Voulez Vous Des Preuves De L Infériorité Des Indiens

Récit:1992 Film:1992 Pièce:1992 -controverse---->débat où des opinions s'opposent avec une certain véhémence . Ici :nature des indiens ? Des Hommes au même titre que les espagnols ou des êtres inférieurs « esclaves nés » Sépulvéda. Histoire(en réalité): Évènement historique avéré mais qui n'a pas eu pour conséquence l'esclavage des noirs Personnages: Las Casas défend les indiens homme de terrain les a côtoyés s'enflamme Valladolid(prés de Madrid) /1550/couvent. L'action se déroule sur deux jours (début)

dans le dernier extrait, un auteur contemporain, Jean-Claude Carrière met en scène, pendant la colonisation espagnole en Amérique, une confrontation entre deux hommes de la Renaissance afin d’établir si les Indiens sont une race inférieure. Le premier, Sepulveda, justifie l’esclavage des Indiens par la différence des cultures dans un raisonnement tout ce qu’il y a de plus choquant, ce que souligne son interlocuteur, le prêtre Las Casas : « Parce qu’ils n’adorent pas l’or et l’argent au point de leur

n’appartiennent pas à la même culture d’origine essaient de communiquer en utilisant différentes façons de penser, de ressentir et de se comporter. C’est un cours dans une école d’ingénieur française avec un groupe constitué d’élèves français, chinois, indiens, polonais et mexicains avec un prof anglais. Ou encore c’est un comité d’entreprise européen constitué de représentants britanniques, allemands, polonais, français, néerlandais et espagnols travaillant pour une société canadienne. Mais la communication

Paris. anthropologue et ethnologue français qui a exercé une influence décisive sur les sciences humaines. Un des penseurs importants du XXe siècle. Après des études de philosophie, se tourne vers l'ethnologie: Il va notamment étudier les tribus indiennes de l'Amazonie. "Posons donc que tout ce qui est universel, chez l'homme, relève de l'ordre de la nature et se caractérise par la spontanéité, que tout ce qui est astreint à une norme appartient à la culture et présente les attributs du relatif

émanations de l’esprit intentionnellement comiques. Les idoles indiennes et chinoises ignorent qu’elles sont ridicules ; c’est en nous, chrétiens, qu’est le comique. V Il ne faut pas croire que nous soyons débarrassés de toute difficulté. L’esprit le moins accoutumé à ces subtilités esthétiques saurait bien vite m’opposer cette objection insidieuse : le rire est divers. On ne se réjouit pas toujours d’un malheur, d’une faiblesse, d’une infériorité. Bien des spectacles qui excitent en nous le rire sont

de l’esprit intentionnellement comiques. Les idoles indiennes et chinoises ignorent qu’elles sont ridicules ; c’est en nous, chrétiens, qu’est le comique. 24 V Il ne faut pas croire que nous soyons débarrassés de toute difficulté. L’esprit le moins accoutumé à ces subtilités esthétiques saurait bien vite m’opposer cette objection insidieuse : le rire est divers. On ne se réjouit pas toujours d’un malheur, d’une faiblesse, d’une infériorité. Bien des spectacles qui excitent en nous le rire sont

aussi le tabac, une de ces solanés du continent nord-américain promises à un grand avenir comme la pomme de terre et la tomate.» (TETU De LABSADE, Fran?oise (1990): Le Québec. Un pays, une culture, Montréal : Boréal/Seuil : 41-42.) Connaissance des Indiens Les autochtones nord-américains sont connus grâce aux écrits et en particulier aux récits de voyage des missionnaires, officiers ou voyageurs français. Ces agents français connaissent le territoire grâce aux autochtones qu'ils essaient de répertorier

marquent le caractère général d’une rencontre « type » entre les colons et les Indiens. On peut lire ici deux mouvements correspondant aux deux temps de ce dialogue « mis en scène » par Montaigne : le discours des Espagnols pour commencer, « leurs déclarations habituelles » (l.  3) qui s’étend sur une dizaine de lignes (l.  3 à 11) ; puis la réponse des Indiens est développée plus longuement (l. 11-31). Ce sont les Indiens qui ont le dernier mot dans cet échange qui privilégie de ce fait leur discours

La société contre L’état Pierre cLastres F i Voici 3 textes de l’ethnologue français Pierre Clastres (1934-1977) sur la question du pouvoir politique dans les sociétés primitives. Il a particulièrement étudié les Indiens Guaranis du brésil et les Indiens Guayakis du Paraguay dans les années 60. Politiquement, il fut proche du groupe révolutionnaire Socialisme ou Barbarie et du courant libertaire. S’il ne peut être qualifié d’anarchiste, on peut cependant le définir comme un anti-autoritaire

entreprises militaires : les entreprises militaires qui vont soumettre par exemple le Mexique, Cortes débarque en 1499 et deux ans après l’Empire s’effondre et même chose au Pérou. Pourquoi ? Parce que les conquistadors avaient des moyens que les indiens n’avaient pas et utilisent les divisions de ces sociétés pour passer d’un système d’exploitation à un autre. Comment on passe d’un système militaire à un système colonial au sens bureaucratique du terme avec une administration qui gère les colonies