Vibraphone

Partition écrite pour un grand orchestre : Piccolo, flûtes, saxophones, clarinettes, clarinette basse, bassons Cors, trompettes, trombones Timbales, de nombreuses percussions (notamment latines : guiro, bongos, congas, maracas…) Piano, célesta, vibraphone, Guitare électrique, guitare espagnole, mandoline, Cordes frottées La partition offre un mélange de musiques « américaine » et « latine ». Ces deux styles se trouvant parfois mêlés (prologue). La musique américaine emprunte au blues, aux

et mort le 15 septembre 2008, il est entré dans le groupe 1 an après sa formation soit en 1965. Richard Wright s'est distingué à l'orgue électronique, au piano, au piano électrique puis au synthétiseur mais on le vit aussi jouer du trombone et du vibraphone au cours des tournées de 1969 et 1970.A cause de sa relation et ses problèmes personnels avec Roger Waters il a été écarté du groupe mais on l’a rembauché comme musicien intérimaire juste le temps des concerts den 80 et 81. En 2005, Wright a rejoint David

de feu des départs de matchs de sumos. Ecoute des 8 inventions de Miloslav Kabelac (compositeur Tchèque 1908-1979) I) Recitativo - II) Lamentoso Gong, Tam-tam, - Gong, Tam-tam, vibraphone, ... Caisse claire, grosse-caisse... Bon nombre de musiciens ont utilisé soit le gong, soit le Tam-tam dans leurs oeuvres comme Rossini, Wagner ou Bellini pour le gong ou Mahler, Chostakovitch et Messiaen pour le Tam-tam. Puccini a même

perdurer; mais celle-ci est en même temps modulée par une présentation particulière de certains de ces utils bien connus dans de nouveaux utillages eux aussi familiers : répartition des éléments sous forme de percussions dites «à clavier» comme le vibraphone ou le carillon, prise du détecteur de métaux sous le bras comme une cornemuse, la pompe à vélo en flûte traversière. D’autre part, ces utils sont sur scène, c’est à dire qu’ils ne sont plus dans leur «coin» (Gegend) réservé au sein de leur ancien

Honeymoon/Can't Take It No Mo' ~5' Heartbeats/Boats & Buoys ~4' Heavy Smoke ~4'30" City Life est écrit pour deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux pianos, deux claviers à échantillons, un quatuor à cordes et une contrebasse4, deux vibraphones et des percussions. Les sons échantillonnés joués en direct sont couplés en général à un instrument (comme les bois pour les klaxons, ou les cymbales pour les bruits de freins). Les voix sont doublées par plusieurs instruments, mais contrairement

Omar Hakim. Page 88 Ostinato rythme batterie Simultanément, ce rythme est accompagné d’un deuxième ostinato (probablement programmé) de percussion à hauteurs déterminées (mi et si) avec un son de “lames” (timbre entre la cloche et le vibraphone). Page 88 Ostinato “lames” Le batteur Omar Hakim joue également de la percussion (dès 9’’ et tout au long du titre) évoquant des sonorités de tablas6 indiens (électroniques ?) apportant une touche d’exotisme. Le deuxième ostinato donne

chant apparaît. Le « free-rock » s’installe et prend la place de  « l’ambiant rock » installé dans le premier album. Dans le morceau éponyme de l’album, il semblerait que plusieurs époques se retrouvent mélangées entre l’arrivée de l’orgue et le vibraphone de Wolfgang Mueller, et les guitares habillées d’effets spéciaux. Seven Up avec Timothy Leary apporte également une autre ambiance du fait que l’album ait été enregistré dans des conditions pour le moins originales : en live dans une crypte

de la villa Savoye. Cf : le site marseille-citeradieuse Durée : 24 minutes. Modes de jeu  et famille d’instruments : 2 claviers échantillonneurs, 2 flûtes traversières, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 pianos, 3 (ou 4) instruments à percussion (2 vibraphones, cymbales, caisse claire, grosse caisse), un quatuor à cordes et une contrebasse. Les instruments sont utilisés de façon traditionnelle. Temps : Pulsé. Tonalité : tonale Structuration : L’œuvre comporte cinq mouvements qui s’enchaînent sans

dirig€e par Armin Jordan, dans les ann€es 1990. Les dimensions gigantesques de l’oeuvre n€cessitent des moyens consid€rables: Un orchestre principal de 67 musiciens au minimum, appuy€s par un orgue positif, un piano, deux jeux de timbales, un vibraphone et un glockenspiel. Un petit orchestre de 12 musiciens (fl„te, hautbois, clarinette, basson, cor, harpe, percussionniste et 5 cordes). Les deux orchestres jouent parfois ensemble, mais aussi s€par€ment. Un grand chœur de 120 chanteurs au moins.

percussion à l’Institut d’Etudes Africaines de l’Université du Ghana en 1970. En 1994, Steve Reich est devenu membre de l’American Academy of Arts and Letters. Il joue du piano, de la batterie et de nombreuses percussions comme par exemple le vibraphone. Reich appartient à la musique minimaliste, appelé aussi répétitive qui est un courant de musique contemporaine, débutant dans les années 60 aux Etats-Unis. Ici nous allons nous pencher sur son œuvre City Life datant de 1993. Le compositeur nous