Vidame

amours nourris par l’ambition, impures de la plupart des récits enchâssés des amours sincères de l’intrigue principale. En effet, les mariages princiers qui sont arrangés en sont l’exemple même ou encore la relation entre Catherine de Médicis et le vidame de chartres, la première cherchant un chevalier servant car elle se sent seul et le second étant alors flatté de cet honneur mais ne ressentant de véritables sentiments amoureux; tandis que M de Clèves, Mme de Clèves et M de Nemours éprouvent un

éléments de résolution de l’énigme : on apprend qu’elle était de la même maison que le vidame de Chartres, dont il a été question au début du roman, et son nom est révélé par celui de sa mère, Mme de Chartres. La fin du texte renvoie au début, et l’image, un instant interrompue, de l’entrée de Mlle de Chartres dans ce lieu où les regards jouent un rôle essentiel, revient au premier plan : Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au devant d’elle. B. Une beauté idéalisée La première désignation de l’héroïne

qualification d’ensemble, on n’a pas encore de vraie « description ». Plusieurs étapes suivent : le nom « maison » désigne la famille ; le personnage est une « héritière ». Elle est de la même famille qu’un persg qui a déjà été présenté au lecteur : le Vidame de Chartres (p.15 ; haute noblesse, persg prestigieux, commandant des troupes de l’évêque), qui constitue une sorte d’argument d’autorité. La présentation passe ensuite à l’ « éducation » du personnage. C’est ce qui fait qu’elle constitue un excellent

» (p83). Le valet conduisant le cabriolet de M. de Maulincour fait une courte apparition puisqu’une pierre « tomba sur le domestique » (p.94). Page 96, « le carrossier vint ». Il explique à Auguste la cause de son accident. Justin : valet du Vidame, « le plus malin singe qui jamais eût pris figure humaine », une « perle des vieux valets de théâtre » (p.100) ; il est fidèle à son maître. Fouquereau est le « concierge » de M. Jules (p.135) Le valet de chambre de M. Jules apparait p

éléments de résolution de l’énigme : on apprend qu’elle était de la même maison que le vidame de Chartres, dont il a été question au début du roman, et son nom est révélé par celui de sa mère, Mme de Chartres. La fin du texte renvoie au début, et l’image, un instant interrompue, de l’entrée de Mlle de Chartres dans ce lieu où les regards jouent un rôle essentiel, revient au premier plan : Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au devant d’elle. B. Une beauté idéalisée La première désignation de l’héroïne

s'en est emparé. La crainte d'une rivale et la jalousie à la lecture de la lettre du Vidame ne manquent pas de lui ouvrir les yeux et de la troubler. Sa douleur et son désespoir sont d'autant plus grands quand elle apprend que la Cour est au courant de l'aveu extraordinaire d'une jeune femme. Nous pouvons aussi noter la douleur de Madame de Thémines en apprenant qu'elle n'aurait pas l'exclusivité de l'amour du Vidame de Chartres. Sa souffrance est racontée dans la lettre de ce dernier. Dans le roman

le jour de la mort de sa dame. Une Le Vidame de Chartres, oncle de la Princesse de Clèves et ami intime de M. de Nemours est embarrassé car la lettre lui était destinée et celle-ci circule entre toutes les mains de la Cour. Cette lettre risque de compromettre une femme respectable et de fâcher la reine vis-à-vis du Vidame de Chartres. La reine en a fait son confident et n'accepterait pas de le voir mêlé à une aventure sentimentale. Le Vidame de Chartres souhaite que le duc 6 de

aussi décrite par l’effet qu‘elle produit sur les autres. L’hyperbole passe par l’expression « tout le monde » (l.1) et est renforcée par l’emploi du champ lexical de la vision (« yeux » l.1 ; « voir » l.3). Cette beauté provoque aussi la surprise du Vidame ce qui accentue le côté hyperbolique de ce portrait. Tout concoure donc à mettre en valeur le caractère exceptionnel de la beauté de l’héroïne. La beauté de Mademoiselle de Chartres ne réside pas uniquement dans la beauté de ses traits, on l’observe

éléments de résolution de l’énigme : on apprend qu’elle était de la même maison que le vidame de Chartres, dont il a été question au début du roman, et son nom est révélé par celui de sa mère, Mme de Chartres. La fin du texte renvoie au début, et l’image, un instant interrompue, de l’entrée de Mlle de Chartres dans ce lieu où les regards jouent un rôle essentiel, revient au premier plan : Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au devant d’elle. B. Une beauté idéalisée La première désignation de l’héroïne

ses émotions prendre l’emprise -> amour va bouleverser la vie de cet homme = vision péjorative de l’amour) Seul portrait qui vente les qualités morales, sans sous entendus = pas Homme à femme . Le Vidame de chartres : portrait + détaillé que les autres + mis en avant par ces titres. Vidame + important que les autres = « prince du sang » (ligne 86) qui signifie la famille royale. Ici encore, comme le duc de Nevers, la galanterie et la guerre sont liés, concernant dans la guerre et à la cours