Vie De Gervaise

Annonce du plan -I) Le travail : une activité nécessaire pour survivre -1) Le travail sur le plan économique -a) La diversité des métiers dans le roman (brunisseuse = Adèle ; concierge = Mme Boche ; zingueur = Coupeau ; blanchisseuse = Gervaise ; cabaretier = Colombe ; giletière = Maman Coupeau ; cardeuse = Mme Gaudron ; ouvrier de cartonnage = M. Madinier ; coutelier = M. Marescot ; charbonnière = Mme Vigouroux ; Forgeron = Gouget ; boutique de parapluies = Mme Cudorge ; Chapelier = Lantier

Texte 5 : Émile Zola, L’Assommoir Question : Comment ce passage révèle-t-il la déchéance de Gervaise ? Introduction - quelques mots sur l’auteur : Émile Zola, auteur naturaliste, a pour objectif de montrer l’ « Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire » dans ces romans dont les héros appartiennent à la famille des Rougon-Macquart. C’est ainsi qu’il décrira le milieu de la mine dans Germinal, des paysans dans La Terre ou des artistes dans L’Œuvre. Le roman L’Assommoir, qui

Zola. Gervaise aime Auguste Lantier et le suit jusqu'à Paris, mais son amant se lasse d'elle et la quitte. Gervaise doit donc subvenir à ses besoins dans une ville inconnue pour elle, elle travaille comme blanchisseuse, malgré sa désapprobation, Gervaise épouse un zingueur, Copeau, mais quelque temps après, Copeau tombe d'un toit et devient infirme, et la famille ne survit uniquement grâce à l'argent gagné par Gervaise. Goujet, un ami de Gervaise, pris de pitié, décide de fournir à Gervaise l'argent

premier est un extrait du roman de Thérèse RAQUIN (1867), Emile ZOLA évoque la vie d’une jeune fille adoptée par sa tante. Le deuxième extrait, « L’ébauche de l’assommoir (1868) » nous montre une femme du peuple mariée à un ouvrier vivant dans la misère. Le troisième extrait « Le carnet d’enquête (1868) » nous montre une femme aisée vivant dans une maison cossue. Enfin, dans le dernier extrait « La grande maison prend vie (1868) », l’héroïne perd tout ce qu’elle a pu acquérir. Le roman naturaliste

n'a qu'une chambre et un cabinet. Gervaise est devenue grosse, pauvre et n'a plus sa boutique. Sa vie n'est plus ce qu'elle avait espérée. Elle est jalouse des Poisson qui se sont installés dans son ancienne boutique et dont tout le mode parle. Tout le voisinage essaie de l'enrager en disant comme c'est bien chez eux. Lantier est revenu et tout le monde raconte qu'il est en ménage avec Virginie. Ils essaient encore tous une fois, Coupeau compris, de rendre Gervaise jalouse. Coupeau devient de plus

L’argent permet de se bien placer sur ‘échelle sociale (Ndao 2). Malheureusement, pour Gervaise, le protagoniste sur L’Assommoir. Elle est piégée dans une classe sociale inférieure. Elle essaie très fort de gagner assez d’argent pour soutenir ses enfants et son mari et plus tard Lantier. Mais, avec pas de chance et elle l’a fait sans aide. Elle est comme Père Goriot parce que les deux aiment leurs fils mais, Gervaise n’a pas beaucoup d’argent de donner comme Père Goriot. Elle est également hanté par

Folioplus Développement : 1) Gervaise, blanchisseuse, demenage a Paris, venant de la Provence et habite avec son mari, Lantier, et ses deux enfants Claude et Étienne. Très rapidement, Lantier la quitte et disparait. Elle continue de travailler jusqu'a ce qu'elle rencontre Coupeau, lui, essaye de la convaincre de le marier. Elle cède facilement et mari cet ouvrier-zingeur. Ils gagnent de l'argent, asser pour vivre et en mettre un petit peu de coter, Gervaise, elle, reve d'ouvrir sa propre blanchisserie

 Tout d’abord, laissez-moi vous conter en quelques mots le déroulement de cette médiocre œuvre, l’Assommoir. L’écrivain lui-même ne vaut pas beaucoup mieux que celle-ci d’ailleurs ! Cette dernière se résume à la vie d’une pauvre femme, Gervaise, ainsi que celle de sa famille et de ses proches. Plus précisément, je serai probablement amenée à parler de Coupeau, son mari ; de Lantier, son amant ; de Nana, sa fille ; éventuellement d’Adèle, la femme avec laquelle Lantier l’a trompé ; ainsi que la

naturalisme. Les rêves de bonheur banals de Gervaise sont broyés au fur et à mesure de la lecture, inspirant une grande pitié au lecteur. C'est un livre qui laisse une large place au lecteur pour comprendre les conditions de vie de la classe ouvrière du second empire, un livre qui nous amène à réfléchir et que j'ai tout particulièrement adoré. « L'assommoir », voici l'histoire en quelques phrases. Nous sommes au Second empire, lorsque Paris se remplit. Gervaise jeune femme de vingt-deux ans, deux enfants

simple fenêtre dans la continuité de la vie. C'est aussi une référence au hors texte des six ouvrages précédents de la série. « Rougon-Macquart » Axe Romanesque : _L'assommoir a une valeur métaphorique. C'est un piège qui va se refermer sur Gervaise et la tuer. Dès son titre, le livre inscrit la mort au programme. L'assommoir est redoublé à la fin du chapitre par la présence de l'abattoir (qui forme, avec l'hôpital, les limites du quartier où Gervaise sent que son destin va s'inscrire.