Vigne des rivages

grecs à l'époque archaïque vivaient dans de vastes états comme l’Égypte des pharaons au temps des nouvelles dynasties ou encore le royaume perse. Les grecs sont partis eux-mêmes à la conquête de nouveaux territoires. Ils se sont installés sur les rivages de la méditerranée et de la mer noire. Cette expansion a contribué à multiplier les communautés grecques. I) Les Cités et définition: La cité, c'est un mode d'organisation politique original propre aux Grecs. Pour désigner ces organisations,

belles meunières vendirent leurs croix d’or... Plus de muscat ! Plus de farandole !... Le mistral avait beau souffler, les ailes restaient immobiles... Puis, un beau jour, la commune fit jeter toutes ces masures à bas, et l’on sema à leur place de la vigne et des oliviers. Pourtant, au milieu de la débâcle, un moulin avait tenu bon et continuait de virer courageusement sur sa butte, à la barbe des minotiers. C’était le moulin de maître Cornille, celui-là même où nous sommes en train de faire la veillée

Pour anéantir jusqu’à l’idée de la propriété individuelle et absolue, ils changent de maison tous les dix ans, et tirent au sort celle qui doit leur tomber en partage. Les habitants des villes soignent leurs jardins avec passion ; ils y cultivent la vigne, les fruits, les fleurs et toutes sortes de plantes. Ils mettent à cette culture tant de science et de goût, que je n’ai jamais vu ailleurs plus de fertilité et d’abondance réunies à un coup d’œil plus gracieux. Le plaisir n’est pas le seul mobile

Virgile et Dante y descendent à travers des ravins alpestres, et doivent franchir les trois fosses concentriques qui le composent. Dans la première, bouillis dans la rivière de sang du Phlégéton, sont plongés les assassins et les voleurs. Le long des rivages courent les Centaures, Nessus, Chiron et Pholus, fauves sveltes et agiles qui, armés d'arcs, décochent leurs flèches contre ceux qui veulent fuir la sentence. Dante y croise des empereurs défunts : Alexandre, Denys, Attila, Pyrrhus et Sextus, mais

Chateaubriand Publication: 1801 Catégorie(s): Tag(s): Atala Chateaubriand 1 Prologue La France possédait autrefois, dans l’Amérique septentrionale, un vaste empire qui s’étendait depuis le Labrador jusqu’aux Florides, et depuis les rivages de l’Atlantique jusqu’aux lacs les plus reculés du haut Canada. Quatre grands fleuves, ayant leurs sources dans les mêmes montagnes, divisaient ces régions immenses : le fleuve SaintLaurent qui se perd à l’est dans le golfe de son nom, la rivière

de produits plus exotiques en emportant du pourpre, du bois de cèdre, des parfums, des pierres précieuses et de la verroterie pour commercer avec des populations moins évoluées. Le commerce avec ces populations avait lieu le plus souvent sur les rivages, sous forme de troc. Il s'agissait alors de ramener des produits rares, comme des singes et les crocodiles d'Afrique, pour leurs riches clients. Une partie importante des produits transportés par les caravanes arabes aboutissait dans des ports phéniciens

des poèmes les plus appréciés de Lamartine. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- XIV “Le lac” Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? 5 Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde !

pressentiments, magnétisme. Remontant au berceau des sociétés, l’orateur vous dépeignait ces temps farouches où les hommes vivaient de glands, au fond des bois. Puis ils avaient quitté la dépouille des bêtes ; endossé le drap, creusé des sillons, planté la vigne. Etait-ce un bien, et n’y avait-il pas dans cette découverte plus d’inconvénients que d’avantages ? M. Derozerays se posait ce problème. Du magnétisme, peu à peu, Rodolphe en était venu aux affinités, et, tandis que M. le président citait Cincinnatus

pressentiments, magnétisme. Remontant au berceau des sociétés, l’orateur vous dépeignait ces temps farouches où les hommes vivaient de glands, au fond des bois. Puis ils avaient quitté la dépouille des bêtes ; endossé le drap, creusé des sillons, planté la vigne. Etait-ce un bien, et n’y avait-il pas dans cette découverte plus d’inconvénients que d’avantages ? M. Derozerays se posait ce problème. Du magnétisme, peu à peu, Rodolphe en était venu aux affinités, et, tandis que M. le président citait Cincinnatus

régions disparates(2). II Celle qu’on nomme le Rif, et qui est encore fort mal connue, s’étend au Nord du Maroc actuel, opposant à la Méditerranée un front escarpé. A l’intérieur, se succèdent, à des intervalles rapprochés, des plis parallèles au rivage ; dans la partie NordOuest du pays, ils se recourbent vers le Nord, constituant avec les montagnes de l’Espagne méridionale un grand hémicycle, que le fossé de Gibraltar a coupé brusquement et qui marque la bordure d’un massif ancien, effondré dans