Voleur

Ali Baba et les quarante voleurs est un conte d'origine orientale souvent présenté comme faisant partie du recueil des Mille et Une Nuits. Il est traduit pour la première fois en français en 1701 par Antoine Galland. À l'origine, le conte, aujourd'hui l'un des plus populaires dans le monde, ne figurait pas aux côtés des autres contes du célèbre ouvrage. Ali Baba est un bûcheron qui vit pauvrement dans une petite ville d'Orient. Son frère Cassim, qui a fait un riche mariage, habite la même ville

Molière, L’Avare, acte IV, scène 7 Harpagon (Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau.) : Au voleur ! Au voleur ! A l’assassin ! Au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu’est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N’est-il point là ? N’est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête. Rends-moi mon argent, coquin… (il se prend

agite les bras et cris “AU VOLEUR! AU VOLEUR !”. Se détachant de la foule, un brigand regarde de droite et a gauche pour s’élancer a travers la rue. George Duroy qui n’a rien manqué de la scène, se dirige rapidement vers l’homme. Au moment où il arrive a sa hauteur, il bondit sur le voleur avec l’agilité de son entrainement, le plaque au sol, saisi ses mains et les immobilisent dans son dos. Les genoux posés dans le dos de l’homme, il fouille dans les poches du voleur, en tire un couteau et une

d’Harpagon après le vol. Ces lignes sont constituées d’une succession de phrases exclamatives « au voleur !», « à l’assassin !», « au meurtrier ! » puis interrogatives « Qui peut-ce être ? », « Qu’est-il devenu ? », « Qui est-ce ? » qui donnent au texte un tempo vif et rapide illustrant l’attitude nerveuse et angoissée de l’homme. L’utilisation de figures de style et plus particulièrement de gradations « au voleur ! à l’assassin ! » (l.1) «je suis perdu, je suis assassiné » (l.2) témoignent de son état d’affolement

L16 à 18 je me meurt, je suis mort, je suis enterré!... Gradation L 2 à 3 au voleur, au voleur, je suis assassiné, au meurtrier... Hyperbole je suis assassiné, on ma couper la gorge. II. Le comique 1. Le comique de langage • Oxymore : “mon pauvre argent” • Personnification de l’argent : “mon cher ami”, “sans toi, il m’est impossible de vivre” • Exagération : avec le groupe ternaire “voleur/assassin/meutrier”, “je suis perdu, je suis assassiné”, “on m’a coupé la gorge”

carte d’identité, s’il vous plait. Madame DeGrasse : Tenez [Elle lui a donné son sac et sa carte d’identité]. Le policier : Merci, mais je ne suis pas un vrai policier [Il commence à courir pendant que Madame DeGrasse crie  « Au voleur ! Au secours ! » En poursuivant le voleur] Indirect : Le policier a salué madame DeGrasse et lui a demandé si elle habitait dans ce quartier. Elle a expliqué au policier qu’elle habitait dans une maison rouge. Ensuite, le policier a demandé si elle avait vu des choses

Malaussène, à savoir l’histoire qu’il racontait aux enfants le soir, basée sur l’affaire des bombes. Tous les soupçons se tournent vers Benjamin. 4 Reproduct ion i n terdi te Chapitres 33 à 36 Benjamin se désespère de ne plus voir le « petit vieux » voleur de munitions, unique autre suspect, qu’il a surnommé Gimini Criquet. Gimini aborde pourtant Benjamin dans le métro pour lui expliquer qu’il élimine les membres d’une secte satanique active en 1942, la Chapelle des 111. Il invite Benjamin à assister

l’hiver : pendant la nuit, une voleur s’introduit dans la maison. Un bruit sonore retentit. LE VILAIN (s’adressant à la femme à moitié endormie) : Je vais voir ce qui se passe. LA FEMME : Ne tardez pas trop Messire ! LE VOLEUR (s’introduisant dans la chambre, s’adressant à la jeune femme à moitié endormie et se fait passer pour le mari) : Oh Ma douce, ma belle, ma merveilleuse épouse ! LA FEMME (attendrie mais un peu étonnée) : Vous allez bien ?? LE VOLEUR : Qu’est ce que vous me contez

bastonnade. Il y a des autres instances de ses farces ensuite comme les deux valets et les violons sont bastonnés aussi. La chanson de Mascarille est encore un autre exemple du comique de geste. On peut imagine ses actions quand il crie « Au voleur ! au voleur ! » et les réactions intenses des filles admirantes. Aussi, le comique de geste anime plus loin les mots et sujets dans le comique de parole. Molière a appliqué ces techniques traditionnelles au contexte de la préciosité pour créer une pièce

HARPAGON, il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau. Au voleur! au voleur! à l'assassin! au meurtrier! Justice, juste Ciel! Je suis perdu, je suis assassiné, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être? Qu'est-il devenu? Où est-il? Où se cache-t-il? Que ferai-je pour le trouver? Où courir? Où ne pas courir? N'est il point là? N'est-il point ici? Qui est-ce? Arrête. Rends-moi mon argent, coquin... (il se prend lui-même le bras.) Ah! c'est moi. Mon esprit est