Voix de poitrine

Une étreinte d’amour Allongé sur un coussin de verdure, la tête posée sur ses genoux maternels j’admire avec mon regard d’enfant innocent l’immensité du ciel. Tenant un petit train en bois dans mes mains enfantines, je suis bercé par sa voix mélodieuse qui chante avec délice de merveilleuses comptines. Les notes glissent doucement sur mon corps quand subitement tout change. La lumière devient aveuglante, je suis comme transporté dans un autre monde. Derrière un halo de lumière, j’aperçois

d'anabolisant s'etait retrouvé avec une extension pubaire de l'appareil sexuel, jusqu'à l'abdomen. Une virilisation vocale, avec une voix rauque et grave, avec un plus grand risque pour les femmes de plus de 35 ans, et les adolescentes. Avec successivement, enrouement, puis une sensation de corps étrangé au niveau du larynx.Et pour finir une baisse d'intensité de la voix. La virilisation vocale devient alors irréversible L'arrèt de la croissance chez l'enfant chez l'enfant Au stade prepubertaire

croisées sur la poitrine et tapant le pied gauche par terre. elle (toujours dans la même posture): je peux savoir QUI s’était ? Moi: je n’ai plus aucun compte à te rende Lucienne et d’abord qu’est-ce que tu fais chez moi ? Elle: à ton avis, je suis passée de rendre visite. Moi: sans m’avertir ? Elle: je l’ai fait mais tu ne décrochais pas à mes appels. Moi: ….. Elle ( s’approchant de moi): bébé….. tu me manques tellement…. ( en me caressant la poitrine) j’ai essayé de t’oublier…

désespérer, pensa-t-il. En effet, elle regarda tout autour d’elle, lentement, comme quelqu’un qui se réveille d’un songe ; puis, d’une voix distincte, elle demanda son miroir, et elle resta penchée dessus quelque temps, jusqu’au moment où de grosses larmes lui découlèrent des yeux. Alors elle se renversa la tête en poussant un soupir et retomba sur l’oreiller. Sa poitrine aussitôt se mit à haleter rapidement. La langue tout entière lui sortit hors de la bouche ; ses yeux, en roulant, pâlissaient comme

C'étaient des cailles du désert, furtives et insaisissables comme des mouches. Alors Tayar se réveillait à son tour, sans savoir pourquoi, peut-être simplement parce que son frère le regardait en silence, et que ça faisait comme un doigt appuyé sur sa poitrine. Il disait doucement, comme un murmure : « Aazi », et ensemble ils couraient, pieds nus, ils dévalaient les pentes de la montagne jusqu'à l'oued où les brebis avaient déjà choisi leur place d'ombre pour la journée de soleil. L'eau du torrent était

Centrale de Clairvaux. Il se lie d’amitié avec un jeune prisonnier, Albin mais, par jalousie, le directeur des ateliers sépare les deux hommes. Tous les jours, Claude réclame son compagnon, en vain.   « Monsieur le directeur, dit Claude avec une voix qui eût attendri le démon, je vous en supplie, remettez Albin avec moi, vous verrez comme je travaillerai bien. Vous qui êtes libre, cela vous est égal, vous ne savez pas ce que c'est qu'un ami ; mais, moi, je n'ai que les quatre murs de ma prison

corps avec « cou », « muscles », « poitrine » cheveux », » tempes » « épaules ». Gervaise est sensible à chaque détail physique et sensible à sa « poitrine vaste » (l.15). La Gueule d’or n’est plus un ouvrier fabriquant un banal boulon, ce qui prouve à quel point Gervaise est séduite par le corps de la Gueule d’or. De plus, cette fascination pour le corps de la Gueule d’or est confirmée et amplifiée avec une approche sensuelle, voire érotique. La poitrine « vaste, large, à y coucher une femme

pain et au saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C'était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits ; et il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette. Il marchait ainsi qu'au temps où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s'il venait de descendre de cheval ; et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement sur l'oreille

(moment décisif : déposition des témoins avant la sentence finale. * Problème : l’homme est-il réellement JVJ ? * Coup de théâtre : après les dépositions des témoins, JVJ arrive -> stupéfaction. * Dialogue des personnages (plusieurs voix) : * Narrateur, président (l.15 à 28-35-51-76-81). * Témoins : Brevet (l.30 à 34), Chenildieu (l.49-50), Cochepaille (l.63-64). * Accusé : Champmathieu (l.72-74-78). * M. Madeleine (l.85-110-115 à 117). * Assistance : sous le choc

la tete ilk lit a haute voix la derniere nlettre de christien ou elle reconnaît la voix du balcon. Celle si comprend tout trop terd car dans un dernier soupir cyrano expire. La piece fut jouee pour laz premiere fois en 1897 au theatre de la porte saint martin.ce fut un triomphe et en comte environs 20 min d’applaudissement a la fin de la piece . le ministre des finances vint voir la piece et a la fin de celle ci , decrochant sa legion d’honneur il l’epingla a la poitrine de l’auteur en disant :