Vitriol

court moment de délire enfantin passé,je reprends mon calmeet j’observe avec attention la pièce,j’essaye de comprendre et d’interprèter ce que je vois,la lumière de la bougie,le dénuement de la pièce,le crane, le sel, ce mot séparé par des points VITRIOL qui ne manque pas de m’intriguer.Je laisse mon esprit vagabonder sur ces éléments mais le temps passe et je dois répondre aux questions et rédiger ce fameux testament. Tout d’abord je me dis que je dois réflèchir et formuler correctement ce que je

portrait d’une société. Un genre qui perdure dans le temps et élève les enfants : une introduction à l’esprit critique. Exemple : « La cigale et la fourmi ». b) Jeux de mots et portraits de maux : la verve satirique au profit d’une société décrite au vitriol. Quand la poésie se fait chanson et connaît même une diffusion de masse. Exemple : « le déserteur », Boris Vian ou même la présence de procédés poétiques dans la publicité. 3. Invention : Vous imaginerez un dialogue entre deux critiques littéraires

récit : « on ne forçait personne ». Ainsi, à travers cet incipit, Proust nous dépeint une société pseudo aristocratique, où règnent en guise de valeurs l’hypocrisie et la jalousie. Avec la virtuosité qui lui est propre, il dresse un portrait vitriolé du monde dans lequel il évolue, et pose le cadre d’un roman qui mêlera la beauté et la fluidité de l’écriture avec l’adresse et l’humour de la critique sociale. Grâce à Swann, le lecteur pourra errer dans ces clans mondains d’envergure plus ou moins

patrie de la liberté. Mais cet homme se révèle toujours lâche et égoïste, voire méchant parfois. L’entente qui pourrait avoir lieu dégénère finalement en conflit ouvert. C’est un père qui n’a rien de paternel. Le narrateur nous en livre un portrait au vitriol dans la dispute avec Tanguy, qui lui dit tout ce qu’il pense Gunther Ce jeune Allemand est l’une des personnes les plus aimées par Tanguy. Ancien avocat, ses talents au piano lui permettent de survivre dans le camp où il est déporté avec le

l'aboutissement de dix années de lectures, de réflexions, d'essais. Elle a pour épigraphe la formule de Taine qu’il avait écrite dans l'introduction de son “Histoire de la littérature anglaise” : «Le vice et la vertu sont des produits comme le vitriol et le sucre». Cette référence scientifique fut affirmée dans la préface : « J'ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères [...] des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang [...] J'ai cherché à suivre [...] les poussées

l’emprise du corps afin de retrouver leur véritable nature essentielle (divine et lumineuse). Lumineuse, comme cette lumière des profondeurs de l’être qui ne peut être atteint que part l’esprit transcendé, chemin qui nous est montré par la formule « VITRIOL », qui nous en fait entrevoir la lueur. J’ai ensuite été invité par le frère expert à me dépouiller de tous les métaux (monnaie, bijoux, montre, etc.) que j’avais en ma possession. Cette phase m’a rappelé le conseil de jésus à ses disciples : « si

Paradis. Il ne met pas en valeur le ventre mais le cache mais en même temps attire le regard par sa blancheur sur cette partie du corps. Nous devons aller voir ce que nous avons dans le ventre comme dans le cabinet de réflexion ou on trouve le mot VITRIOL « Visite l’intérieur de la terre et en le corrigeant, tu trouveras la pierre cachée » Dans notre ventre siègent les organes comme les intestins qui sont chargés du tri des aliments mais, même ce qui restent, est utile et peut servir d’engrais pour

Mais l’homme, comme l’œuvre sabotèrent cette volonté illusoire et rassurante de ranger les individus dans des casiers bien ordonnés. Gary était un être complexe, lucide, « un cosaque un peu tartare mâtiné de juif », un antiraciste à l’humour au vitriol, un fin observateur de la société (française comme américaine), et l’on réalise aujourd’hui qu’il fut avant tout un visionnaire. Il n’hésitait jamais à tenir un discours qui dérangeait en mettant en lumière toutes les hypocrisies. Un désir d'échapper

que j’ai en commun ou de diffèrent, à accepter les contradictions, à tenter de les combiner vers un mieux, un bien. L’EPREUVE Ce chemin passait naturellement par les autres mais aussi par l’intérieur de moi et y descendait au plus profond. VITRIOL : je devais aller au fond de la caverne, à la matrice, à l’origine, là ou, m'enseigne-t-on, l’âme est encore en contact avec l’Un. Le véritable itinéraire était donc intérieur, et je le redoutais : Amer savoir, celui que l’on tire du voyage !

j’espionne leurs pensées profondes – puis je les fais taire pour isoler la voix de mon hôtesse, à l’autre bout de la pièce. C’est une femme dure, sans générosité aucune, mais dotée d’un goût immodéré pour les froufrous, le vin rouge, et les potins au vitriol. J’entends les mesquineries cruelles qui fusent dans son esprit. Comment ai-je pu croire que cette sinistre personne était mon amie ? Je m’approche et m’incline devant elle avant de glisser le petit paquet de velours entre ses doigts avides. Son