Voltaire Hypocrite

nous laisser jamais douter qu’il ne blâme cela et n’approuve ceci. Par la façon dont Molière comprend la piété, les chrétiens fervents ne peuvent être qu’Orgon ou Tartufe, des imbéciles ou des hypocrites : pour être dévot à sa façon, il faut être détaché de la religion. Molière est tout près de Voltaire, que l’on croirait entendre dans certains vers de Tartufe. (p. 526) (6) ….la morale de Molière ne peut être que pratique. Elle l’est énergiquement ; elle n’est pas sublime, ni dure, ni chrétienne

d’église et les défenseurs de la religion ; et si l’on rencontre encore quelques chrétiens respectueux, comme Montesquieu et Buffon, dont les idées religieuses ne pénètrent d’ailleurs pas beaucoup des œuvres, déjà l’on compte des écrivains, qui, comme Voltaire et Jean Jacques Rousseau, furent de simples déistes ; et surtout il y a tout un groupe de philosophes franchement hostiles la religion, les encyclopédistes : Diderot, Helvétius, d’Holbach… La libre pensée ne craint plus de s’étaler en plein jour

chagrin, il ne peut pleurer. Sa tante Séraphie lui reproche son insensibilité. On lui explique qu'il s'agit de la volonté divineN 2. Il en deviendra athée. Ayant peu d’estime pour son père, avocat au Parlement de Grenoble, homme taciturne, pieux, hypocrite, bourgeois qui ne pensait qu’à ses affaires financières, le précepteur qu'on lui donne, l'abbé Raillane, va empirer leurs rapports : « Je haïssais l'abbé, je haïssais mon père, source des pouvoirs de l'abbé, je haïssais encore plus la religion au

Candide ___ Voltaire (1761) Candide ou l’optimisme a été traduit de l’allemand par Mr le docteur Ralph, avec les additions que l’on a trouvé dans ses poches lorsqu’il mourut à Mindem en l’an grâce 1759. Le titre « Candide ou l’optimisme » peut parler du bonheur et de la philosophie car « l’optimisme » est une philosophie se référant à Leibniz. Voltaire est adepte à cette philosophie : tout est bien dans le meilleur des mondes, car Dieu le veut. Ce titre accroche la curiosité du lecteur : « Candide »

l’animal, « il se reconnaît libre d’acquiescer ou de résister ». C’est la société, fondée sur la propriété, qui est la cause de l’inégalité et de la corruption des hommes. Ce texte souleva des controverses parmi les philosophes, notamment de la part de Voltaire. La lutte contre l’intolérance La révocation de l’édit de Nantes (1685) par Louis XIV a ravivé les querelles religieuses, et un grand nombre de protestants furent contraints à l’exil. Ceux qui restent se réunissent en secret pour célébrer

la société de son temps Voltaire exprime-t-il à travers eux ? Qu’est-ce qui fait de cette partie du récit une parodie du roman sentimental ?        Lors de la guerre entre les abares et les bulgares, Cunégonde est d’abord violée et éventrée par des soldats, puis sauvée par un officier qui à son tour abuse d’elle et la traite en esclave (1 point). Elle est ensuite vendue à un banquier juif qui en fait sa maîtresse et la partage avec le Grand Inquisiteur (1 point). Voltaire dénonce à travers ces épisodes

souligne une grande diversité de contenu et des modes de fonctionnement. De plus, il semble que le siècle des Lumières ait permis au conte, de se développer au maximum. C'était en effet la forme privilégiée d’une grande majorité d’écrivains comme Voltaire ou les frères Grimm. Cependant l'écriture de contes n'était pas réservée aux grands écrivains, et l'on trouve de nombreux textes moins célèbres mais tous aussi talentueux. Par exemple, l'écrivain Jacques Cazotte publia au début de la seconde moitié

faits fâcheux. Mais on y trouve aussi le rapport de dépendance du Roi envers l’avis de ses sujet comme le montre le dialogue qu’il as avec le Renard. « Que sens-tu ? » La morale critique l’attitude trop sincère de l’Ours aussi bien que celle trop hypocrite du Singe. Elle conclut que le renard, représente l’exemple a suivre CONCLUSION Pour conclure, cette fable possède une portée satirique en raison de la critique moqueuse de la cour et de certains courtisans. Il est difficile de devenir l’ami

transmettent les auteurs étudiés. Lectures analytiques : 1. Blaise Pascal, Pensées, 139, 1670 : “quand je m’y suis mis quelquefois à considerer les diverses agitations des hommes … Car il est malheureux tout roi qu’il est si il y pense.” 2. Voltaire, Candide, Chapitre 30 : Conclusion : « Ayant dit ces mots, il fit entrer les étrangers dans sa maison … - Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. » 3. Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, Lettre 48, 1782

l'étape à Surinam marque une évolution importante pour le perso. éponyme (voir cours sur chap. 19) mais CA. a encore illusion de la noblesse, de l'amour. En revenant vers l'Europe, il est dépossédé de bcp de ses biens, il découvre aussi la vanité hypocrite des Parisiens, l'orgueil des Anglais, la prostitution à Venise... les autres perso. s'ennuient (cf la vieille qui en est à regretter sa vie agitée) ou rabâchent (cf. PA.) Même à Constantinople, où la vie semble + douce, règne un régime politique