Voûte crânienne

développer cette maladie, bien que ne faisant pas partie du vieillissement normal. Outre l'âge et les antécédents familiaux, les facteurs de risque de cette maladie peuvent être, entre autres: L'hypertension artérielle à long Antécédent de traumatisme crânien Des niveaux élevés d'homocystéine (un produit chimique du corps qui contribue à des maladies chroniques comme les maladies cardiaques, la dépression et peut-être la maladie d'Alzheimer) Le sexe féminin, parce que les femmes vivent généralement plus

SITUATION CLINIQUE: ANALYSE RECUEIL DE DONNEES: Biologiques Psychologiques sociales Chute de scooter Perte du casque Leger traumatisme crânien Pas de perte de connaissance Plaie du cuir chevelu sanguinolente Pas de fracture crânienne Fracture de pouteau-colles à gauche Fracture vertébrale (L4-L5) Bilan biologique: GR: 5millions/cm3 GB: 6105 Hb: 15g/100ml Plaq: 253000 CRP: 7mg/L Na: 140mmol/L K: 4.5mmol/L Creat: 60micromol/L Traitement: Réduction plâtrée de la fracture

conscience, ni que la conscience soit une fonction du cerveau. → De cet exemple, Bergson déduit que la pensée est effectivement „accrochée“ au cerveau, elle est bel et bien produite dans le cerveau. Si le cerveau est blessé, suite à un traumatisme cranien par exemple, la pensée peut aussi être altérée. Mais cela ne signifit pas que le cerveau uniquement produise la pensée. Malgré tout, la conscience et l'éthique d'un individu ne dépend pas seulement et uniquement du cerveau. Tout ce que l’observation

Opérateur : ouvrier Dangers possible : chute, Situation dangereuse : chute, traumatisme crânien, fracture de la colonne vertébrale. Evènement dangereux : prendre des planches

SNC ? * le cerveau (ou prosencéphale), * et du le tronc cérébral rachidien) * le cervelet * la moelle épinière (ou moelle spinale) dans le canal vertébral. * les nerfs crâniens I et II (nerf optique) 11-qu est-ce qui compose le SN périphérique ? Il est composé des nerfs crâniens et rachidiens 12- qu est-ce le SN cérébro-spinal ? C est le système de la vie de relation qui nous met en contact avec le monde extérieur, commande et coordonne toutes les activités conscientes

dans un vertige isolé - céphallées : HTA, AVC, en général absent dans atteinte périhérique (sauf neurinome avec HIC) - signes visuels : ototoxiques, SEP, troubles de la réfraction - antécédents notables - traumatisme cranien, fracture du rocher - infectieux - chirurgie oreille - cardio vasculaire : athérome , HTA - prise médicamenteuse ototoxiques : gouttes, aminosides - profil psychologique (Ménière, psychogène) EXAMEN CLINIQUE - examen otoscopique : - recherche

grave, à expression multiple avec déficience mentale sévère ou profonde, entraînant une restriction extrême de l’autonomie et des possibilités de perception, d’expression et de relation. 7 – Le traumatisme crânien grave Les chocs cérébraux sont des séquelles de traumatismes crâniens graves, qui font suite à des accidents ayant entrainé un choc sévère au niveau de la tête et du crane, caractérisé notamment le plus souvent par la survenue d’un coma. Ces traumatismes touchent surtout des sujets

Le don d’organe permet chaque annee de sauver des milliers de personne. Dans la grande majorité des cas, les donneurs sont des personnes décédées a l’hopital après un traumatisme crânien, un accident vasculaire cérébral ou parfois après un arret cardiaque. Cette forme de mort est appelée mort encéphalique. Ce décès correspond a l’arret irrémédiable de la perfusion sanguine du cerveau, aboutissant a sa destruction, alors que tout les autres tissus sont vivants grâce essentiellement au maintien de

Comment la plasticité cérébrale intervient-elle dans l'apprentissage ? La plasticité du cerveau : -Capacité du cerveau à s'adapter (lors d'expérience personnel avec le cortex visuel), -Conservé tout au long de sa vie, -L'apprentissage repose dessus, -S'explique par la plasticité des connexions entre neurones, -Un apprentissage permet la modification d'un circuit de neurones, -La plasticité se traduit par un remodelage des connexions synoptiques, Définition de plasticité cérébrale :

apparaît souvent de façon soudaine et évolue par paliers. Les déficits cognitifs correspondent à la zone cérébrale lésée. – Démence par infarctus unique ou multiple – Maladie de Binswanger Démence traumatique ou apparentée : – Traumatisme crânien – Hématome sous-dural – Hydrocéphalie à pression normale – Métastases ou tumeurs cérébrales primitives – Démence des boxeurs (dementia pugilistica) Démence infectieuse – Démences liées au virus de l’immunodéficience humaine acquise – Maladie