Vers holorimes

baigneuse INVERSION DE LA REPRESENTATION MYTHIQUE: à l'image traditionelle de Vénus Oppose Jeunesse à la veillesse. b) Lourdeurs des formes •Allitération en R " rondeur, reins " allitération en Gr " gras, gris " • evoquation de la célulite vers 8.9 • 2x "large" en résonnance avc "court" => corps aux formes pas élégantes Venus trditionnel représente la beauté tandis qu'ici rimbaud l'oppose à la laideur c) Nudité impudique & repoussante. • odeur désagreable du corps : le tout sent un gout

par strophe et suivie de compléments circonstanciels de lieu - Dernier vers de la strophe : "J'écris ton nom"      -> Eluard cherche à ce que son texte soit facilement mémorisé pour être retransmis oralement d'une part et d'autre part pour être complété par les lecteurs partisans. * La 20ème strophe, elle aussi a un côté oratoire assez fort grâce à des procédés d'amplification : - Anaphore du "je" en début de vers v.82-83 - Effet de redondance sur "pour" v.83-84 - La conjonction initiale

engagé pour la défense de la liberté Structure du poème : Le poème est formé de 14quatrains, constitués de trois heptasyllabes et se termine par un tétrasyllabe ce qui nous montre une forme régulière, Tous les vers du poème sont facilement mémorisables et l utilisation du vers court donne un certain dynamisme  au poème, ce  qui annonce l'espoir évoqué. Ce poème est très simple par sa forme et son vocabulaire, ce qui permettait aux résistants de le comprendre et de le mémoriser facilement

FICHE METHODE • le décompte des syllabes • LA VERSIFICATION “e” muet : ne compte jamais à la fin d’un vers, ne compte pas si suivi d’une voyelle, prononcé si suivi d’une consonne • diérèse: dédoublement de syllabe • synérèse: inverse Le monosyllabe : 1 syllabe Le dissyllabe : 2 syllabes Le trisyllabe : 3 syllabes Le tétrasyllabe : 4 syllabes Le pentasyllabe : 5 syllabes L'hexasyllabe : 6 syllabes L'heptasyllabe : 7 syllabes L'octosyllabe : 8 syllabes L'ennéasyllabe : 9 syllabes Le décasyllabe

heptasyllabes et et 1 tétrasyllabe ce qui montre une ouverture sur le monde et d'être toujours relié à une idée fixe et obsédante. Il y a une quasi-absence des rimes traditionnelles, l'effet de rime étant donné par l'anaphore du « sur » en début de vers. La volonté qui est revendiquée, c'est d'écrire le mot "liberté" sur tous les supports possibles dans le monde et de faire de cet univers une sorte d'immense graffiti. On peut observer une évolution, le poète passe d'une vie d'homme de l'enfance

déchaînée, brume) vent aspect négatif → vitesse fatalité rapide « nuit noire » « orage » « brume » → fantastique B- Un mouvement rapide perturé On tourne en rond dynamique comme un cauchemar (mouvementé) Rythme des vers rapides quintil heptasyllabe et tétrasyllabe (dernier) vers impair et pair dissymétrie vitesse élan irrépressible « tjrs ! Tjrs » surnaturel C- Une vision d'angoisse La course folle du cavalier mystérieux, dont rien ne semble capable d’arrêter l’« étalon » inquiète le lecteur

Accent de langue / Accent de vers. L’accent de la langue. La langue française connaît un accent de groupe (l’accent est mobile). En français, l’accent se place sur la dernière syllabe du groupe de mots, si cette syllabe est muette, alors l’accent se place sur l’avant dernière syllabe. Dans la langue, les groupe de mots correspondants aux quatre groupes syntaxiques sont : - Le groupe nominal : Un Éléphant Le groupe verbal : Un Éléphant s’est perdue Le groupe prépositionnel : Un Éléphant

de quatre quatrains tous formés avec la même disposition de vers : un décasyllabe, un tétrasyllabe, un hexamètre puis de nouveau un décasyllabe. Entre chacune de ces strophes, se trouve un distique, en heptasyllabes. Ces distiques sont tous les mêmes : « Vienne la nuit sonne l’heure / Les jours s’en vont je demeure. » Les rimes sont plates : semblables et suivies, elles laissent cependant orpheline la rime du tétrasyllabe (le 2ème vers) de chaque quatrain. On remarque une absence de ponctuation et

que lon va trouver dans creuser des trous et la comparaison comme des tombeaux. - Le vers 8 est fondamental et on remarque dans le rythme quil y a un sentiment de lenteur, dtirement et donne une impression douverture, de solennit. Alexandrin normal, rgulier 6 syllabes Dans vers 8 2/4 // 1/5 - La vie du pote apparat ici comme un jardin dvast qui semble conduire une perte dinspiration et un long cheminement vers la mort. Donc le spleen dvaste le pote. 3/ 3me STROPHE Le et qui introduit la 3me strophe

répétée 3 fois par strophe et suivie de compléments circonstanciels de lieu - Dernier vers de la strophe : "J’écris ton nom" -> Eluard cherche à ce que son texte soit facilement mémorisé pour être retransmis oralement d’une part et d’autre part pour être complété par les lecteurs partisans. La 20ème strophe, elle aussi a un côté oratoire assez fort grâce à des procédés d’amplification : - Anaphore du "je" en début de vers v.82-83 - Effet de redondance sur "pour" v.83-84 - La conjonction initiale "et"