Viorne

troupe des morts récents Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants Puis dans la campagne On s'éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau - 32 - Dont ils firent des sifflets Qu'ils distribuèrent aux enfants Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules Dansèrent au son aigre des cithares Ils n'avaient pas oublié la danse Ces morts et ces mortes

récents 29 Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Qui bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants Puis dans la campagne On s’éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu’ils distribuèrent aux enfants Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules Dansèrent au son aigre des cithares Ils n’avaient pas oublié la danse Ces morts et ces mortes On

morts récents Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants Puis dans la campagne On s'éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu'ils distribuèrent aux enfants Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules Dansèrent au son aigre des cithares Ils n'avaient pas oublié la danse Ces morts et ces mortes On

troupe des morts récents Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants Puis dans la campagne On s'éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu'ils distribuèrent aux enfants Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules Dansèrent au son aigre des cithares Ils n'avaient pas oublié la danse Ces morts et ces mortes On buvait aussi

peuple a due se contenter de l'autre allée, celle du nord, côté où se trouve les cafés, les hôtels, les débits de tabac." Ici, nous reconnaîtrons aisément le cours Mirabeau dans le cours Sauvaire. Plassans est construite sur un plateau dominant la Viorne, ne serait-ce pas là cette petite rivière de l'Arc, où Zola et son ami Cézanne jouaient étant enfants? Les faits qui nous confirment que Plassans est bien, en partie, la ville d'Aix en Provence, sont sa situation géographique et ses remparts : "Comme

Je les ai appelés les Lannes. Elle, Claire, Claire Lannes. Lui Pierre, Pierre Lannes. J’ai changé aussi la victime du crime : elle est devenue Marie-Thérèse Bousquet, la cousine germaine de Pierre Lannes, celle qui tient la maison des Lannes à Viorne. Le crime inspire d’abord une pièce Les viaducs de la Seine et Oise (1959), que Duras renie. Puis, en 1967, un roman, L’amante anglaise, en 1968, une pièce de théâtre du même nom et enfin en 1991, Le Théâtre de l’Amante anglaise. L’intérêt pour ce

travailler, se livre à des chantages contre son frère, tire de lui quelques subsides , s’installe dans une chambre du vieux quartier, apprend à fabriquer la vannerie, exerce mollement ce métier en s’approvisionnant la nuit dans les oseraies de la Viorne, ce qui lui vaut quelques jours de prison et se répand en imprécations contre les riches, par haine des Rougon; il commence dès lors à se poser dans la ville en républicain farouche. En 1829 Antoine épouse une vendeuse de la halle, Joséphine Gavaudan

troupe des morts récents Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants Puis dans la campagne On s'éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu'ils distribuèrent aux enfants Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules LA MAISON DES MORTS 28 Alcools Dansèrent au son aigre des cithares Ils n'avaient pas oublié la danse

morts récents Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants Puis dans la campagne On s'éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu'ils distribuèrent aux enfants Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules Dansèrent au son aigre des cithares Ils n'avaient pas oublié la danse Ces morts et ces mortes On

troupe des morts récents Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants Puis dans la campagne On s’éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu’ils distribuèrent aux enfants Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules Dansèrent au son aigre des cithares Ils n’avaient pas oublié la danse Ces morts et ces mortes 23 On buvait