Vies minuscules

d'ailleur il n'y avait rien sur quoi débattre. l'esprit lourd, le sommeil arrive, et avec le sommeil, viens le rêve, avec le rêve, ... ...d'abord, ou suis je? l'entité s'interroge et trouve, pour se situer il lui faut un point de repère. une minuscule boule dans l'immensité du néant. ainsi apparu la terre. une terre vide mais une terre. l'entité se projette sur la terre, qui comme elle est seule, un point dans le vide, alors elle se dédouble, et se dédouble encore et encore. ainsi apparurent

d'etre né dans une famille pauvre. Le cas que je vous cite est loin d'etre isolé, ce sombre spectacle est visible dans bien des endroits . Les faits sont la : Il y a ici meme, a quelque pas d'ici, des familles entières qui s'entassent dans des minuscules caves infectes, au milieu des rats et des egouts, pour trouver quelque chaleur et echapper a la rudeur de l'hiver. I l y a des etre humains en ce bas monde qui meurent de faim chaque, faute d'avoir pu recuperer queslques legumes pourris au marché

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

guerre du Biafra avec le personnage troublant de Méné), de Johnny Chien Méchant d'Emmanuel Dongala sur le Congo ou encore d' Ahmadou Kourouma avec Allah n'est pas obligé sur les guerres de Sierra Leone et du Liberia. Ces romans racontent des vies minuscules dans une langue totalement désintégrée, réinventée pour traduire l’asphyxie et l’anéantissement, la déshumanisation de corps réifiés ou bestialisés: un "petit minimum de corps charbon", ainsi qu' Agu décrit les soldats. "Ces gens autour de moi

PEUT ON ETRE INDIFFERENT A LA VERITE ? La vérité. Mot qui ne cesse de remplir notre quotidien, nos vies, nos sociétés et surtout notre existence. Plus qu’un simple mot, la vérité, est cette valeur que nous nous efforçons à suivre, à connaître, que nous inculquent nos anciens et nos proches, parce qu’ils veulent notre bien, parce qu’ils veulent que nous restions réalistes et que nous allions dans le chemin de la connaissance et de l’intelligence. Ainsi l’homme définit la vérité comme la conformité

présence des spectateurs – l'achat des billets – qui contribue à faire perdurer leur captivité et leurs souffrances. Ce paradoxe s'explique par l'ignorance du public concernant les scandaleuses techniques de dressage et les très dures conditions de vies des animaux. · L'illusion du dressage en douceur La plupart des animaux dits « de cirque » sont nés en captivité, mais, « fauves » ou animaux domestiques, ils ne sont pas faits pour supporter un dressage réellement contre nature. Les tours sont inculqués

trouve pas d'intêret à enjoliver leur relation qu'il trouve assez bien comme elle était sans y ajouter d'artifices. Il est touchée par la mort de son amie d'enfance, dont il a fait un portrait vrai, humble tel qu'on peut retrouver dans « les vies minuscules » de Pierre Michon.

Pourquoi, selon vous ? 9. [La narratrice : Lou] Comment Lou a-t-elle évoluée au fil du roman ? Lisez ces extraits pour répondre à la question (car elle ne devient pas vraiment plus intelligente…) LOU sans No …je [Lou] ferme les yeux, je suis une minuscule poussière, une particule invisible, je suis légère comme un soupir. …comme si j’étais hors du cadre, de l’autre côté d’une vitre immense et invisible… LOU avec No …Pourtant hier j'étais [je=Lou] là, avec elle, on aurait pu j'en suis sûre dessiner

après le divorce de ses parents, y devint professeur de français après des études de littérature française à l'université de Bucarest. Il publie son premier article dans la revue Zodiac, suivi d'un recueil de poèmes, « Elégies pour des êtres minuscules» (1931) et du recueil d'articles « Non » (1934). En 1938, il revient en France pour réaliser un doctorat, mais, surpris par la guerre,  est obligé de partir à Marseille. Il devient alors relecteur et traducteur pour des maisons d'éditions dans les

gros attrape-couillons, et la plus grande pompe à fric du monde qui se puisse concevoir: Quand une poignée d'abrutis stupides, cupides, et vaniteux... composée par 11 crétins incultes, gagnent des salaires qu'un chirurgien qui sauve chaque jour des vies humaines, n'oserait même pas imaginer!!! ... Et ces 11 jobards prétentieux étant quotidiennement engraissés, par la foule braillarde des innombrables supporters, qui sont généralement aussi limités intellectuellement qu'eux: Et qui les enrichissent