Violence Utile

Débat/jeux * Conclusion Thérèse : Définition de la maltraitance : Tout acte ou omission répétitif qui ne respecte pas les besoins, les droits et les libertés d’une personne. La maltraitance peut être : * Active, intentionnelle : ABUS ou VIOLENCES * Passive, non-intentionnelle : NEGLIGENCES ou OMISSIONS Et la maltraitance peut se faire en famille ou en institution. Qui sont les personnes âgées ? D’une façon générale, une personne âgée est un ADULTE CITOYEN qui, même si elle devient

Nous décidâmes de rester quelques jours dans ce lieu idyllique. Au fur et à mesure que les semaines passèrent, nous commencions à connaître la Bétique comme notre propre pays. Nous n'étions plus étonnés de voir l'or employé comme un simple matériaux utile pour la vie quotidienne. Au tout début nous avons été choqués de savoir que vous n'utilisez aucune monnaie, que vous êtes tous des bergers ou des laboureurs et que ce territoire vous offre tout ce dont vous avez besoin. Vous vivez dans la plus grande

pathologies b) Réaction face à la violence ponctuelle c) Réaction face à la violence répétée III - Conclusion I - INTRODUCTION Ce thème m’a intéressé car c’est une situation récurrente dans beaucoup d’institutions, et qui m’a touché tout au long de l’une de mes expériences professionnelles. Ce n’est pas seulement la façon de réagir face aux violences de ce type de public qui interpelle, mais belle et bien face à l’ensemble de leurs réactions ; la violence étant la plus flagrante. Nous

- Un grande liberté peut entraîner l'anarchie (Désordre politique dû à l'affaiblissement ou la perte de l'autorité de l'Etat) (=confusion, désordre, émeute, gâchis, pagaille, trouble) 3ème partie: Point de vue personnel A mon avis, il est utile d'accorder une grande liberté aux jeunes. Cependant, il faut leur faire comprendre qu'il y a une différence entre la liberté et l'anarchie. Ils doivent savoir qu'il n'y a pas une liberté absolue, mais une liberté conditionnée par la religion, la loi

objection a lui-même. Il envisageable la possibilité de l’autorité d’origine naturelle mais uniquement limiter (l-3 à 6). L-7 à 11 : origine de l’autorité qui à deux sources (la violence ou le consentement) B) Deuxième, troisième et quatrième paragraphe Il va analyser les deux types d’autorité : 1) Fonder sur la violence : il l’a défini par rapport à ces conséquences. Sa limite est contenu en elle-même (l-14 à 16). Paragraphe transitoire (3) : sert à faire une liaison entre le premier et le deuxième

vient d'une autre origine que la 10 nature. Qu'on examine bien, et on la fera toujours remonter à l'une de ces deux sources: ou la force et la violence de celui qui s'en est emparé; ou le consentement de ceux qui s'y sont soumis par un contrat fait ou supposé entre eux et celui à qui ils 15 ont déféré l'autorité. La puissance qui s'acquiert par la violence n'est qu'une usurpation et ne dure qu'autant que la force de celui qui commande l'emporte sur celle de ceux qui obéissent; en sorte que, si ces

et à son bien être social. Question 3 Faire usage du langage, est-ce renoncer à la violence ?2/2.5 Le langage est un mode de communication oral ou écrit, par lequel les individus peuvent échanger et se faire comprendre. En face la violence c’est faire usage de la force verbale ou physique pour s’imposer. Le langage peut-il se substituer à la violence ? Peut-on alors abandonner complètement la violence en dialoguant ? Parler c’est échanger, mais pour échanger encore faut-il avoir une personne

Marie Chantal MADIOUMA BTS CGO I La synthèse. Quatre documents, un de XVII ℮ siècle, un du XIX ℮ siècle, et les deux autres du XXI ℮ siècle sont des ouvrages qui abordent le même thème la violence exercée par le rire est-elle toujours fondée ? Le premier est extrait de l’ouvrage de Jean de La Bruyère, les caractères ou les mœurs de ce siècle « De la ville » en 1688 et qui dénonce avec distance et humour les excès et les injustices de la société à laquelle il appartient. Le second

est la condition de la liberté (de « de sorte que… » jusqu’à « lorsqu’il n’y a point de loi »). Elle nous libère de l’arbitraire d’autrui, des jeux de force et de domination entre lui et moi. Sans loi, on serait reconduit à l’asservissement et à la violence. Il reste à bien comprendre ce qui est ici désigné sous ce mot de liberté. Dans cet ultime moment, l’auteur va défendre l’idée que la liberté nous appartient d’autant plus qu’elle est protégée par ce que la loi nous permet. Contre une conception

NOTE DE LECTURE « ASSOMONS LES PAUVRES » de SHUMONA SINHA Ce livre nous retrace le parcours d'une interprète indienne qui, suite à un geste d'une violence extrême, se retrouve en garde à vu. Elle va nous raconter au fil de ses nuits au commissariat, comment elle en est venue a casser une bouteille sur la tête d'un individu. Elle commence par nous parler de son travail. Elle officie en tant que traductrice pour des demandeurs d'asile politique. Elle exerce auprès de ses compatriotes indien,