Vieillesse

de l’activité professionnelle de chaque individu : • le régime général, • le régime social des indépendants, • le régime agricole. Les principaux risques couverts de la protection sociale sont les suivants : • la santé, • la famille, • la vieillesse et la survie, • l'emploi, • la pauvreté et l'exclusion sociale. La protection sociale est assurée par des institutions telles que : • la Sécurité sociale, • l'État, • des collectivités territoriales, • les administrations privées.

de la Nation" représente désormais plus du tiers du produit intérieur brut. Or, pour l'essentiel, ces dépenses échappent à tout véritable contrôle et à tout système régulateur. Elles sont associées à six grandes catégories de risques : - La vieillesse et la survie (pensions de retraite, pensions de réversion, prise en charge de la dépendance). - La santé (prise en charge totale ou partielle de frais liés à la maladie, à l'invalidité, aux accidents du travail et aux maladies professionnelles)

pour les artisans, les salariés agricole, les industriels et les commerçants. Elle touche aussi la revalorisation de la retraite qui faites tout les ans en fonction de l'évolution des prix et non du salaire. Enfin, elle crée le fond de solidarité vieillesse (FSV). En 1995, Alain Juppé, premier ministre de l'époque, essaye de faire passer son «Plan Juppé» qui visée à allonger les cotisations a 40 ans pour les salariés de la fonction publique. C’est un complément a la reforme Balladur de 1993. Elle

haïr la famille. 6) Avant 1970, des organismes d'aide aux personnes âgées ont été mis en place pour une meilleure condition de vie : Le régime de la sécurité sociale comme la retraite en 1945. Le minimum vieillesse en 1956 Le fond de solidarité vieillesse en 1996 D'un point de vue matériel, la condition des vieillards a changé : les revenus des actifs et des retraités sont comparables. Par l'allongement de l'espérance de vie, la distribution de l'héritage se fait

surtout en matière de régime matrimoniale. L'application de ce principe est parfaitement illustré dans l'arrêt de rejet suivant, rendu par la 1ère chambre civile de la Cour de Cassation le 4 juin 2009. En l'espèce, M.X a souscrit une assurance vieillesse auprès de la Caisse autonome de retraire des médecins de France (CARMF) mais n'ai pas payé ses cotisations pendant 6 ans, soit de 1995 à 2001. M.X décède en 2003, laissant derrière lui son épouse, Mme Y. La CARMF assigne alors Mme Y en paiement

être regrettée. Elle apparaît en effet dans une attitude de dédain en face de l'amour qui lui est offert « regrettant mon amour et votre fier dédain » (v.12). Sa vieillesse, non sans une certaine cruauté, Ronsard préfère envisager l'heure des souvenirs mélancoliques. A deux reprises, il se plaît à faire envisager à Hélène sa vieillesse : « Quand vous serez bien vieille » (v.1), « vous serez au foyer une vieille accroupie » (v.11). ..2. La précision de la scène Au vers 1, les circonstances : "au

d'intervention II. Observation et analyse d'une problématique social Problématique : Minimum vieillesse, comment ces personnes réussissent t'elles à s'en sortir ? et quelles sont les difficultés des travailleurs sociaux, pour accompagner aux mieux ces personnes et leurs trouver des solutions pour que leurs conditions de vie en soit améliorées. Depuis 2006, le « minimum vieillesse » s'appelle allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa). Cette allocation différentielle garantit

l’Etat intervient dans le salaire. Production de services gratuits : écoles, etc. Redistribution verticale : réduire les inégalités économiques. Redistribution horizontale : prise en charge collective de risques individuelles (maladie, chômage, vieillesse, accident, famille). En plus de ces deux objectifs ce greffe deux logiques dans l’intervention, la première sur le principe de l’assurance. Les individus payent des cotisations qui portent principalement sur les revenus du travail, mais peu

Commerce et son Accord Général sur le Commerce des Services) ; ils attendent de la charité qu’elle prenne le relais des carences constatées. Toute la politique néolibérale vise à réduire les droits à des minima (minimum retraite pour assurance vieillesse, panier de soins pour l’assurance maladie...) et rendre optionnel, facultatif et assurantiel ce qui est au delà. La privatisation de notre protection sociale nécessite la mise en scène des déficits, la dissimulation de la perte des 10 points

Une diversité d’offre peut être proposée en fonction du profil type du client : - Prêt à Taux Zéro (pour l’habitat) - Plan d’Epargne Logement - Assurance vie - Assurance santé - Assurance vieillesse - Les prêt pour l’achat d’un bien immobilier ou d’un véhicule - etc. La cible : Les clients qui ne sont pas venus depuis plus d’un an à l’agence pour faire le point avec l’un des conseillers de la clientèle de la banque