Vouloir C Est Pouvoir

de l’Homme et du citoyen, du 26 août 1789 : Article 1er « Les hommes naissent et demeurent libres (et égaux) en droits.» D’après cet article les Hommes aurait acquis ce statut dès la naissance. La conscience de l’Homme lui permet d’user de son pouvoir de choix. Etre libre, c’est avoir le choix. Il n’y a de liberté que s’il y a une alternative offerte à l’individu. C’est le point de vue que défendait Descartes, lorsqu’il écrivait : «La liberté consiste seulement en ce que nous pouvons faire une

Peut-on ne pas vouloir le vrai ? L’utilisation philosophique du terme de « vérité » n’est pas toujours aisée, cette notion fait partie de celle qu’on risquerait d’obscurcir en voulant la définir. Dans des expressions comme : « c’est une vraie joie », « ce raisonnement est vrai », « c’est de l’or véritable », « c’est une personne sincère et vraie » et « je suis la Voie, la Vérité, et la Vie », le mot « vérité » n’est pas employé de manière univoque. En réalité, la vérité est une adéquation de

il ne s’agit surtout pas de conférer à l’individu le pouvoir de décider ce qui est bien ou mal, mais plutôt d’affirmer que chaque personne peut découvrir les lois morales qui devraient guider nos actions. Une action sera moralement acceptable si elle peut être universalisée, c’est-à-dire si on peut vouloir que tous les êtres humains l’appliquent. C’est le principe kantien de l’universalisation. Il y a trois situations où je ne pourrais vouloir qu’une loi soit universalisée :       Elle rendrait

second temps, la conversation est spontanée sans même pouvoir la retenir. Quels sont les facteurs de la conversation ? La conversation est un échange de paroles entre différentes personnes, de différentes classes sociales. Les idées et préjugés de chacun sont subjectifs, c’est la raison pour laquelle, il y a des codes à respecter lors d’une conversation entre des personnes qui ont des opinions différentes. Il n’est pas possible de pouvoir faire changer d’avis une personne parce qu’on l’a décidé

faible. Oh, et cette manie de ne rien vouloir montrer ! Ce prototype de se cacher sous un masque de fer. Pourquoi ? Pourquoi dire oui quand on pense non ? Pourquoi lorsque quelqu’un s’intéresse à notre bien-être, nous refusons d’admettre notre mal-être ? Pourquoi tant s’obstiner à perdurer dans le chagrin ? C’est tellement étrange de savoir que je suis comme ça, je suis comme je le décris. J’ai l’horrible impression d’être des deux côtés du miroir. Ne pas pouvoir gérer ces caractères humains mais également

table rase des institutions de l’Ancien Régime, avec pour grand principe qu’un ordre naturel des choses dépasse les personnes. Cet ordre naturel régit donc les individus de manière directe, et, au nom de l’intérêt général, limite leur liberté, pour pouvoir la garantir. L’égalité entre tous les hommes ayant été décrêtée, un ne peut prétendre être plus libre qu’un autre, et ainsi, la liberté de tous en est symboliquement restreinte. Et, si la Révolution fait tomber les institutions d’Ancien Régime, elle

volonté. Le pouvoir de faire ce que nous voulons nous accorde une liberté virtuelle qui dépend des moyens dont nous disposons: l'absence de contraintes nous rend bien maîtres de nous-mêmes et étend, de façon presque illimitée, notre champ d'action. Pour Descartes, la grandeur de notre liberté réside dans le caractère infini de la volonté qui peut tout vouloir, faisant de nous «des dieux en puissance». ■ Être libre, cela signifie d'abord avoir la puissance d'affirmer ou de nier, de vouloir ou de refuser

Dans ce texte, Lucrère nous parle du bonheur et surtout de la « recherche du bonheur » des gens. Il nous dit que l'homme raisonnable, celui à la recherche du bonheur qui existe, ne cherchera ni la richesse, ni le pouvoir, ni les honneurs : il sait que la « suprême richesse » comme nos le dit Lucrèce dans son texte, celle qui véritablement rend heureux, c'est d'avoir une « âme égale » et donc de ne pas être bousculé par la passion et de savoir ce contenter de peu au lieu d'avoir seulement des désirs

technosciences dont le caractère opératoire et la formidable puissance inquiètent. Les exemples sont multiples, de l'énergie nucléaire aux biotechnologies. Les sciences nous apparaissent comme des savoirs dont la finalité serait de nous donner un pouvoir toujours accru sur les choses ou sur nous-mêmes, et nous soupçonnons que ce processus est animé par des intérêts peu avouables comme la richesse ou la course à la supériorité militaire. Parler de vérité scientifique serait même, paradoxalement, un

Sujet : Peut-on vouloir l'impossible ? Dire que l'on ne veut pas l'impossible apparaît au premier abord absurde car tout homme a désiré, désire ou désirera quelque chose qu'il n'est pas en mesure d'avoir ou de faire quand il le veut. Pourtant, en étudiant le sujet de plus près, nous pouvons dire que le propre de l'homme est qu'il a une conscience et donc un pouvoir de négation qui lui permet de raisonner. Sartre indique cela dans L'existentialisme est un humanisme en 1946. Cependant, si l'homme