Versification

en place dans la seconde partie du XVIIe siècle, ils deviennent le goût officiel, que nous nommons aujourd'hui mouvement classique. En littérature, on codifie : L'écriture et le lexique de la langue française (Vaugelas, Académie Française) La versification (Boileau) Le théâtre (Jean Chapelain et l'Abbé d'Aubignac) La poésie (relectures de l'Art poétique d'Horace, un poète romain) Bien entendu des auteurs réclament leur droit à l'originalité. Des querelles éclatent. Les plus connues sont : La querelle

est une ligne avec un rythme qui dépendra du nombre de syllabe, dans un texte poétique Il y a 2 sortes de vers : a) ceux qui obéissent a des règles de versification : . alexandrins ( 12 syllabes ) . 10 syllabes décasyllabe . 8 syllabes octosyllabe etc b) ceux qui n'obéissent pas aux règles de versification : Vers libres . hétérométrie : varié la longueur des vers a l'intérieur d'un seul et même texte Comment la poésie utilise le langage ? En quoi

autour de la trahison. L’expression de la douleur, le désir de vengeance et un registre proche de la tragédie. Le vers 1311 rappel le cid de corneille, au début de la scène 6 de l’Acte I, la première stance (=strophe) de Rodrigue. Enfin, la versification renforce l’aspect rhétorique de la tirade. Conclusion : Le langage des mots donne des informations sur les manières de jouer la scène (on a parlé de didascalies internes). On peu jouer un jeu tout en ayant une colère rentrée, intériorisé

Element à fourmi : extremement grand à extr. petit :effet de surprise. animaux grands vers petits : élément de diversité. Alternance féminin , masculin : indépendant de tout genre, concerne tout le monde. Variété & diversité : longeur des vers : versification : alternance entre Alexandrin & octo-syllabe. Discours de J. débute par Alexandrin qui convient à sa fonction, situation solanelle (ton noble) (v.4-5) : octo-syllabe : rythme plus bref, langage adapté a ses sujets, se veut rassurant (raprochement)

connue de deux manìeres : une poésie qui respecte des règles traditionelles établies des siècles avant et une poésie ,apparue plus récemment, qui experimente avec des limites de ce genre. La poésie plus ancienne s’appuie sur des règles comme la versification classique : “L’Albatros” et “Les Correspondances” de Baudelaire respectent la structure en vers. Une autre structure considerée comme classique est le sonnet , un poème constitué de deux quatrains et deux tercets comme “Le dormeur du val” de Rimbaud

desquels s’ordonneront les remarques. Il convient d’étudier simultanément le fond et la forme. Les remarques relatives au style ou à la versification soulignent toujours l’effet produit et sont indissociables de l’idée ou du sentiment exposé. Que faut-il entendre par « forme » ? - l’étude du vocabulaire ; - les procédés rhétoriques (ou procédés de style) ; - la versification s’il s’agit d’un poème ; - la syntaxe, surtout le jeu des personnes et des temps. Attention commenter n’est pas : - faire des considérations

poésie est également liée à la musique, c’est l’art du rythme, de la sonorité, de la mesure. * C’est une exploration du langage, par l’utilisation des images, des figures de style, des connotations, ⋄ c’est une transfiguration du réel. I La versification Le vers 1°) Le vers régulier Le mètre du vers : Alexandrin : 12 syllabes. ex : « je/ fais/ sou/ vent/ ce/ rêve/ é/ tran/ ge et/ pé/ né/ trant » de Paul Verlaine 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

l’initiateur de la formule : le précurseur en est Aloysius Bertrand avec Gaspard de la nuit. Les héritiers successifs feront évoluer le genre jusqu’à de splendides réussites, avec Rimbaud, Lautréamont, Claudel et les surréalistes. S’opposant à la versification classique, le poème en prose en refuse les lois de métrique et de prosodie. La poésie du langage est alors assurée par d’autres systèmes de rythmes et de répétitions : petits paragraphes, « couplets », versets, à l’intérieur desquels, ou entre

n'y a de vraiment beau que ce qui peut ne servir à rien. Tout ce qui est utile est laid,…". Les parnassiens réunis autour de Lecomte de Lisle refusent une poésie de l'expression, de l'effusion des sentiments et privilégiaient le travail sur la versification. Ils sont à la recherche d'une perfection technique. Pour les thèmes, ils ont recours à l'érudition, au savant, à l'étrange, à l'archaïque, à l'exotique ou l'antique. Ce mouvement est considéré par certains comme un échec car les poèmes sont trop

internes plus que par le désir de respect des règles de versification qu’apparaît le plus souvent cette régularité : c’est dans le chant que s’enracine la poésie du recueil, expliquant tout autant une versification parfois régulière et une ponctuation inexistante. Pour Apollinaire, lire des poèmes, c’était avant tout les chanter. Les poèmes ont donc besoin d’être musicaux pour prendre tout leur sens, d’où les restes de versification. Mais la rime et le mètre ne sont pas les seuls garants de