Vieille-Castille

mes gens ont faim; nous venons d'entreprendre Une guerre à travers un pays endiablé; Nous y mangions, au lieu de farine de blé, Des rats et des souris, et, pour toutes ribotes, AYMERILLOT 29 La Legende des Siecles Nous avons dévoré beaucoup de vieilles bottes. Et puis votre soleil d'Espagne m'a hâlé Tellement, que je suis tout noir et tout brûlé; Et, quand je reviendrai de ce ciel insalubre Dans ma ville de Gand avec ce front lugubre, Ma femme, qui déjà peut−être a quelque amant, Me prendra pour

ambivalences et les pulsations d’une nouvelle jeunesse. Intérêt documentaire La pièce est fondée sur un épisode de l'Histoire de l'Espagne au Moyen Âge. Rodrigo Diaz de Bivar, né en 1043, est un héros de la Reconquête. Il servit d'abord le roi de Castille puis le frère ennemi de celui-ci qui lui donna en mariage sa cousine Jimena (Chimène). Tombé en disgrâce, il parcourut l'Espagne, offrant ses services à des princes chrétiens et même musulmans et remportant d'éclatantes victoires, d'où son surnom

Jostice et de Plet, de Philippe de Rémy, déclare que les sodomites doivent être castrés et que la seconde fois, ils doivent perdre un membre; la troisième fois, ils seront brûlés. Pareil pour la femme. Leurs biens reviennent alors au roi. Au XIIe, en Castille, Alphonse le Sage est sévère: la sodomie est un péché grave qui répugne le Seigneur, il est donc dangereux pour la communauté: les deux complices doivent donc être mis à mort. Même sentence pour la femme ou l'homme qui ont eu des rapports avec un

morue G Jusque dans le cœur des frites D7 Que leurs grosses mains invitent B7 A revenir en plus cuit B7 Puis se lèvent en riant C Dans un bruit de tempête Bm Referment leur braguette Am7 B7 Et sortent en rotant Em Bm Am B7 Mim Em 6 B7 Aragon et Castille (34) 2) Vendre des glac's Boby Lapointe – 1960 Guitare classique, accordéon C#dim G7 c'est un très bon métier Poil aux pieds C'est beaucoup mieux Intro :C Bb Ab G7 (notes do do re mi re do si) G#dim G7 C que marchand de mouron Patapon C Em

proposent un lien serré, voire une filiation, entre sport médiéval et sport moderne. C’est le cas de Sébastien Nadot, dans une thèse intitulée Joutes emprises et pas d'armes en Castille, Bourgogne et France, 1428-14708, ainsi qu’un article « Les jeux Olympiques, cette chevalerie 8 Joutes emprises et pas d'armes en Castille, Bourgogne et France, 1428-1470, soutenue à l’EHESS en 2009. En ligne : http://acrh.revues.org/2353 (consulté le 12 juillet 2012). 6 moderne »9. Nadot explique que la chevalerie

s’intéresser à la violence des sentiments exprimés par le héros. La pièce se passe en Espagne au XVIe siècle. Une jeune femme noble, Doña Sol, est aimée de trois hommes : le roi d’Espagne Don Carlos, un proscrit devenu chef de bande, Hernani, et son vieil oncle et gardien don Ruy Gomez de Silva à qui elle est promise en mariage. L’acte III coïncide avec le jour des noces. Hernani a réussi à s’introduire dans le château de don Ruy Gomez en se déguisant en pèlerin ; même après qu’il s’est fait connaître

leur méthode qui induit mille renseignements de la longueur et de la position de la trace ou marque obscure. Ils savaient construire dans cette optique une règle aussi précise que le style qui écrit. Le noir de l'encre sur la page blanche reflète la vieille ombre venue du Soleil par l'aiguille du gnomon. Cette pointe écrit toute seule sur le marbre ou sur le sable comme si le monde se connaissait soi-même.      Gnomon: aiguille ou axe du cadran solaire    Qui sait, qui connaît? Jamais l'Antiquité

titre. 2. Le sous-titre Le sous-titre du roman est : « Chronique du XIXe siècle ». Le mot chronique est important. En effet, une œuvre de Stendhal s’appelle Les chroniques italiennes et La Chartreuse de Parme est un roman qui se fonde sur de vieilles chroniques italiennes. Ce terme de chronique montre la prétention stendhalienne qui consiste à rester le plus près possible de l’authenticité des événements. 3. Considérations stylistiques La courbe du roman est celle d’une dégradation systématique

Lestafier n'etait pas folle du tout. Elle savait que ses bleus enormes qui ne partaient jamais allaient lui causer bien des ennuis un jour… Elle savait comment finissent les vieilles femmes inutiles comme elle. Celles qui laissent venir le chiendent dans leur potager et se tiennent aux meubles pour ne pas tomber. Les vieilles qui n'arrivent pas a passer un fil dans le chas d'une aiguille et ne se souviennent meme plus de comment on monte le son du poste. Celles qui essayent tous les boutons de la

mirent aux fenêtres pour le voir, parce qu’il eut toujours très bonne mine à pied et à cheval 2 Je . ne dis pas cela par vaine gloire, on sait que je n’en ai jamais eu. Ma mère cependant n’essuya pour lors aucun désagré- ment personnel. Une vieille, qui m’a élevé, me disait un jour, en faisant son éloge, qu’elle était si obligeante, que tous ceux qui la fréquentaient en étaient enchantés. Elle me raconta pourtant qu’elle avait dit au sujet d’un cocu volontaire certaine chose qui, rendue