Victor Hugo Et Arthur Rimbaud

personne et donc a convaincre les personnes qui lisent le poème de ne pas reproduire ces actes . Comme dans Contre les bûcherons de la foret de Gastine de Pierre De Ronsard écrit en 1584 extrait de élégies . Sur ce thème s'ajoutera Mélancholia de Victor Hugo extrait de les contemplations rédigé en 1856. Nous faisons tous partis de ce thème nous avons tous vu quelque chose qui nous a déplu sans vraiment pouvoir en parler car personnes n’étais de notre coté . En cherchant un peu un poète a surment écris

la pharmacopée, les observations agricoles et météorologiques, les énoncés de sagesse populaire… On les retrouve encore, sous une forme plus élaborée, dans les fables (qui, elles aussi, visent à instruire), ou sous la plume d’auteurs tels que Arthur Rimbaud un poète qui s’amuse à réveiller les affinités anciennes entre les vers et les proverbes. Se rapprocher du sacré : Grâce à l’importance qu’elle accorde au rythme et aux jeux de sonorité, la poésie est un moyen privilégié pour déboucher sur

|légendes, etc. | | |Chateaubriand. (1768-1848) |Balzac. |Émile Zola. |Arthur Rimbaud. | |Les écrivains |Né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le |(1799-1850) |(1840-1902) |(1854-1891)

Ulysse… » de Joachim du Bellay, extrait de Les regrets , écris en 1558, sonnet XXXI. Page 4 : Deuxième poème : Poème du XIX ème siècle : « Chanson » de Victor Hugo, extrait de Les châtiments écrit en 1853. Trouvé ici : http://www.naute.com/penserie/chanson.phtml Page 6 : Troisième poème : Poème du XIX ème siècle : « Demain, dès l’aube… » de Victor Hugo, écris en 1856, extrait des Contemplations. Page 7 : Quatrième poème : Poème du XIX ème siècle : « Mon rêve familier » de Paul Verlaine, écris en

|Auteurs : |• Choderlos de Laclos |Auteurs : |• 1945 : Conférence de Yalta.| |Grands Rhétoriqueurs |• Nicolas Boileau |• L’Abbé Prévost |• Victor Hugo |Capitulation allemande. | |• Clément Marot |• Pierre Corneille |• Pierre Marivaux |• A. de Lamartine |[pic] | |« L’école

|Grands Rhétoriqueurs |• Théophile de Viau | |Auteurs : |• G. Apollinaire | |• Clément Marot |• François de Malherbe |Siècle des lumières |• Victor Hugo |• Paul Valéry | |« L’école lyonnaise » |Classicisme |Auteurs : |• A. de Lamartine |• Marcel Proust | |• Louise Labé

o Georges Sand (1804-1876) o Charles Baudelaire (1821-1867) o François-René de Chateaubriand (1768-1848) o Alexandre Dumas (1802-1870) o Gustave Flaubert (1821-1880) o Victor Hugo (1802-1885) - Musique o Beethoven (1770-1827) o Schumann (1810-1856) o Berlioz (1803-1869) o Georges Bizet (1838-1875) o Tchaïkovski (1840-1893) o Debussy (1862-1918)

Résumé Les Fleurs du Mal Recueil de poèmes écrit par Charles Baudelaire, publié en 1857. Il constitue une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne et exerça une influence énorme sur Arthur Rimbaud et sur Stéphane Mallarmé. Résumé Le titre Le recueil aurait dû s’appeler Les Limbes ou encore Les lesbiennes ; Baudelaire, sur le conseil d’un ami, y renonce. Le titre définitif repose sur le paradoxe que Charles Baudelaire a tenu à entretenir durant toute sa vie littéraire. En effet

politiques. Victor Hugo est connu pour avoir défendu un grand nombre d’idéologies. Lors de la Seconde Guerre Mondiale il publia L’Enfant qui en dénonçait les horreurs. Le poète découvreur du monde agit comme un prophète. Il a une fonction quasi-divine en relation avec les Muses et le sacré. C’est la conception de l’Antiquité représentée par Platon qui fait dire à Socrate (dans Ion) à propos des poètes : « Ils parlent en effet, non en vertu d’un art, mais d’une puissance divine ». Arthur Rimbaud fut

Lamartine, en 1820, aux Contemplations de Victor Hugo en 1856. Ce mouvement esthétique européen fait une place toute particulière au lyrisme et à l’effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie : les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l’amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du