Voûte d'ogive

d’une mentalité, d’une technique, d’une structure sociale et économique. Démarche Supports Entre l’an Mil et le milieu du XIIe siècle Découvrir le style roman Expliquer la technique de la voûte et compléter par les contreforts… Photo intérieure d’une église romane Schéma de la voûte TRACE ECRITE : Compléter un dessin d’une église romane vue de l’extérieur à l’aide d’une photo et d’un plan. Démarche Supports A partir de la fin du XIIe siècle Montrer l’ampleur (gigantisme)

Utilisation de matériaux antiques, •  Une proportion et un équilibre des volumes •  Le porche d’entrée de l’église est sculpté, •  Les murs sont épais et soutenus à l’extérieur par des contreforts, •  Les églises sont peu pourvues de fenêtres, •  La voûte est une voûte en plein cintre, en berceau, •  Les bâtiments ne sont pas très élevés, •  Les églises sont simples et sobres, •  Les thèmes : Jugement dernier, Saints, dragons Quelques exemples de l’architecture gothique et ses caractéristiques Extérieur

entouré de contreforts intérieurs qui assurent la stabilité de l'édifice. Ces piliers forment 12 travées décorées par de magnifiques vitraux et formant de petites chapelles. Sur l'ensemble de l'édifice on distingue que les voûtes sont à croisée d'ogives. Les arcboutants et les contreforts créent la résistance, le soutien de l'édifice. Les fresques des voûtes forment l'ensemble de peinture italienne de la Renaissance le plus vaste (97 m de long sur 28 m de large) et le plus ancien de France (1509-1513)

romanes sont simples et petites, elles sont recouvertes d’une voûte en berceau, constituée d’une série d’arc. Les voûtes ne peuvent pas être hautes car elles sont très lourdes et n’ont comme support que deux colonnes. Conséquences ==> murs bas, petites fenêtres, peu de lumière. - Les églises gothiques sont immenses et compliquées, elles sont recouvertes d’une nouvelle voûte : la voûte en croisée d’ogive (voûte formée de deux arcs qui se croisent en diagonale). Conséquences

Coupe schématique de la grande nef gothique de Notre-Dame de Paris avec ses deux bas-côtés d’égale hauteur, ses tribunes et ses grands arcs-boutants à simple volée. L'art gothique se caractérise par l'utilisation systématique de voûtes croisés d'ogives (deux arcs qui se croisent en diagonales) et d'arcs-boutants qui permettent d'élever plus hauts les bâtiments. Mais aussi par sa richesse de ses vitraux et de ses rosaces qui décorent les cathédrales en représentant des scènes de la Bible. Les surfaces

mètres de large. La structure de l'édifice est reportée vers l'extérieur, grâce à des arcs-boutants, des contreforts et des pinacles, afin de créer, à l'intérieur, une sorte de plan libre, soutenu par des piliers, qui lie les espaces. La voûte en croisée d'ogive permet une grande hauteur. Les façades sont percées de grandes fenêtres à vitraux, qui illuminent l'intérieur. La hauteur intérieure atteint plus de 108 mètres, c'est une des cathédrale les plus haute du monde. L'ensemble à un remarquable

de la voute d'ogive gothique en France à l'église de Morienval dans l'OiseCHRONOLOGIE SOMMAIRE DE L’ART GOTHIQUE Alors qu’en Occident l’art religieux est dominé depuis le début du XIe siècle par l’Art Roman, et dans la sphère byzantine par l’Art orthodoxe, le siècle suivant devait voir apparaître, dans des églises de l’île-de-France et en Haute-Picardie, une nouvelle conception de l’architecture qui était appelée à s’imposer dans l’ensemble de l’Europe occidentale. 1122 Apparition de la voûte d'ogive

fenêtre d’ouest, au – dessus d’une place pour le chœur, on peut trouver le vitrail de Wyspiaoski, Dieu – Père – Passe – toi (installé en 1904). made by koperek© 23.2.2012 le français du tourisme et d’hôtellerie Le Transept La voûte (żebrowe – voûte d’ogive) qui a été reconstruit après l’incendie en 1850. Les polychromies qu’on peut y trouver sont faites par Wyspiaoski. Dans l’épaule Nord du transept il y a l’épitaphe de Piotr Kochanowski, dans l’épaule Sud – le buste de Jan Kochanowski

Après 20 ans d’arrêt, les travaux reprennent au début de l’épiscopat de Roger de Vico Pisano jusqu’en 1215. Le «maître d’oeuvre de Lausanne« : achève le déambulatoire et y implante de forts supports engagés dans le mur destinés à recevoir une voûte d’ogives dévie l’axe de la cath pour ne pas empiéter sur les propriétés sud de l’évêque. établit les fondations jusqu’à la première travée de la nef, utilisant des matériaux récupérés du chantier roman. élève le choeur, le transept couronné de sa tour-lanterne

|5 : Voûte en berceau  | | |6 : Voûte en demi-berceau | | |7 : Voûte d'ogive | |