Virginité

fait d'une matière fragile qui peut se briser si on la force, on pense aussitôt à l'hymen; et un objet qui se perd facilement à la fin d'un bal, au moment où l'amant essaie de s'emparer de sa bien-aimée, peut passer pour une image assez juste de la virginité A la fin du film, on sent que la scène de la pantoufle symbolise la conclusion des fiançailles, c'est en faisant cela qu'elle se reconnaît pour l'épouse qui convient au prince. Résumé Une jeune orpheline, Cendrillon, est le souffre-douleur

déroulait en public : parents des époux, chapelains, notaires, marquis, ducs, servantes, matrones et autres membres de la cour, y assistaient afin de vérifier si le mariage avait bel et bien été consommé par les époux. On y vérifiait aussi que la virginité de la femme était intacte grâce au sang écoulé sur les draps ; dans le cas contraire, le mariage était annulé. La phrase du texte qui a permis cette scène à l’écran est la suivante : « Elle épousa donc le jeune prince de Montpensier qui, peu après

composée des couleurs rouge, noir et blanc dans laquelle les couleurs expriment comme des qualités pour le regard. Celles-ci suscitent différentes perceptions du monde. En occident, le blanc est souvent synonyme de bien, de gaité, de sagesse et de virginité. Dans la religion catholique c’est la couleur des anges et des saints. Le noir, lui, symbolise, la tristesse, le deuil, le mal et les péchés... Quant au rouge, il symbolise la passion, l’amour, le démon et la sexualité. Les deux personnages masculin

extrait, ainsi que dans la plupart du conte d’ailleurs, Voltaire s’attaque à la philosophie optimiste de Leibnitz. Pour ce faire, il met en scène son héros Candide, personnage éponyme, dont la signification renvoie à la pureté, à la naïveté et à la virginité et s’est fait chasser de son paradis perdu, dans des situations tant politiques que religieuses ou sociales, dans lesquelles tout va mal et où il dénonce sur un ton ironique la société de son époque. Pangloss, son précepteur s’accompagne dans ses

est ici question de représentation. Au 18e siècle neo-classique la question de la représentation est centrale. Lorsque Greuze peint « Les œufs cassés », il réalise la « belle représentation » d'une chose pas particulièrement belle : la perte de virginité d'une jeune fille. Ce qui ne peut pas être représenté explicitement peut l'être par la beauté de l'art ; le sujet, aussi ambigu fut-il, devient prétexte à une belle composition : la questions se pose: comment un sujet et une représentation qui se

fontaine. Son nom peut être légendaire, selon les goûts de chacun : ainsi, certains affirment qu’elle fut nommée Trevi à cause des bas-reliefs de la fontaine, en référence à la légende selon laquelle une dénommée « Trevi » aurait sauvé sa virginité en indiquant l’emplacement de cette source. Mais l'étymologie la plus acceptée, moins poétique mais plus probable est latine : trivium (tre vie en italien), signifiant « trois rues », et Trevi est justement le nom du rione (secteur administratif

F H D C G Léonard de Vinci, « L’Annonciation », 1473-1475, huile et tempera sur toile, Florence, Galeries des Offices, 100 x 221,5 cm. Le contexte : le jardin de Marie à Nazareth, un jardin clos, symbole depuis le Moyen-âge de la virginité de Marie. Au moment de l’arrivée de Gabriel elle est plongée dans la lecture de la Bible. L’archange Gabriel dans un rôle de messager annonce à Marie qu’elle porte un enfant. Jeune vierge juive elle a été choisie par Dieu pour concevoir, hors

métamorphose et se seraient transformées en démon entant que sirènes pour punition. On raconte aussi qu'elles auraient été transformées en sirènes à cause de la colère d'Aphrodite, la déesse de l'Amour, parce qu'elles avaient refesusé de donner leur virginité à un Dieu ou à un mortel, ainsi elle les affubla de pattes et de plumes tout en conservant leur visage de jeunes filles. La légende dit que les sirènes sont des divinités de la mer, qu'elles vivent à l'entrée du détroit de Messine vers l'ouest de

B I E F H D C G Léonard de Vinci, « L’Annonciation », 1473-1475, huile et tempera sur toile, Florence, Galeries des Offices, 100 x 221,5 cm. Le contexte : le jardin de Marie à Nazareth, un jardin clos, symbole depuis le Moyen-âge de la virginité de Marie. Au moment de l’arrivée de Gabriel elle est plongée dans la lecture de la Bible. L’archange Gabriel dans un rôle de messager annonce à Marie qu’elle porte un enfant. Jeune vierge juive elle a été choisie par Dieu pour Le lys blanc dans

reconnaître dans l’assemblée alors qu’il portait des vêtements simples. Elle lui fait part des voix qu’elle a entendues. Méfiant, Charles lui fait subir des interrogatoires menés par les autorités religieuses à Poitiers, qui vérifient entre autres sa virginité. Elle leur fait quatre prédictions : les Anglais lèveront le siège d'Orléans, le roi sera sacré à Reims, Paris rentrera dans le domaine royal de Charles et enfin, le duc d'Orléans reviendra de sa captivité en Angleterre. Charles accepte de lui confier