Verlaine Dans Les Bois

Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune. Corneille poussive Et vous, les loups maigres, Par ces bises aigres Quoi donc vous arrive ? Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable. Paul Verlaine, Romances sans paroles (1874) SOIR D’HIVER Ah ! comme la neige a neigé ! Ma vitre est un jardin de givre. Ah ! comme la neige a neigé ! Qu’est-ce que le spasme de vivre À la douleur que j’ai, que j’ai. Tous les étangs gisent gelés,

sur l’art poétique ou le métier de poète. +document sur V. Hugo, P. Verlaine, Apollinaire 3. Les formes poétiques Calligrammes, Apollinaire + divers poèmes de formes différentes 4. Le langage poétique -> images et musique des mots Pâle étoile du soir, Musset J’aime l’araignée et l’ortie, V. Hugo + diverses poésies jouant avec les sons -> Exprimer des émotions Il pleure dans mon cœur, P. Verlaine 5. Le printemps des poètes Atelier d’écriture poétique Conception

entre le Spleen et l’Idéal ? Plan : I- La recherche de l’Idéal A) L’élévation de l’esprit : -Titre développé dans les 2 premiers quatrains : •Q1 Gradation → nous passons du monde terrestre et étouffant : « étangs » qui stagnent « vallées, bois » au monde céleste par étape : « montagne, nuages, mers, soleils » et enfin le CDN « confins des sphères étoilées » qui se déploie avec emphase (exagération) sur tout le vers 4. -Rimes unissent les contraires : « vallées/étoilées – mers/éthers »

d’obtenir le poste bien payé d’abbé de Cluny. Il meurt en 1693. A la Bastille Doubles grilles à gros clous,  Triples portes, forts verrous,  Aux âmes vraiment méchantes Vous représentez l’enfer ;  Mais aux âmes innocentes Vous n’êtes que du bois, des pierres et du fer. Paul Pellisson-Fontanier 1661-1666 A la bastille est un très court poème de Paul Pellisson. En quelques vers, l’auteur nous présente deux manières de voir une prison, selon que l’on soit coupable ou innocent. Ayant

par le biais du poème en prose. Cette prose poétique est qualifiée par Baudelaire de "musicale sans rythme et sans rime, assez souple et assez heurtée pour s'adapter aux mouvements lyriques de l'âme". Il illustre le genre dans Le Spleen de Paris. Verlaine, dans Les faux beaux jours, s'exprime à travers un lyrisme symbolique, personnel, et renvoie à son passé dans un désir de rédemption. La poésie permet donc ainsi au poète d'exprimer ses sentiments, que ce soit dans l'amour, le spleen ou la quête

Poèmes : Paul Verlaine, Jadis et naguère, « Jadis » (1884) Yves Bonnefoy, Hier régnant désert, « le Chant de sauvegarde » (1958) Lamartine, « l’Automne » Victor Hugo, Les Contemplations, livre 4, « Pauca meae », 14 (1856) William Cliff, Atobiographie, « Enfance » (1993) Louise Labé, Sonnets, 14 (1555) Elie Ehrenbourg, Madrid Anonyme, (xx), le Chant des marais Anne- Marie Bauer, Fusillé Robert Desnos, Le Legs Edith Thomas, Terre Eugène Guillevic, Le Goût de la paix Paul Verlaine, Jadis et

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Paul VERLAINE (France) (1844-1916) 730/09/Sep/200712:27 [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Clair de lune’’, ‘’Il pleure dans mon cœur’’, ‘’Art poétique’’). Bonne lecture ! Il est né à Metz, le 30 mars 1844, du capitaine Nicolas-Auguste Verlaine et d’Élisa Dehée. Enfant, il ne souffrit pas des fréquents changements de garnison de son père, car il était aimé

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Paul VERLAINE (France) (1844-1916) 730/09/Sep/200712:27 Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Clair de lune’’, ‘’Il pleure dans mon cœur’’, ‘’Art poétique’’). Bonne lecture ! Il est né à Metz, le 30 mars 1844, du capitaine Nicolas-Auguste Verlaine et d’Élisa Dehée. Enfant, il ne souffrit pas des fréquents changements de garnison de son père, car il était aimé, choyé par sa mère comme

tels que « La vieillesse » ou « L’érotisme » … B) Choix et explications : Les poèmes que j’ai recueillis ont été écrits à des époques différentes : 16ème siècle pour Ronsard, 18ème siècle pour Voltaire et Fontenelle ; 19ème siècle pour Verlaine, Hugo, Max Elskamp, Maupassant, Sully Prudhomme et Baudelaire ; 20ème siècle pour E. Verhaeren et Ramuz ; et enfin 21ème siècle pour Elodie Santos. Ils sont d’auteurs différents, mais aussi de formes différentes, puisqu’on trouve aussi bien des

déformantes que les artistes se sont plus à donner d'eux-mêmes et de la condition de l'art." Parodie : imitation, reprise destinée à faire rire. Cf. Alfred JARRY, Ubu Roi. Picasso, Famille de saltimbanques Texte 2. VERLAINE (Paul), Jadis et naguère, Jadis (1884), "Pierrot". Verlaine (1844-1896) Pierrot Ce n'est plus le rêveur lunaire du vieil air Qui riait aux jeux dans les dessus de porte ; Sa gaîté, comme sa chandelle, hélas ! est morte, Et son spectre aujourd'hui nous hante, mince et