Vivons Heureux Vivons Cachés

poèmes Sur les arbres gravé Aimer comme je t'aime Est un bienfait de Dieu Et je peux sur ce thème Broder des jours heureux, D'autres l'auront dit Mais moi j'ai mis mon cœur Dans ces vers inédits Que mon amour écrit... Sur vélin de bonheur Aimer comme je t'aime C'est accepter joyeux La vie et ses problèmes Heureux ou malheureux Oui... Chéri Car je t'aime pour deux... Quand je pense à toi mon amour, Mon cœur bat plus fort et toujours

naître comme eau, et la mort de l'eau de naître comme air, et de l'air, comme feu, et ainsi de suite. [La série change.] 77. Pour les âmes devenir humides est délices ou mort. [Délices, c'est pour elles la chute dans la naissance, le devenir ().] Nous vivons leur mort (des âmes) et elles vivent notre mort. 78. Le comportement humain n'enferme pas les connaissances ; le divin si. 79. L'homme est regardé comme sans raison par rapport à la divinité () comme l'enfant (nouveau-né) par rapport à l’homme. 80

l’océan, à annihiler les distances terrestres, à exploiter la foudre pour faire tourner les machines industrielles, à faire pousser 7 brins d’herbe là où il n’y en avait qu’un, à permettre la communication instantanée entre les nations du monde. Nous vivons une ère de l’illumination et du développement, mais sachez que nous avons à peine gratté la surface de la connaissance. Une fois que nous aurons ouvert la porte qui conduit au pouvoir secret se trouvant en nous-mêmes, nous nous rendrons compte que

l’établissement d’une société en un tout moral. Sans ces propriétés, certes en elles-mêmes fort peu engageantes, de l’insociabilité, d’où naît l’opposition que chacun doit nécessairement rencontrer à ses prétentions égoïstes, tous les talents resteraient cachés en germes pour l’éternité, dans une vie de bergers d’Arcadie14, dans une concorde, un contentement et un amour mutuel parfaits ; les hommes, doux comme les agneaux qu’ils paissent, ne donneraient à leur existence une valeur guère plus grande que celle

sa placeLorsque les démons refont surfaceJe dois me fondre dans la masse Pour ne pas perdre la faceJe tombe, plonge dans l'ombreJe sombre, je compte les secondesDans la pénombre, mes blessures sont profondesJ’ai l'impression de porter un masquePour cacher mon âme qui se casseMon cœur qui se glaceJ’adopte la mauvaise attitude, une mauvaise habitudeJe suis remplie d'incertitudeGrugée par l’inquiétudeJe me cache derrière ma carapacePour que ma douleur s'effaceQue mon malheur se tasseÀ l'intérieur, je

au centre duquel se trouve une espèce de petit rocher gris d’où sort un minuscule jet d’eau.Quelques poissons rouges y exécutent sans arrêt de paisibles allées et venues.Comme le spectacle manque de variété floc ! L’Enfant y lance un petit caillou heureux de voir les poissons filer en tous sens en une sarabande effrénée, émaillée de merveilleux éclats de feu.Mais aujourd’hui il trouve moins d’attrait à ce jeu. Il décide d’aller s’asseoir sur une grosse et grande pierre plate qui est juste a coté des

Je contractai l'habitude de ne jamais parler de ce qui m'occupait, de ne me soumettre à la conversation que comme à une nécessite importune et de l'animer alors par une plaisanterie perpétuelle qui me la rendait moins fatigante, et qui m'aidait à cacher mes véritables pensées. De là une certaine absence d'abandon qu'aujourd'hui encore mes amis me reprochent, et une difficulté de causer sérieusement que j'ai toujours peine à surmonter. Il en résulta en même temps un désir ardent d'indépendance, une

duplicité envers soi-même est l’image voilée du mal non perçu devant lequel se prosternent le luxe et la satiété. Mais le poète considère les vices de ses contemporains comme une parure temporaire que doivent porter ses créations et qui couvre sans les cacher les propor­ tions éternelles de leur beauté. On comprend qu’un personnage épique ou dramatique en revête son âme, comme il peut revêtir son corps de l’armure antique ou de l’uniforme moderne ; quoiqu’il soit facile de concevoir une parure plus

3. Au début était l'orgueil Le premier piège Connaissez-vous la gloire ? Osiris glorieux La naissance des Dieux Les prétentions du personnage Se prendre au sérieux La force des répétitions 4. Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? Il est bon que les hommes connaissent la gloire La recette du bonheur La pulsion d’union Le goût d’exprimer en tant qu’individu Le goût de participer Le goût de créer et de transformer Créateur, créativité et création Le

façon qu'un roi). Les écrivains veulent des réformes. Zadig (ou la destinée) Comment peut-on définir le conte? Merveilleux et philosophiques, passer des messages, Personnes anodines. Récit imagée, facilité de compréhension. Messages sérieux cachés dans le conte. Fable de la fontaine, conte: aventure des héros, voyage initiatique. Candide va vers la sagesse au fil du texte. Texte plaisant et didactique (instructif). PLAIRE ET INSTRUIRE. A quel genre appartiennent le conte et la fable? -L'apologue