Vies minuscules

et surtout de redoutables balles dum-dum, on assiste à des délabrements importants de la face (menton, nez, œil...). Ces blessures sont d'autant plus impressionnantes que certains projectiles, comme les fameux Schrapnels, sont responsables de minuscules orifices d'entrée mais une fois dans la chair, entraînent des délabrements importants avec de volumineux orifice de sortie. [pic]Les progrès de la chirurgie Comment redonner forme humaine à ces visages défigurés ? Tel est le dilemme que vont se

Debord le spectacle c’est le stade achevé du capitaliste. Le spectacle est l’instrument du capitalisme car il légitime et impose une vision unique de la vie. Le spectacle : - est un appareil de propagande du capitalisme et de son emprise sur nos vies. - C’est un rapport social entre des personnes médiatisées par des images (peuvent être des images projetés d’un film ou les images qu’on se fait des uns des autres). Chez Marx il y’a déjà cette idée d’immense accumulation de marchandise, qui cause

Entrant en tenue de soldat dans la chambre, à la tombée de la nuit, il s’approche sans bruit du berceau, se penche avec précaution pour ne pas verser sur cette petite chose endormie les tumultes de la guerre – abasourdi de joie soudain par ses minuscules points serrés sur des songes blancs, ses cheveux d’ange, le trait finement ourlé de ses yeux clos, le réseau transparent de ses veines , l’inexprimable fraîcheur de son souffle qui trace sur la main meurtrie d’Emile comme une invitation au silence

la parole: « Eh bien non, monsieur! Le bocal est plein, désormais. » Un sourire enfantin illumina le visage blême de l’universitaire qui se pencha, tandis que son public commençait à sourire du bon tour qui lui était joué, prit quelques cailloux minuscules et les utilisa pour combler les quelques interstices qui s’étaient formés dans le bocal. Ils se frayèrent un chemin jusqu’au fond. L’audacieux du premier rang s’empourpra puis s’avisa de se taire jusqu’à la fin, tandis que les autres s’animèrent

manifeste. Une échappatoire à la réalité et une osmose avec la nature. Ces personnages s’évadent constamment dans des paysages insolites et merveilleux, se trouvant dans une solitude certaine face à la grandeur du décor. Seul face au monde, ils semblent minuscules perdues dans l’infini dans une contemplation de la nature. En effet il s’agit bien là d’un lieu de repos ou ils peuvent se recueillir en s’y arrêtant, en oubliant la vie réelle, leurs drames. Ils se confient à elle et se sentent apaisés. Un éclat

satanés pays capitalistes; pas de compte en banque, pas d'économies, pas de communications, juste une piaule sur un minuscule lopin de terre. Ca c'est la liberté! Soraya : Mais il incarne la liberté ! Son action est un symbole. Il incarne une pensée politique éthique et concrète fondée sur un impératif universaliste de refus de la misère, de l’injustice, des inégalités et des vies gâchées. Carla: Au nom d’une utopie de dignité humaine, de connaissance, de démocratie, de droit à vivre, d’émancipation

les adultes parce que, comme le prince dit c'est seulement les enfants qui semblent être en mesure de profiter de la vie et voir que le voyage est plus important que la destination. Les trains aussi représentent l'orientation et mouvement, dans nos vies. Les enfants s’occupent à des choses qu'ils pensent sont importantes et savent ce qu'ils veulent au début de leur vie. Comme nous grandissons, nous ne savons pas où nous allons ou ce que nous voulons dans la vie. Le train représente l'indécision de

la communication. Une personne qui prend part à l’audition (un « préclair » en Scientologie) doit diriger son attention vers les recoins les plus profonds de son mental réactif pour faire face à des incidents enregistrés et occlus, y compris ceux de vies passées. Elle fait cela pour trouver les réponses aux questions d’audition, effacer l’énergie nocive contenue dans les enregistrements sous forme d’images mentales de ces incidents, et ainsi se soulager de ses tourments spirituels. Le préclair est

s'en rendre compte!" (Sourate an-Naml: 18) La recherche scientifique faite sur les fourmis ce siècle dernier a montré que leur réseau de communication est incroyable. Un article publié dans le National Geographic a développé ce point: Énorme et minuscule à la fois, une fourmi possède dans sa tête de multiples organes sensoriels capables de capter des signaux chimiques visuels, indispensables aux colonies qui peuvent contenir un million ou plus d'ouvriers, dont la majorité sont des femelles. Le cerveau

trois luminophores, soit rouge, vert ou bleu. Il s’agit des trois couleurs de base à partir de lesquelles nous allons pouvoir former les autres couleurs qu’ils existent. Pour émettre une image, le canon du tube cathodique projettera de multiples minuscules particules que nous appelons des électrons. Ces électrons rendent donc l’écran lumineux à l’endroit où ils le touchent. Au contact des pixels, ces électrons démontreront une couleur. Par la suite, pour dévier la direction de ces faisceaux d’électrons