Violence Sur Scène

texte est un extrait de la pièce Horace, de Pierre Corneille, écrite en 1641. Le deuxième texte est la scène 11 de l’acte IV de Lorenzaccio, pièce publiée par Alfred de Musset en 1834. Enfin, le troisième texte est un extrait d’Electre, de Jean Giraudoux, publiée en 1937. Ces pièces mettent en scène des personnages qui ont commis des crimes. Comment les dramaturges rendent-ils compte de la violence de ces crimes ? Tout d’abord, les meurtriers, qui sont Horace (Corneille), Lorenzo (Musset) et Clytemnestre

attribuer le prix Goncourt. Le récit s’ouvre sur une scène dramatique : Tchen, un jeune communiste, s’apprête à tuer un trafiquant d’armes dans son sommeil, pour récupérer un ordre de vente qui permettrait de récupérer des armes. C’est une scène très importante car ce meurtre est un des éléments essentiels du roman, c’est lui qui est à la base de l’histoire. D’ailleurs, Malraux avouait, dans le manuscrit du roman que la scène de l’incipit était « une scène à faire », c’est un des temps forts de l’œuvre

des violences et en particulier des violences sexuelles. Elle s’appuie sur deux documents, un document académique provenant de Google Scholar et notamment de « La revue françaises des sciences de l’information et de la communication » et le second, d’un article de vulgarisation scientifique tout droit tiré d’Acrimed, qui est une association digitalisée critiquant et contestant divers médias. En ce qui concerne le premier document écrit pas Marie-Sherley Valzema, il s’intitule « Violences sexuelles

George Dandin (scène 2 de l’acte II) : Explication de texte Introduction George Dandin, pièce écrite et jouée par Molière en 1668, expose les déboires sentimentaux d’un riche paysan marié à une noble sans fortune. Au début de l’acte II scène 2, George Dandin fait une leçon à Angélique mais elle est perturbée par les passages incessants de Clitandre qui la salue sans que George Dandin s’en rende compte. Ici on assiste à un vif échange entre les époux, chacun exposant son point de vue sur le

Texte A : Victor Hugo-Ruy Blas (1838) Faire devenir son valet noble et le faire aimer de la reine pour se venger. Pardonne. C'est la dernière scène : le dénouement. Mort, amour, Le personnage n'a pas peur de la mort. Texte C : Approche de la mort. N'arrive pas à s'y faire. Autre registre : comique de répétitions, de langage «Un porc qu'on egorge». Exprime sa detresse en criant sa mort au peuple. «Au secours ». Il a peur. Le roi se rabaisse. Question : Quelle est l'attitude des personnages

s'agit ici d'un extrait du récit "la battue au loup". Ce texte suit deux mouvements: une procession mise en scène comme une cérémonie et autre thème la montée de la violence chez les villageois En quoi cette scène est elle représentative de deux des thèmes de l'œuvre: La cérémonie comme divertissement et la cruauté? /)La mise en scène d'un véritable cérémonial A)une mise en scène où l'esthétique est soigné -l5 superlatif "les plus beaux" renforcé par le groupe verbal "on a compris"-> pour

I Un moment de grâce 1) Une scène de rencontre La rencontre est l’un des thèmes omniprésents dans l’œuvre de Koltès, et plus spécifiquement la rencontre inattendue, la rencontre nocturne, la rencontre des hommes perdus et solitaires (Qu’on pense à La Nuit juste avant les forêts ; Dans la solitude des champs de coton,). Ici, pratiquement au milieu de la pièce, cette scène fige l’action pour laisser se libérer la parole. Cet arrêt naît du choix temporel et spatial : Les deux personnages sont suspendus

Marivaux, L’île des esclaves - Scène 1 Introduction : Marivaux est un écrivain du 18ème qui est surtout connu pur ces pièces de théâtre. L’île des esclaves est une pièce à visée politique qui met en scène un retournement de situation sociale et s’inscrit donc dans les revendications sociales du 18ème siècle. Marivaux mélange des époques on ne sait pas si nous sommes dans l’antiquité comme semble l’indiquer les noms d’Euphrosine, d’Iphicrate et d’Arlequin ou au 18ème comme le laisse supposer les

utilisation monochrome rend la scène plus dramatique. Il utilise aussi la typographie(2) de la pesse écrite, le noir et blanc des photos, rappelant ainsi que c’est par ce biais qu’il a pris connaissance de cet évènement dramatique. Cette absence de couleur rappelle le deuil, la violence, la mort. La lumière vient du haut, de la lumière artificielle de l’ampoule électrique, qui met en valeur le centre du tableau. Elle accentue aussi le contraste et accentue la violence, mettant en valeur les corps

égalée ! ainsi suggérer qu’une telle scène de violence aurait pu être perpétrée dans n’importe quel endroit des Etats-Unis touché par ces émeutes comme Detroit, Houston ou Nashville. Duane Hanson supprime également tous les autres personnages de la scène afin de concentrer notre attention sur l’action la plus lâche c’est-à-dire sur l’acharnement d’un policier sur un homme à terre. Les objets viennent ici renforcer la puissance et la signification de la scène en plaçant les deux individus en totale