Vitesse supraluminique

divisions x 0,5 ms = 2 ms T = 0,002 s b) Calculer la fréquence de l’onde sonore f = 1/T = 1/0,002 = 500 Hz c) Que peut-on conclure ? Les 2 signaux sont en phase 3) La distance « d » entre le haut-parleur et le microphone est de 42 cm. Calculer la vitesse de la propagation du son en m.s-1 . c = d/t d = 42 cm = 0,42 m t correspond à une période car les 2 signaux sont à nouveau en phase. Donc t = 0,002 s c = 0,42/0,002 = 210 m.s-1 Exercice 4 On réalise le montage ci-contre : À l'aide d'un microphone

représentent-elles toutes les deux un mouvement possible? Justifiez une éventuelle réponse négative. A B Mouvements rectilignes t 3) Un cycliste grimpe un col de longueur d (en km) à la vitesse moyenne v = 18 km/h, puis, sans s’arrêter, redescend le même col à la vitesse moyenne v’ = 42 km/h. a) Calculez la vitesse moyenne du cycliste pour cet aller-retour. b) Sachant que le temps total du parcours est de 1h40min, calculez la longueur d du col et le temps mis pour effectuer l’ascension, resp. la descente

maximale est cherchée) à différentes places (Xi-X0) dans le tube. Grâce a la valeur de référence de la vitesse du son, nous comparerons cette valeur aux quatre valeurs mesurées et ensuite schématisées par des diagrammes d’égalité physique. Nous déterminerons la vitesse des ondes de notre montage en sachant que Xn-X0=nλe/2, 2L/n =λe. Il faut ensuite calculer λe pour enfin déterminer la vitesse du son (Ve=λe f) . Nous répéterons les calculs pour les mesures des trois autres fréquences utilisées

s’éloigne de la source. Ainsi, plus on s’éloigne de la source sonore, moins on entend le son émis. 3. Célérité du son a. Sons et ultrasons Dans un milieu matériel homogène (ici l'air à température ambiante), les sons et ultrasons se propagent à vitesse constante identique, c'est-à-dire que cette célérité dépend de la nature du milieu et pas de la fréquence de l'onde sonore. b. Description de l'expérience On relie un émetteur E d'ultrasons (pour éviter les nuisances des sons audibles) sur

consolider les acquis de la dernière décennie. Dans le raisonnement de l’ingénieur, fin de la décroissance signifie augmentation de la vitesse et donc accélération positive. Or si des inflexions sont nécessaires, elles proviendront de cette dérivée seconde, l’accélération, dont on aurait tort de se lamenter du seul caractère négatif. Dans un virage, le vecteur vitesse se réduit et le vecteur accélération, inverse certes son sens pour freiner le mouvement, mais aussi devient peu à peu la résultante d’une

Savoir s’autovaluer1. 1. $ = d$OGdt .2. a. $a = d$Gdt .b. La valeur du vecteur accélération s’exprime en m . s–2.3. Lors d’un mouvement rectiligne uniforme, le vec-teur vitesse du centre d’inertie du système est constant. Son vecteur accélération est nul.2. Le vecteur vitesse du centre d’inertie d’un sys-tème doit être tangent à la trajectoire ; c’est le cas dans chacune des situations schématisées. Le vecteur accélération, d’après la deuxième loi de Newton, a même direction et même sens que la résultante

TS. DM2 - Correction ♣ E X 1 : Un lapin désire traverser une route de 4 mètres de largeur. Un camion, occupant toute la route, arrive à sa rencontre à la vitesse de 60 km/h. Le lapin décide au dernier moment de traverser, alors que le camion n’est plus qu’à 7 mètres de lui. Son démarrage est foudroyant et on suppose qu’il effectue la traversée en ligne droite au maximum de ses possibilités, c’est-à-dire à 30 km/h ! L’avant du camion est représenté par le segment CC sur le schéma ci-dessous. Le

TP 5 : Etude de moUvements Objectifs : dans le cadre de l’étude de différents mouvements : Tracer des vecteurs vitesse et des vecteurs accélération. Illustrer la première et la deuxième loi de Newton. .I Realisation d’enregistrements 1) On lance un mobile autoporteur sur une table à coussin d’air horizontale. On enregistre les positions successivement occupées par le centre d’inertie G du mobile. (enregistrement 1) 2) N.B : en cas de difficultés techniques ou de manque de temps, on

est égale à l’aire de la surface formée par les points N, A1 et A2 (en vert). 1.4.2. Les portions d’orbite P1P2 et A1A2 sont parcourues pendant la même durée t. Les vitesses (moyennes) de Néréide au péricentre vP et à l’apocentre vA sont respectivement : vP = et vA = Or P1P2 > A1A2 et t est constante donc vP > vA. La vitesse de Néréide est plus grande au péricentre qu’à l’apocentre de l’orbite elliptique. Voir : http://astro.unl.edu/naap/pos/animations/kepler.swf 1.5.1. Troisième loi de

Interrogation de Sciences Physiques IE1 Terminale S Date : lundi 22 septembre 2003 Durée : 45 min I. Les ondes sismiques (Afrique juin 2003) Etude d’un séisme Lors d'un séisme, la Terre est mise en mouvement par des ondes de différentes natures, qui occasionnent des secousses plus ou moins violentes et destructrices en surface. On distingue : - les ondes P les plus rapides, se propageant dans les solides et les liquides. - les ondes S, moins rapides, ne se propageant que dans