Voltaire Hypocrite

également une métaphore de la cruauté de la guerre qui s'accumule sur lui-même. Le défaut principal qui le caractérise tout au long du livre est sa lâcheté devant la guerre et les femmes. Le personnage va évoluer pendant l'œuvre, comme Candide chez Voltaire. Ce parallèle souligne la culture de l'auteur. Arthur Ganate est le premier personnage avec qui le héros discute. C'est le “détonateur” du roman, en effet il pousse Férdinand à s'engager subitement dans l'armée. Cet ami est présenté comme crédule

Textes : L’ingénu (x2) Candide (x2) Zadig (x2) L’ingénu : Voltaire (1767) Huron (indien du Canada) arrive en Bretagne sur un bateau anglais et après une discussion découvre que l’Abbé de Kerkabon est son Oncle. Vit donc avec l’Abbé et sa sœur Mlle de Kerkabon. L’Abbé veut en faire son héritier. L’Ingénu (texte 1 : p.82) I. Le huron et les écritures 1/ La Bible L’Abbé lui fait lire la Bible, il veut qu’il rentre dans les ordres. Il le lit avec naïveté : « il veut

reprise dans l’article « Inquisition » de l’Encyclopédie, écrit par Voltaire : « Si quelqu’un dans la postérité ose dire qu’au XVIIIème siècle tous les peuples de l’Europe étaient policés, on citera l’Inquisition pour prouver qu’ils étaient en grande partie des barbares. » 2 L’Inquisition est bien sûr dénoncée avec virulence, mais en tant que système, qui encourage la délation et récompense les bas instincts – comme le résume Voltaire dans cette citation, qui ouvre l’article « Inquisition » de son

observateur et écrit plus comme un journaliste que comme un philosophe. En même temps il s'assimile mieux qu'Usbek, et compare souvent l'Orient et l'Occident de manière assez objective. Rapidement il s'étonne moins et critique avec le regard d'un Voltaire sans plus faire référence à sa Perse natale. «J'ai pressé mille fois Rica de quitter cete terre étrangère; mais il s'oppose à toutes mes résolutions [...] Il semble qu'il ait oublié sa patrie.» Les autres Persans (entre-deux) Nessir, Mirza et Rustan sont

lecteur en l'amusant, en l'intéressant à une histoire riche en péripéties ; ainsi, le destinataire adhère plus facilement à la morale qui en découle. C'est la thèse défendue par Rabelais dans son œuvre « Gargantua » ou encore dans « Candide » de Voltaire dans lesquels l'humour et l'ironie tiennent une place importante. Dans « le vicomte pourfendu », Italo Calvino fait également preuve d'humour en coupant en 2 parties le corps de Médard de Terralba, chacune d'elles ayant une histoire originale.

« Envoyer à un ami « Plus sur l'auteur « Ses citations > Quoi point d'argent ? Et de l'ambition ! Pauvre imprudent ! Apprends qu'en ce royaume Tous les honneurs sont fondés sur le bien, Que rien n'est rien, que de rien ne vaut rien. [Voltaire] [+] Extrait de Satires [+] « Dans mon citabook « Envoyer à un ami « Plus sur l'auteur « Ses citations > Il n'y a rien de plus grand que l'homme, et rien de plus petit. Il n'y a rien de plus grand quand on regarde son âme, rien

reprise dans l’article « Inquisition » de l’Encyclopédie, écrit par Voltaire : « Si quelqu’un dans la postérité ose dire qu’au XVIIIème siècle tous les peuples de l’Europe étaient policés, on citera l’Inquisition pour prouver qu’ils étaient en grande partie des barbares. » L’Inquisition est bien sûr dénoncée avec virulence, mais en tant que système, qui encourage la délation et récompense les bas instincts – comme le résume Voltaire dans cette citation, qui ouvre l’article « Inquisition » de son

Angleterre » 1 à « en faveur de la vérité » 3) présentent tout les aspects d’une introduction. Elles définissent le cadre spatio-temporel ( « En France » et « en Angleterre », 1), précisent les acteurs (« Collins et Bolingbroke…Bayle, Fontenelle, Voltaire, Montesquieu et les écoles formées par ces hommes célèbres », 1 et 2), et annoncent l’idée maîtresse (« combattirent en faveur de la vérité » 3). Ce que l’on pourrait appeler le corps principal (de « employant » 3, à « les supplices », 28) est

n’est point mon fait » (l.30) Alceste est un ami de Philinte, mais lui reproche franchement le « commerce honteux de semblants d’amitié » qu’il soutient et son absence de sincérité. Alceste se met clairement en dehors de la société qu’il trouve fort hypocrite. Molière semble s’identifier à ce personnage même si ce n’est pas clairement dit. Il utilise Alceste pour critiquer et dit même qu’on devrait sévèrement punir la fausseté de certaines personnes qui embrassent, jurent fidélité mais qui agissent de

lui-même sa séduction des femmes comme une succession de conquêtes militaires (Acte 1, scène 2). Inversement d’ailleurs la guerre n’est-elle pas également alors avant tout un spectacle, dont le magnifique agencement chorégraphique sera raillé par Voltaire dans Candide au siècle suivant ? En même temps on sait que suite aux excès de la Fronde, la politique de Louis XIV n’aura de cesse de déposséder progressivement la noblesse de ses prérogatives. Ne lui enlèvet-elle pas en effet la réalité du pouvoir