Vierge noire

[pic] La vierge à la grenade v. 1469 / 1470 Huile sur bois / 15,7 x 12,8 cm National Gallery of Arts – Washington [pic] La Cène v. 1495 / 1498 Huile et détrempe sur enduit / 460 x 880 cm Réfectoire, Santa Maria delle Grazie – Milan [pic] La joconde v. 1503-1504 et 1510-1515 Huile sur bois / 77 x 53 cm Musée du Louvre – Paris [pic] Portrait de Cecilia Gallerani ( La Dame à l’hermine ) v. 1490 Huile sur bois / 54,8 x 40,3 cm Czartorychi Muzeum – Cracovie [pic] La  vierge, l'enfant

Milan La Dame à l'hermine en 1485, exposé à Cracovie La Madone à l'œillet en 1478, exposé à Munich La Madone aux fuseaux en 1501, exposé à New York la vierge aux rochers en 1483 Huile sur bois 182x132cm, exposé à Nantes La Vierge, l'Enfant Jésus avec sainte Anne et saint Jean Baptiste en 1495, exposé à Londres La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne en 1502 Huile sur bois, exposé à Paris Le Musicien en 1490, exposé à Milan Léda et le cygne en 1508, exposé à Florence

d’œuvre de Solario avec la Vierge au coussin vert. (image 4) On sait qu’elle correspond à la fin du séjour français du peintre lorsqu’il travaille pour Georges Ier d’Amboise, mort en 1510. La déploration (image 5) ou lamentation, est un épisode de la passion qui se rapporte au moment où le Christ est descendu de la croix et remis aux siens. Ceci a donné lieu à de nombreuses interprétations iconographiques où on peut voir généralement le Christ mort sur les genoux de la Vierge entourés de divers personnages

situé cette date avant 1457. Le terme de Pietà (pitié en italien) désigne sur le plan iconographique la Vierge en "mater dolorosa" tenant son fils mort sur les genoux après la descente de la croix ; dans ce tableau la Vierge et le Christ sont entourés de St Jean, Marie Madeleine et le donateur (-> le commanditaire qui offre le tableau à Dieu). Ce thème de souffrance et de passion de la vierge est très représenté à la fin du moyen âge mais on verra que celle-ci se différencie des autres Pietàs de

Gallerani, maîtresse de Ludovic, La Dame à l'hermine ( musée de Cracovie ) et La Vierge aux Rochers ( Huile sur toile, 199 ´ 122 cm, 1483 - Musée du Louvre, Paris ). ● En 1506, Léonard quitte Florence pour Milan, pour se mettre au service de Charles d'Amboise, maréchal de France puis de Louis XI comme " peintre et ingénieur ordinaire". Il exécute avec l'aide de son élève Giovanni Ambrogio de Predis la seconde Vierge aux Rochers. ● Il part ensuite à Rome à la demande de Julien de Médicis, qui s'écrie

Un thème théologique: les homélies d'Amédée Nous pensons que les homélies mariales de Saint-Amédée d’Hauterive (1110-1159), consacré évêque de Lausanne en 1145, peuvent expliquer l'iconographie du couronnement de la Vierge de la cathédrale de Lausanne. C’est une hypothèse plusieurs fois émise dans les études, notamment par Marco Jalla. Peter Kurmann est plus réticent, mais il concède à voir en lui une source partielle de l’iconographie. Les homélies sont au nombre de huit. La première est

1480, il part à Milan, il va créer son propre atelier grâce a une grande famille de Milan, les SFORZA. Pendant ces périodes il a peint de nombreuses œuvres dont : * La dame à l’hermine (3 le calendrier ) * La Cène (1 le panneau ) * La Vierge au Rocher (4 le panneau ou le calendrier) * Un projet de la Statue équestre ( page 2 de votre résumé) (Mathis)Il a fait des travaux sur l’artillerie, la théorie des machines, la recherche sur le vol mécanique,(5 du livre ) l’étude sur l’anatomie(page

l'Humanisme et de la Renaissance, Léonard de Vinci, né à Florence en 1452, apparaît comme un génie universel. Peintre inventant la technique du sfumato, caractérisée par une brume légère enveloppant les formes et donnant une sensation de douceur (La Vierge aux Rochers ou la Joconde), il ébauche également les lois de la mécanique, de la chimie, de la géologie, tente d'analyser le fonctionnement du corps humain, invente de stupéfiantes machines qui utilisent la force hydraulique ou la vapeur, construit

Le Mariage de la Vierge (Raphaël) Le Mariage de la Vierge | | Artiste | Raphaël | Année | 1504 | Type | Huile sur panneau | | | Dimensions (H × L) | 170 cm × 117 cm | | La copie des Sposalizio della vergine dans l'église d'origine. Le Mariage de la Vierge est un tableau peint en 1504 par Raphaël alors que celui-ci se formait à Pérouse, dans l'atelier du Pérugin. Il est conservé à la Pinacothèque de Brera à Milan. Histoire Le tableau est une commande de la famille Albizzini

d'autres essais, illustrés d'innombrables dessins, sur la botanique, la géologie, l'anatomie , l'hydraulique, et enfin peintre. C'est à Milan qu'il réalise le portrait fascinant de Cecilia Gallerani, maîtresse de Ludovic, La Dame à l'hermine et La Vierge aux Rochers Vers 1494, il commence La Cène destinée au mur du fond du réfectoire de Sainte-Marie-des-Grâces, œuvre prodigieuse malgré son enduit expérimental, mélange de tempera et d'huile défavorable à sa fresque, qui s'écaille très vite dans l'atmosphère