Vers

Premièrement, la poésie joue sur une dimension visuelle caractérisée par des vers qui se définissent pas son mètre, c’est-à-dire par le nombre de syllabes (Ex : Les vers pairs avec 8 syllabes appelés octosyllabes, 10 syllabes appelés décasyllabes… Et les vers impaires formés de 7 syllabes nommés heptasyllabes, 9 syllabes nommés ennéasyllabes…). Il y a trois règles pour compter les syllabes : Le (e) muet, qui ne se prononce pas en fin de vers ni devant un mot commençant par une voyelle (Ex : Chandelle, vieille)

POÉSIE : L'ESSENTIEL SUR LES RIMES DÉFINITIONS « Retour à la fin de deux ou de plusieurs vers, de la même consonance de la terminaison accentuée du mot final ». - N.B. Ne pas confondre rythme et rime : cette dernière n'est qu'un des éléments qui concourent à la création du rythme. >>>> Lire la fiche sur les rythmes. TYPES DE RIMES / CARACTÉRISTIQUES Richesse des rimes. - Rimes pauvres : la voyelle seule est semblable. Il ne s'agit que d'une simple assonance (ex. ami /

Vers ou prose : que l’opposition puisse à bon droit sembler désuète n’empêche pas qu’elle continue de faire problème, et particulièrement quand l’un des fondateurs de la modernité joue à la questionner. Entre 1907 et 1913, un conte d’Apollinaire (« L’Obi­tuaire ») est devenu poème (« La Maison des morts »), par simple découpe de la prose en « vers libres » : exemple extrême d’auto-réécriture, où le même énoncé (à très peu près), transformé typographiquement, produit un texte à la fois identique et

Jules Laforgue est né le 16 Aout 1860 à Montevideo (Uruguay). Né dans une famille d’ imigré, il est le deuxième de 11 enfants. En 1866, Jules à 6 ans et migre avec sa mère en France (Tarbes). Vers 1867, sa mère rentre vivre en Uruguay laissant derrière elle Jules et son frère ainé sous la tutelle d’un cousin. Entre 1869 et 1875, Jules rentre au lycée de Tarbes ou il y sera pensionnaire. Quelques années plutard, la famille Laforgue rentre

la métaphore et ses avatars : Métaphore : comparaison sans introducteur Métaphore inabstensia : disparition du comparé Allégorie : représentation concrète et développée d'une abstractionLe vers est libéré de ses contraintes traditionnelles, il est assoupli voire libéré (vers blanc, vers libre)

qu'Apollinaire mit 15 ans à élaborer, annonce la quête de modernité, de jeu avec la tradition, de renouvellement formel de la poésie de l'auteur. Alcools est un recueil pluriel, polyphonique, qui explore de nombreux aspects de la poésie, allant de l'élégie au vers libre, mélangeant le quotidien aux paysages rhénans dans une poésie qui se veut expérimentale, alliant une quasi-perfection formelle et une grande beauté (Mai) à un hermétisme, un art du choc, de l'électrochoc, qui valut à Apollinaire d'être qualifié

cultivé entre autres le poème holorime, c'est-à-dire constitué de vers entièrement homophones, où la rime est constituée par la totalité du vers. Exemple : « Par les bois du djinn où s'entasse de l'effroi, Parle et bois du gin ou cent tasses de lait froid. » ou encore : « Alphonse Allais de l'âme erre et se f... à l'eau. Ah ! l'fond salé de la mer ! Hé ! Ce fou ! Hallo. » Il sait à l'occasion se moquer de lui-même, dans le vers suivant : « Ah ! Vois au pont du Loing : de là vogue en mer Dante

longueur et comportant un refrain. Le vers qui détermine ces strophes est la plupart du temps l'octosyllabes donnant un huitain. Le rondeau, c'est une poésie qui est apparu au XVème siècle, le plus souvent de quinze vers répartis sur trois strophes avec un refrain. Celui-ci se trouve à la fin des strophes deux et trois et reprends touours le premier vers. Le sonnet est un ensemble de quatorze vers construits sur deux quatrains et deux tercets ou un sizain. Le dernier vers créee un effet de surprise: c'est

essentiellement singuliers de votre texte. Le vers Le vers se définit couramment comme étant une disposition particulière des éléments d’un texte (blanc typographique et retour à la ligne, usage du rythme et des sonorités et, pour le vers régulier, décompte des syllabes). Le vers régulier : il s’agit de compter les syllabes et de s’attacher au jeu des rimes. Le vers libre : même si la rime est présente, on parlera plus de rythme et de sonorités. Le poème en vers est formé le plus souvent de strophes,

«en regardant vers le pays de France» 4 strophes avec 3 strophes de 7 vers = septain. 10 syllabes = décasyllabes. Système de rimes irrégulier. Les 2 derniers vers de chq strophe st identiques. Dernière strophe = l'envoi. On retrouve la m^ phrase à la fin de chq strophe. = Ballade = Forme fixe. Texte 2 «regrets sur la mirt du rondeau» 3 strophes non identiques. 2 strophes de 5 vers = quintil. Décasyllabes. «pleurez» 1er mot de la 1e strophe et dernier du 2 e et 3e poème de 13 vers construit sur