Vœu de chasteté

qu’on n’a point remarqué qu’il y ait eu une femme, Dieu merci, qui ait fait parler d’elle. Monsieur de Sotenville. Corbleu ! dans la maison de Sotenville on n’a jamais vu de coquette, et la bravoure n’y est pas plus héréditaire aux mâles, que la chasteté aux femelles. Madame de Sotenville. Nous avons eu une Jacqueline de la Prudoterie qui ne voulut jamais être la maîtresse d’un duc et pair, gouverneur de notre province. Monsieur de Sotenville. Il y a eu une Mathurine de Sotenville qui refusa vingt

ont soif insatiable de l’infini, comme toi, comme moi, comme le reste des humains, à la figure pâle et longue. Même, je te permets de te mettre devant la fenêtre pour contempler ce spectacle, qui est assez sublime. » Depuis ce temps, je respecte le vœu de la morte. Moi, comme les chiens, j’éprouve le besoin de l’infini… Je ne puis, je ne puis contenter ce besoin ! Je suis fils de l’homme et de la femme, d’après ce qu’on m’a dit. Ça m’étonne… je croyais être davantage ! Au reste, que m’importe d’où

correspond davantage aux vœux aux souhaits qu’à la réalité, on appelle cela la conception collectiviste ou la conception solidariste. La conception collectiviste présente l’entreprise comme elle souhaiterait qu’elle fut mais elle ne l’est pas c’est un vœu, un objectif, une perspective. L’entreprise serait une communauté de travail comprenant un personnel et un certain nombre de moyen matériel sous l’autorité d’un chef responsable. Elle est une association d’un capital et d’un personnel en vue de réaliser

qu’on n’a point remarqué qu’il y ait eu une femme, Dieu merci, qui ait fait parler d’elle. Monsieur de Sotenville. Corbleu ! dans la maison de Sotenville on n’a jamais vu de coquette, et la bravoure n’y est pas plus héréditaire aux mâles, que la chasteté aux femelles. Madame de Sotenville. Nous avons eu une Jacqueline de la Prudoterie qui ne voulut jamais être la maîtresse d’un duc et pair, gouverneur de notre province. Monsieur de Sotenville. Il y a eu une Mathurine de Sotenville qui refusa

celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. a. A celui qui vaincra. Même invitation donnée dès le début à toutes les églises. C’est comme le refrain d’un même cantique avec sept couplets. Le vœu du Seigneur est que nous parvenions tous à la victoire définitive, totale et réelle, sur Satan et ses suppôts. b. Autorité sur les nations. Quelle promesse et quelles nations ? Ce pouvoir représente le prix de la victoire finale au jour de Jésus-Christ

sont les moines et moniales, vivant dans les monastères17. Ils ont fait profession religieuse (on les appelle aussi religieux « profès ») en prononçant les trois vœux : chasteté, pauvreté et obéissance. Ils ont le même statut que les clercs ordonnés, mais en outre sont soumis à des incapacités propres. Ainsi, en raison du vœu de pauvreté, les moines sont frappés de “mort civile” : ils n’ont pas de patrimoine. Église et laïcs ne sont pas d’accord sur les conséquences de cette situation : pour

point capable ayant aimé le crime sans intérêt ? Et je confesse que tout m’est pardonné, et le mal que j’ai fait de gré, et celui que m’a épargné votre miséricorde. Quel mortel, méditant sur son infirmité, oserait attribuer à ses propres forces sa chasteté et son innocence, et se croirait en droit de vous moins aimer, comme s’il eût eu moins besoin de ce miséricordieux pardon que vous accordez au repentir des pécheurs ? Que l’homme qui, docile à l’appel de votre voix, a évité tous ces désordres dont

mort ................................ 66 2 De la guerre et des guerriers................................ 69 De la nouvelle idole ............................................. 72 Des mouches de la place publique ....................... 76 De la chasteté ...................................................... 81 De l’ami ............................................................... 83 Mille et un buts .................................................... 86 De l’amour du prochain ...............

est en soy, ny pasle ny descoulouree, pour estre apperceuë par des yeux chassieux et troubles. On doibt aymer la temperance par elle mesme, et pour le respect de Dieu qui nous l'a ordonnee, et la chasteté : celle que les caterres nous prestent, et que je doibs au benefice de ma cholique, ce n'est ny chasteté, ny temperance. On ne peut se vanter de mespriser et combatre la volupté, si on ne la voit, si on l'ignore, et ses graces, et ses forces, et sa beauté plus attrayante. Je cognoy l'une et l'autre

et solidement armée d'une chasteté à l'épreuve; elle vit invulnérable aux faibles coups de l'arc enfantin de l'Amour; elle ne se laissera point assiéger par d'amoureuses négociations, ne supportera pas la rencontre des yeux qui l'assaillent, n'ouvrira point le pan de sa robe à l'or qui séduit même les saints. Oh! elle est riche en beauté, pauvre seulement en ceci, qu'en mourant son trésor de beauté mourra avec elle. BENVOLIO.--A-t-elle donc juré de vivre dans la chasteté? ROMÉO.--Elle l'a juré; et