Voila La Girouette Où Tourne Nos Désirs

première Dom Juan, en habit de campagne, Sganarelle, en médecin. Sganarelle, en médecin. Ma foi, Monsieur, avouez que j’ai eu raison, et que nous voilà l’un et l’autre déguisés à merveille. Votre premier dessein n’était point du tout à propos, et ceci nous cache bien mieux que tout ce que vous vouliez faire. Dom Juan, en habit de campagne. Il est vrai que te voilà bien, et je ne sais où tu as été déterrer cet attirail ridicule. Sganarelle. Oui ? C’est l’habit d’un vieux médecin, qui a été laissé en gage

jeune femme se réfugie dans le souvenir de ce bal. Chapitre 9 / Les rêveries d'Emma Ce qu'elle vient de vivre offre un nouvel aliment à l'imagination d'Emma. Elle rêve de Paris et se met à lire Balzac et Eugène Sue. Mais rien ne peut assouvir ses désirs vagues et elle s'irrite de plus en plus de la sottise absolue de son mari. Les saisons se succèdent, l'ennui s'accroît et le caractère de la jeune femme s'altère- Un an et demi après le bal de la Vaubyessard, on lui trouve une maladie nerveuse et

Voltaire Il faut être prudent, mais non pas timide. Voltaire C'est un poids bien pesant qu'un nom trop fameux. Voltaire La géographie est le seul art dans lequel les derniers ouvrages sont toujours les meilleurs. Voltaire Les femmes ressemblent aux girouettes : elles se fixent quand elles se rouillent. Voltaire On ne peut désirer ce qu'on ne connaît pas. Voltaire Il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent. Voltaire On parle toujours mal quand on a rien à dire. Voltaire

mon seigneur, j’ai dit la mienne. BENE : Et moi, j’ai dit la mienne. CLAU : Que je l’aime, je le sens. DON PEDRO : Qu’elle en soit digne, je le sais. BENE : Que je ne sente point qu’il faille l’aimer ni ne sache qu’elle en est digne, voilà l’opinion que le feu ne fera pas fondre sur mes lèvres ; je suis prêt à mourir sur le bûcher. DON PEDRO : Tu as toujours été un hérétique obstiné dans ton mépris de la beauté. BENE : Qu’une femme m’ait enfanté, je l’en remercie ; qu’elle m’ait

rarement de l'argent." [ Jacques Sternberg ] "La bouillabaisse, c'est du poisson avec du soleil." [ Alfred Capus ] "Je chante faux, mais j'entends juste." [ Marcel Achard ] Les citations du Monde 4 "Il est plus facile de résister au premier de ses désirs qu'à tous ceux qui le suivent." [ Benjamin Franklin ] "Les obstacles ne sont que ce qu'il faut surmonter." [ Samuel Gridley Howe ] "Ou l'on fait appel au talent, c'est que l'imagination fait défaut." [ Georges Braque ] "Ni Dieu ni maître, même nageur

ma sagesse, comme l’abeille qui a amassé trop de miel. J’ai besoin de mains qui se tendent. Je voudrais donner et distribuer, jusqu’à ce que les sages parmi les hommes soient redevenus joyeux de leur folie, et les pauvres, heureux de leur richesse. Voilà pourquoi je dois descendre dans les profondeurs, comme tu fais le soir quand tu vas derrière les mers, apportant ta clarté au-dessous du monde, ô astre débordant de richesse ! Je dois disparaître ainsi que toi, me coucher, comme disent les hommes vers

comme l’abeille qui a amassé trop de miel. J’ai besoin de mains qui se tendent. Je voudrais donner et distribuer, jusqu’à ce que les sages parmi les – 10 – hommes soient redevenus joyeux de leur folie, et les pauvres, heureux de leur richesse. Voilà pourquoi je dois descendre dans les profondeurs, comme tu fais le soir quand tu vas derrière les mers, apportant ta clarté au-dessous du monde, ô astre débordant de richesse ! Je dois disparaître ainsi que toi, me coucher, comme disent les hommes vers

de l'argent." [ Jacques Sternberg ] "La bouillabaisse, c'est du poisson avec du soleil." [ Alfred Capus ] "Je chante faux, mais j'entends juste." [ Marcel Achard ] Les citations du Monde 4 "Il est plus facile de résister au premier de ses désirs qu'à tous ceux qui le suivent." [ Benjamin Franklin ] "Les obstacles ne sont que ce qu'il faut surmonter." [ Samuel Gridley Howe ] "Ou l'on fait appel au talent, c'est que l'imagination fait défaut." [ Georges Braque ] "Ni Dieu ni maître, même nageur

comme l’abeille qui a amassé trop de miel. J’ai besoin de mains qui se tendent. Je voudrais donner et distribuer, jusqu’à ce que les sages parmi les hommes soient redevenus joyeux de leur folie, et les pauvres, heureux de leur richesse. Voilà pourquoi je dois descendre dans les profondeurs, comme tu fais le soir quand tu vas derrière les mers, apportant ta clarté au-dessous du monde, ô astre débordant de richesse ! Je dois disparaître ainsi que toi, me coucher, comme disent les

comme l’abeille qui a amassé trop de miel. J’ai besoin de mains qui se tendent. Je voudrais donner et distribuer, jusqu’à ce que les sages parmi les – 10 – hommes soient redevenus joyeux de leur folie, et les pauvres, heureux de leur richesse. Voilà pourquoi je dois descendre dans les profondeurs, comme tu fais le soir quand tu vas derrière les mers, apportant ta clarté au-dessous du monde, ô astre débordant de richesse ! Je dois disparaître ainsi que toi, me coucher, comme disent les hommes vers