Verlaine O Triste était Mon Ame

témoignage du drame du racisme vécu dans un parmi les pays les plus développés au monde. C’est un réquisitoire* porté contre ce fléau qui retrace l’échec de la civilisation moderne. Par ailleurs, ce texte renvoie aux années 60 : époque où le racisme était quasi-institutionnel dans la mesure où la loi interdisait les mariages mixtes. C’est une époque qui correspond à l’apogée du racisme. C’est l’époque où les membres de Ku Klux Klan* ont repris leurs activités et ont persécutés les noirs : c’est une

L’enthousiasme a. C’est génial, extra, super, dément, top, dingue. b. C’est merveilleux, formidable, superbe, je suis ravi. c. C’est saisissant, prodigieux, je suis aux anges, cela me comble. La tristesse a. J’ai le bourdon, le cafard ; je déprime. b. Je suis triste ; j’ai de la peine, du chagrin, des idées noires. c. Je suis peiné, attristé, chagriné, affligé. La peur a. J’ai les jetons, la trouille, la pétoche. b. J’ai peur ; je suis inquiet, angoissé, affolé. c. Je suis effrayé, alarmé ; j’éprouve une grande

nostalgie de l’Antiquité, de l’Âge d’or de l’humanité, est un premier mouvement régressif, ou le paradis dans une dimension historique. La nostalgie de l’enfance est un deuxième mouvement régressif, ou le paradis à l’échelle de la vie humaine. À l’« âme curieuse qui souffre », le premier paradis perdu restera toujours, sans exception, celui de l’enfance. L’abolition du temps (symptôme principal de la chute) est une constante du rêve baudelairien d’évasion. L’éternité perdue à tout jamais, suite à l’accident

Lipogrammes.........................................................................................................................105 2 I- Récits pour court métrage 3 1.1- Vincent et Isaline Un samedi matin du mois de mai , Vincent était dans sa salle de bain face à son miroir et tentait vainement de se donner une mine réveillée. Le miroir lui renvoyait l'image d'un homme d'une trentaine d'années, de petite corpulence, aux cheveux châtains clairs coupés très courts, le visage reflétant

une telle exubérance qu'il fut, concrètement, impossible d'aller plus loin ; c'est pourquoi l'expérience tourna court. Les subtilités techniques de Molinet ou de Lemaire apparaissent aux rhétoriqueurs comme une conquête : un savoir nouveau, inouï, était à leurs yeux impliqué dans la formalisation poétique qu'ils pratiquaient. 2. Ambiguïté L'œuvre des grands rhétoriqueurs apparaît animée de mouvements contradictoires, dont l'origine s'explique, pour l'essentiel, par la situation de ces poètes. Asservis

entrait en elle, elle avait pris l’habitude de rire même sans motifs suffisants. Mais, préférable à la joie, était le calme. Le sang-froid est chose sur laquelle on peut compter. Et de sa grande et humble position dans la famille, elle avait pris de la dignité et une beauté pure et calme. Guérisseuse, ses mains avaient acquis la sûreté, la fraîcheur et la tranquillité ; arbitre, elle était devenue aussi distante, aussi infaillible qu’une déesse. Elle semblait avoir conscience que si elle vacillait

les déchets de notre vie au quotidien.             Alcools de Guillaume Apollinaire est dominé par : - La tonalité mélancolique d’Alcools qui est au diapason des amours du poète toutefois malheureuses. Mais elle féconde aussi ce rythme puissant et triste qui fait dire au poète dans « le Pont Mirabeau » : « Comme la vie est lente / Et comme l’espérance est violente ». - Les fantômes d’Annie Playden par exemple au cœur du poème «La chanson du mal aimé » et de Marie Laurencin à travers quelques poèmes

os… La petite exigea que le soir, à l’étage, Il dormît au pied de son lit. L’enfant était choyée. On dit : « et s’il salit ? » Un chien galeux sur un tapis, ce n’est pas sage… » Mais elle était au bord des larmes, On accepta le chien ; En se promettant bien Qu’on le renverrait, passée cette alarme. 34 Devoir 02-FR40-10 Le chien dormit comme un évêque, et fit un rêve. Une île peuplée de chats, Dont il était le pacha. Il cassait quelques reins, le matin pour l’hygiène, En se promenant sur la

la recherche d’un lieu ou pourrait naître son enfant. Malheureusement, sur la volonté d’Héra, où qu’elle aille, l’hospitalité lui était refusée. Zeus décide alors de la métamorphoser et c’est sous la forme d’une louve qu’elle atterrit à Délos, île inhospitalière et inhabitée. Là le pouvoir d’Héra, malgré sa haine, ne put l’atteindre. Deux enfants naquirent ; l’un était dieu des arts, l’autre déesse de la chasse, Apollon et Artémis, les enfants de la louve. C'est pourquoi les Grecs brûlaient loups

d’Hippolyte) THERAMENE A peine nous sortions des portes de Trézène, Il était sur son char. Ses gardes affligés Imitaient son silence, autour de lui rangés ; Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur ses chevaux laissait flotter les rênes ; Ses superbes coursiers, qu’on voyait autrefois Pleins d’une ardeur si noble obéir à sa voix, L’oeil morne maintenant et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment