Vie Des Soldats Fort De Douaumont

guerre. Négociateur lors de la Conférence de Versailles, le «Père la Victoire», après avoir promulgué la loi des huit heures, manqua de se faire élire à la présidence de la République en 1920, étant critiqué à gauche et à droite, et se retira de la vie politique. Wilson 1841-1929 : Président des Etats-Unis de 1912 à 1920 il décide l'entrée en guerre de son pays aux côtés de l'entente le 6 avril 1917.Il présente ses idées pour la paix dans un texte appelé " Les 14 points du président Wilson ".

mondiale, les soldats ont vécu un quotidien effroyable marqué par une violence nouvelle et sans trêve. Vivre dans les tranchées était un enfer de chaque instant. Les conditions y étaient horribles, l’hygiène épouvantable. La plupart du temps sans eau et sans électricité, les soldats, appelés « poilus » en France, vivaient dans le froid, les intempéries, la boue, dans la poussière et devenant les proies de la vermine, rats, poux, puces. Le moral était atteint. Loin de leurs familles, les soldats attendent

commémorer car on ne voulait pas oublier ce qui s’était passé et on espérait que cette guerre soit la « der des der » (ex en France : érection de monuments aux morts dans chaque commune, célébration du 11 novembre, commémoration du soldat inconnu, construction de l’Ossuaire de Douaumont à Verdun). On souhaite rendre hommage aux morts mais à aucun moment il n’y a un vrai désir de glorifier la victoire. Du côté des anglais, ils surnommèrent le jour de l’armistice « poppy day », car les coquelicots (fleures rouges

une éducation catholique, il sert la messe comme enfant de chœur durant sa jeunesse. Impressionné par les récits de son oncle, qui a servi dans la Grande Armée de Napoléon, et très marqué par la guerre de 1870 alors qu'il a 14 ans, il décide d'être soldat. À partir de 1876, il est élève à École spéciale militaire de Saint-Cyr. Il y entre parmi les derniers (403° sur 412) et en sort en milieu de classement (229° sur 336). Il est affecté à différentes garnisons, mais ne participe à aucune des campagnes

2 mars 1916 : Au terme d'un long combat contre les Allemands à Douaumont, de Gaulle est à nouveau blessé. La violence du combat l'oblige à sauter dans un trou d'obus, pour se protéger, mais des Allemands l'imitent et le blessent d'un coup de baïonnette à la cuisse gauche. Pris par les troupes allemandes, il est soigné et interné. Prisonnier des Allemands, il est à hôpital de Mayence pour quelques temps. Il sera ensuite enfermé au fort d'Ingolstadt. Durant plus de deux ans de captivité, il fera au

de développement existent entre les pays fondateurs de l'UE et les pays plus récemment intégrés. Les pays d'Europe de l'Ouest et du Nord (France, Allemagne, Royaume-Uni) s'opposent ainsi aux pays d'Europe orientale, plus pauvres et aux conditions de vie plus précaires (Roumanie, Bulgarie). Les pays d'Europe méridionale (Grèce, Portugal, Espagne) se trouvent dans une situation intermédiaire. b) "Les frontières de l'Europe et de l'Union européenne ne sont pas identiques". Certaines frontières de

défaite des Empires centraux II) LES VIOLENCES DE GUERRE A) L’expérience combattante (étude pp. 88-91) 1) Des conditions de vie épouvantables 2) Les mutations de l’armement B) Une violence nouvelle 1) Une guerre meurtrière et une sauvagerie inouïe 2) L’exaspération des soldats C) Les civils : nouvelles victimes de la guerre (étude pp. 92-93) 1) Des conditions de vie difficiles 2) Le génocide arménien III) UNE GUERRE TOTALE A) Une guerre mondiale 1) L’implication des empires coloniaux

mais éclopée qui défile sur les Champs Elysées. Quant aux morts, on s'interroge sur leur sort: faut-il rendre les corps aux familles? Doit-on plutôt les rassembler dans des cimetières militaires, là où ils sont tombés? Comment honorer les 650 000 soldats que l'on ne peut identifier ou qui ont disparu? Sans corps, sans certitude, sans rituel, comment faire son deuil? Plan: I Recontextualisation de la guerre à échelle locale II La commémoration d’après-guerre III Un deuil impossible Bleu :

le prend en main.  Chez son oncle un autre prêtre, famille de la mère de P, Philippe-Michel Lefèbvre (ancien soldat de Dumouriez à Jemmapes, en Italie ac Bonaparte, précepteur du futur pape Pie IX) -> exaltation d’un certain sentiment national. Scolarité secondaire au collège Saint-Bertin à 12 ans ce qui lui permet d’abandonner univers de la ferme. Dure vie du pensionnat religieux. Vie monacale et militaire à la fois (exercices physiques et manœuvres militaires). C’est là qu’il apprend effondrement

spéciale du journal Ouest-France qui se décompose en différents articles thématiques qui permettent de définir la guerre des tranchées et la violence de masse : le front, son organisation et les combats ; les conditions de vie des poilus ; tenir ; les traumatismes subis par les soldats. L’ambition de cette séance est aussi d’avoir recours à des témoignages de Bretons impliqués dans cette guerre. Cette étude permet ensuite de définir le concept de guerre et de violence de masse. Le temps consacré à