Seleka

d’Etat a renversé le président François Bozizé. Pillages, viols et violences entre les chrétiens et la minorité musulmane (qui représente 20% de la population) sont le quotidien des habitants du pays. Les populations sont en fuite, chassées par la Seleka (rébellion à dominante musulmane qui a pris le pouvoir en mars dernier et qui constitue désormais l’armée officielle). En ville, de nombreuses maisons sont incendiées, et  le peu d’habitants restants sont musulmans. Ces derniers ont une autre version

Centrafrique : les secrets de la Séléka (Afrikarabia 15/02/2013)  Dans un entretien exclusif accordé à Afrikarabia, un des anciens porte-parole de la rébellion a décidé de dévoiler les coulisses du mouvement rebelle qui a menacé de renverser le président François Bozizé. Une interview qui révèle le nom du président “caché” de la Séléka, le double jeu d’Idriss Déby et le soutien d’un ancien officier du Congo-Kinshasa. En quelques jours, la Séléka, un mouvement rebelle centrafricain méconnu

renversé en 2013 par les rebelles de la Séléka, conduits par Michel Djotodia. Depuis décembre 2013, les français sont parti en CentreAfrique pour la mission "Sangaris". La France envoie 1600 soldats. L'intervention française constitue à réglée l'affrontement entre ceux qui "n'aime pas" le gouvernement de Bangui donc cela crée les milices de Séléka qui prend le pouvoir en 2013. Des affrontements se font entre les anti-balakas (milices chrétiennes) et les Séléka. Mais le 5 décembre 2013 l'embrassement

coalition de groupes armés rebelles issus de l'ancienne  l'Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR) la séléka, provenant majoritairement du nord musulman du pays prend les armes, prétextant une violation des accords de paix par le président Bozizé. Après une avancée rapide dans tout le pays, le gouvernement tombe et Bozizé est contraint à l'exile. Le 24 mars 2013 la Séléka prend le pouvoir et place à la tête du gouvernement son dirigeant, Michel Djotodia. Le pays est alors livré à l'anarchie

Depuis leur prise de pouvoir en mars 2013, les milices de la Séléka ont été responsables de violations massives des droits de l'homme. Ils ont massacré, violé, torturé, exécuté, et incendié des centaines de villages. Près d'un cinquième de la population a dû fuir et vit dans des conditions désastreuses dans des camps de déplacés ou dans la brousse. En septembre, les milices anti-balaka (principalement chrétiennes) ont entamé des représailles contre la communauté musulmane. Massacres, exécutions

des pays les plus pauvres du monde. La Séléka, une coalition rebelle provenant du nord du pays, a causé la chute de l’ex-président centrafricain François Bozizé en Mars dernier. Suite à ces évènements, le chef de cette coalition, Michel Djotodia s’est autoproclamé président. Depuis cette date, l’Etat s’est effondré et le pays est plongé dans une crise terrible dans la laquelle on peut voir l’omniprésence d’une violence extrême. A l’heure d’aujourd’hui, la Séléka a été officiellement dissoute mais cependant

En bref la situation était une crise latente qui a mué en une crise éruptive. La prise de pouvoir de force par la coalition de groupes armés du nord-est et de combattants tchadiens et soudanais majoritairement musulmans en mars 2013 dite‘‘ Séléka’’ qui signifie « union » en langue Sango, a fait s’écrouler un Etat qui n’était plus qu’un château de carte. La crise atteint ainsi son paroxysme plongeant le pays dans une violence sans précédent et une chienlit généralisée. Cette flambée de

mars 2013 Depuis décembre 2012 jusqu’à ce jour, la coalition rebelle Séléka a conquis coup sur coup sans grande résistance huit (8) préfectures centrafricaines entre autres : la Vakaga, le Bamingui-Bangoran, la Haute-Kotto, la Nana-Gribizi, la Ouaka, la Kémo, la Basse-Kotto et le Mbomou. Pour sécuriser sa base-arrière à cause de la présence de l’armée gouvernementale dans la préfecture du Haut-Mbomou, la coalition rebelle Séléka qui vient de prendre la sous-préfecture de Rafaï lorgne le Haut-Mbomou

forestière en Centrafrique, finançant au passage la rébellion armée de la Séléka et, dans une moindre mesure, les anti-balakas, en se soumettant aux règles des "pots-de-vin routiniers". En clair, l’organisation accuse ces entreprises - IFB (française), Sefca (libanaise) et Vicwood Group (chinoise) - d’avoir voulu maintenir leur activité à n’importe quel prix. Les sommes versées s’élèvent à 3,4 millions d’euros pour la Séléka pour l’année 2013 et à 127 000 euros (selon "une estimation basse" de l’ONG)

partis politiques après la mort ou la retraite des président-fondateurs ___Tableau de bord d'une douce croisière Républica Centra-Africaine après le M23 (rdc) et les FDLR (rwandais) voici venir :"SELEKA" (coalition, en sango, la langue usuelle en République centrafricaine) Centrafrique: pour qui roule la Seleka? ___Médiation Nguesso - Centrafrique: de réelles chances d'un accord aux pourparlers de Libreville. Merci Sassou, le pompier pyromane..«un risque difficile à détecter - « Les Congolais ont la