Vie Des Soldats Fort De Douaumont

Histoire – géographie – Éducation civique Repère de l’épreuve : 1406 – FHG HGEC Page 4 sur 7 OU Sujet 2 : Kohl-Mitterrand et l’Europe Dans un article du Monde, Helmut Kohl rend un hommage à François Mitterrand au moment où celuici se retire de la vie politique. Un grand Européen quitte les fonctions de président de la République française. François Mitterrand et moi-même faisons le bilan d’un partenariat dont mon élection en tant que chancelier de la République fédérale d’Allemagne, le 1er octobre

d’Autriche-Hongrie, cet événement ne fait que cristalliser des tensions issues de contentieux antérieurs.C'est le détonateur d'une guerre préparée de longue date, aux origines plus profondes. On compte parmi les raisons structurelles un nationalisme fort, la montée des impérialismes, et les volontés expansionnistes qui y sont associées, comme l'irrédentisme italien, des conflits précédents non résolus (perte de l'Alsace-Lorraine par la France, guerres balkaniques), auxquelles s'ajoutent des rivalités

batailles, le bilan humain et économique… La thèse de Jean-Jacques Becker « Comment les Français sont-ils partis en guerre ? » illustre la nouvelle vision de cette période. C’est l’individu qui est placé au centre des problématiques : comment les soldats ont-ils tenu ? Aborder la question de l’ennemi, permet de comprendre à quel point les individus et les sociétés se sont engagés dans la guerre. La représentation de l’ennemi dont se font les hommes est au centre de cette question. Comprendre comment

font dans une émotion remplie de gravité → sens du devoir. • L’opinion est en partie nourrie par la confiance en une guerre facile et courte qui devrait mettre fin aux conflits qui ébranlent l’Europe. Les journaux décrivaient les allemands comme des soldats peu dangereux. • Aux illusions dans lesquelles vivent les français s’ajoute une bonne dose d’excitation chauvine → hystérie germanophone dans certaines villes. Les alsaciens installés dans la France de l’intérieur furent parfois malmenés en raison

fidélité historique 5 a) Elements déterminants : acteurs et argent 5 b) Le rapport à la réalité historique 6 c) Le scénario final et les différences par rapport au projet initial 6 3. Renoir et son film 7 a) La résonance entre le film et sa vie personnelle 7 b) L’influence des engagements politiques de Renoir 8 c) La place du film dans son œuvre 8 II. Le film et le réalisme 10 1. Le détail au service du réalisme et la patte Renoir

qui lui valut autant d’admiration que d’hostilité. Le film est très caractéristique des ambiguïtés qui marquent toute création artistique prenant l’histoire pour toile de fond, ambiguïtés qui permettent d’en faire le support d’un travail critique fort riche avec des élèves. La problématique d’un tel travail tient en deux mots  : de quelle manière Les Sentiers de la Gloire sont-ils un film «  historique  »  ? Un film d’histoire  ? Dans une première partie, on aimerait donner aux Sentiers de la

des armées françaises à la place de Nivelle. Il y a 629 condamnations à mort et finalement, en comptant les cas de mutilation volontaire, 75 exécutions, dont 27 pour actes de mutinerie91. Pétain tente de mettre fin au mécontentement des soldats en améliorant leur vie quotidienne par le repos, la nourriture et le rythme des permissions92. Le commandement français n’ose plus lancer les hommes à l’attaque tant qu’il ne dispose pas d’une supériorité absolue en matériel grâce aux Américains et aux chars

Chapitre 2 – Pouvoir, société et culture au temps de la Grande Guerre Jusqu’en 1905, la vie politique et culturelle de la France est restée dominée par les questions intérieures : l’affaire Dreyfus, la séparation des Églises et de l’Etat. Progressivement les préoccupations internationales vont passer au premier plan. Deux systèmes d’alliance antagonistes sont alors en place en Europe : la Triple entente (France, Angleterre, Russie) et la Triple alliance (Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie). Entre

Considérée comme un des évènements marquants du XXe siècle, cette guerre parfois qualifiée de totale a atteint une échelle et une intensité inconnues jusqu'alors. Elle a mis en jeu plus de soldats, provoqué plus de morts et causé plus de destructions matérielles que toute autre guerre antérieure. Plus de 60 millions de soldats y ont pris part[1],[2]. Pendant cette guerre, environ 9 millions de personnes sont mortes, et environ 20 millions sont blessées[3]. D'autres évènements survenus pendant cette période :

de l’arrière ou des fusillés pour l’exemple, alors que toutes les recherches s’accordent sur l’horreur de cette guerre et de ses causes : elles tentent et parfois réussissent à rendre l’émotion, les souffrances, la désespérance des soldats et de leurs familles, la vie au milieu des cadavres dévorés par les rats, sous la neige, les attaques de quelques mètres stoppées net, les camarades agonisant aux abords de la tranchée ou au fond d’un trou d’obus... Les causes ? Les nationalismes exacerbés,