 : L.A. N°2 Objet d’étude : Écriture poétique et quête du sens. Extrait : « Il pleure dans mon cœur » in Romances sans paroles (Ce poème dédié à A. Rimbaud) Auteur : Paul Verlaine, poète symboliste, amant durant quelques années de Rimbaud. Considéré comme un poète maudit et incompris qui exprime le plus souvent sa tristesse, ses angoisses avec un souci constant musicalité. Mouvement littéraire : Symbolisme : mouvement essentiellement poétique qui a pour ambition de retrouver

entre Verlaine et la conception picturale impressionniste (saisir l'instant) ( Réflexion sur le thème de l'eau : de la représentation au symbole (composante du paysage, symbolique, jeux poétiques que le thème engendre) Lectures analytiques : 1. J-B Chassignet, Mépris de la vie et consolation contre la mort, « Assieds-toi sur le bord d'une ondante rivière... », 1594. 2. P. de Marbeuf, Recueil de vers, “ Je disais l’autre jour… ”, 1628. 3. P. Verlaine, Romances sans paroles, « Ariette III »

les ciseler. Ceci est particulièrement vrai de la poésie qui dès son origine, se fait connaître comme un des arts majeurs de la parole. C’ est un point de vue que semble partager le poète Paul Valery dans un article consacré aux poètes « Villon et Verlaine » intitulé Variété in Oeuvres I dans la collection La Pléiades , qui, parlant du rapport à la langue qui lie le poète à son oeuvre affirmait en 1957 : « le lyrisme est la voix du moi, portée au ton le plus pur, sinon le plus haut. ».Paul Valéry

ramenait l'âme. Dire l'absence de soi revient en effet à se constater double — à découvrir, à force d'effacement, qu'il y a un énonciateur sous ce discours du négatif. En remontant vers le présent pour s'y enfermer, l'Ariette VII va donc à rebours de la V et de la IX. Mais elle a en commun avec elles — et avec la IV — de se conclure sur le participe passé, c'est-à-dire sur le verbe "réduit à ce qui, en lui, est purement résultatif" (21). Plus trace de personne et le passif même est loin de l'emporter

» si particulière de la poésie de Verlaine, qui tranche par rapport aux œuvres qui ont précédé. Mais ce n’est pas diminuer le génie de Verlaine que de remarquer combien d’influences diverses se mêlent dans sa « chanson grise » : Hugo, Baudelaire, Poe, la chanson populaire française et anglaise, les ariettes des vaudevilles sont autant de sources d’inspiration pour Verlaine. Cependant il ne faut pas s’y tromper : comme l’a dit un critique de l’époque, chez Verlaine, les chansons de bergères se font