Vie Quotidienne Des Combattant

constitué pour eux un véritable traumatisme, une perte de repères. La confrontation à la violence, à la mort et à la souffrance était quotidienne même si les temps de combat alternaient avec des périodes de repos voire d’ennui. La vie collective et l’éloignement des proches ont favorisé la solidarité mais ont réduit les moments d’intimité. Toutefois, les combattants qu’ils aient accepté ou subi la continuation de la guerre pendant plus de quatre ans ont « tenu ». Cette ténacité qui peut sembler admirable

artistes ont de moins en moins la possibilité de rencontres et d'échanges. Ils peignent alors des tableaux représentant leur vision de la réalité, des dégats de la guerre. Le lieu : Dans cette toile, Otto DIX nous plonge dans une scène banale de la vie quotidienne : une partie de cartes entre trois personnes, «assises» autour d’une table. La scène étant très sombre, il est très difficile d’identifier avec précision le lieu où Otto DIX nous place. Les chaises nous permettent néanmoins de dire que nous sommes

se réjouit du carnage qu’il réalise d’une énorme brutalité et sans aucune pitié. Les valeurs du moine sont donc éperdument déplacées. L’ouvrage est dédié aux « buveurs » et « vérolés », ainsi qu’aux « maladies joyeuses » qui sont les résultats d’une vie abusant des plaisirs liés à la bonne chère, la boisson et au sexe. Rabelais invite le lecteur à l’amusement et à l’ivresse, mais il refuse les conventions nobles du langage rhétorique. Il y a des déplacements de valeur, comme par exemple la volonté

L'art lors de la Première Guerre Mondiale Introduction : La Guerre a occupé une grande place dans l'histoire de l'art. Elle fut glorifié à travers l'histoire de combattants célèbres, comme les héros de la Guerre de Troie ou bien par des œuvres autobiographiques narrant la vie dans les tranchées. Lors de la Guerre, les peintres ( et autres artistes) prirent part au conflit et créèrent des œuvres qui représentaient les désastres de la Grande Guerre. Oeuvre

parler de cette mobilisation. Nous commencerons par la mobilisation des soldats.Tout le peuple est mobilisé par cette guerre, surtout les hommes. Tout ceux pouvant défendre la nation sont ainsi appelés à combattre l'ennemi allemand. Les conditions de vie des soldats sont très difficiles. Ceux-ci vivent dans la boue, le froid. Les tranchées ne sont pas stables. La mauvaise organisation du ravitaillement et le manque de sommeil sont aussi une difficulté à surmonter. Les soldats sont souvent appelés à

 Existe-t-il des moyens de soulager la souffrance des combattants ? Sur un front de 800 kilomètres s'étendaient les tranchées.La tranchée n'a pas uniquement modifié le déroulement de la guerre, elle a également changé les hommes et leur façon d'y survivre.Dans ce type nouveau de conflit, il faut des soldats endurcis, solides psychologiquement,moralement pour résister aux nombreux fléaux que sont la boue, les intempéries, l'attente, le manque d'hygiène

Champagne, dans la Somme ou en Russie dont il sortira vivant. Il a alors en tête des images d'horreur qu'il essaie d'oublier en peignant. 3EME DIAPO description du lieux : Dans cette toile Otto Dix nous plonge dans une scène banale de la vie quotidienne, une partie de carte entre trois personnes, assises autour d’une table. La scène étant très sombre, il est très difficile d’identifier avec précision le lieu ou Otto Dix nous place. Les chaises nous permettent néanmoins de dire que nous sommes

réalisme et de pessimisme. Description: Artiste: Otto DIX (Allemagne, 1891-1969) Titre: Les joueurs de skat Date : 1920 Support: Peinture à l’huile et collage sur toile Dimensions: 117 x 97 cm Œuvre figurative Genre: scène de genre (scène de la vie quotidienne) Mouvement: Expressionnisme (Nouvelle objectivité). Exposée à la galerie nationale de Berlin Les personnages: L’homme à droite: Il se tient de profil sur sa chaise et il lui manque certains de ses membres, comme ses jambes par exemple.

pas plus favorables. Les tranchées françaises sont hâtivement creusées et inadaptées à un conflit s’éternisant. L’humidité est persistante, les éboulements quotidiens, les odeurs insoutenables, les rats et les poux sont des compagnons de chaque instant : les conditions d’hygiène sont donc nulles. La durée des combats mine le moral des combattants. L’acceptation des tout-début laisse la place à une sourde résignation, suite aux pertes de plus en plus nombreuses, et jugées comme inutiles. La lassitude

violence et le danger sont omniprésents La France et le royaume Unis n’hésitent pas à mobiliser certain combattants venu de leurs colonies, comme les coloniaux de Madagascar. A l’arrière tout les civils sont mobilisés, non seulement pour assurer le quotidien, mais aussi pour participer l’effort de la guerre .ainsi, les femmes sont appelés à remplacer le hommes dans tout les secteurs de la vie économique : elles doivent assumer seules les travaux agricoles et occuper les postes laissé vacant dans